Le président de la 26e conférence sur les changements climatiques (COP26) est attendu le 6 février à Libreville, où il va rencontrer Ali Bongo. Alok Sharma et son hôte devraient aborder plusieurs questions en rapport avec le sommet prévu à Glasgow, dont l’engagement des pays africains dans la lutte contre les changements climatiques.

Ali Bongo va recevoir prochainement à Libreville Alok Sharma (photo), président désigné de la COP26. © D.R.

 

Le Gabon va recevoir prochainement un invité de marque. Il s’agit d’Alok Sharma, président de la 26e conférence sur les changements climatiques (COP26), qui sera reçu par Ali Bongo le 6 février prochain à Libreville. «C’est en raison du leadership continental de notre pays sur les questions de l’environnement et de climat que le président désigné de la COP26 a souhaité rencontrer le président de la République», a précisé la présidence de la République le 28 janvier.

Une fois encore, le Gabon sera très actif lors de la COP26 prévue en novembre prochain à Glasgow. En sa qualité de président du groupe africain des négociateurs sur le climat, Ali Bongo va notamment faire un plaidoyer sur la recherche de financements lors de ce sommet. Des financements susceptibles d’aider les pays africains à lutter contre les changements climatiques. Un sujet qui sera certainement abordé lors de cette rencontre entre Alok Sharma et son hôte à Libreville.

 
GR
 

3 Commentaires

  1. Serge Makaya dit :

    Dites-nous comment vous faîtes pour converser avec un cadavre ? A Ntare Nzame !! Vous êtes vraiment forts. Ou bien c’est le propre des franc-maçons et autres rosicruciens ? Kié !! Pitié de vous !! Ça se sont des pratiques ténébreuses. A Ntare Nzame !!

    • Serge Makaya dit :

      Je croirai à un semblant de vie d’Ali Bongo quand il acceptera de faire une conférence de presse avec des journalistes, non pas choisis par le Quai d’Orsay, de la presse nationale et internationale. Et surtout qu’il accepte des questions improvisées.

      Mais cette conférence de presse ne sera jamais, parce que Mr Ali Bongo est bien MORT à Riyad en octobre 2018. Nous avons là, depuis sa mort en octobre 2018, la preuve même que le Gabon n’est pas encore indépendant. Notre indépendance est un leurre. Et pour nous sortir de cette duplicité des français, une seule chose à faire: la révolution.

      NB: les burkinabés payent actuellement l’humiliation qu’ils ont fait subir au QUAI D’ORSAY par les attaques de terroristes financées par ce même Quai d’Orsay.

      Croyez-moi, je sais sais ce que j’écris. Il n’y avait pas d’attaques terroriste quand Blaise Compaore était encore président du Burkina Faso. La modification de la Constitution qu’il voulait faire à été voulue aussi par le Quai d’Orsay qui voulait tout simplement le maintenir comme VALET. Il faut que les burkinabés comprennent que les français sont pour BEAUCOUP dans ces incursions de terroristes dans leur territoire.

      Il n’y a pas plus hypocrites au monde que les français. Je vous le jure. A Ntare Nzame !!

      • Serge Makaya dit :

        La comédie qui se joue au Gabon depuis octobre 2018 se joue aussi au Cameroun où Paul Biya est décédé. Nous ne pouvons pas vous prouver la mort de ces deux présidents valets, parce que les français (ou Quai d’Orsay) en font un secret d’État. L’Afrique est trop juteuse pour qu’ils puissent la laisser entre les mains de personnes qui ne leurs seront pas serviles. Et ça dure depuis les pseudos indépendances. Nous avons encore des batailles à gagner peuples africains. A Ntare Nzame !!

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