La Plateforme pour la Reconstruction Nationale (PRN) est entrée dans la sphère associative du Gabon lors de sa sortie officielle le 30 mars 2024, au stade de Nzeng-Ayong. En présence des membres du gouvernement de la Transition et de figures clés du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI), cette initiative a suscité une mobilisation massive, attirant des milliers de citoyens déterminés à participer activement à la reconstruction du pays aux côtés des autorités de la Transition.

A la faveur de sa sortie officielle le 30 mars 2024, la Plateforme pour la Reconstruction Nationale (PRN) entre dans le Landerneau associatif gabonais. © PRN

 

La scène associative gabonaise a été électrisée par le lancement fulgurant de la Plateforme pour la reconstruction nationale (PRN), le 30 mars 2024. A l’occasion, le stade de Nzeng-Ayong a été le théâtre d’une mobilisation massive, réunissant plus de 4000 citoyens issus d’associations diverses, tous unis par un seul objectif : reconstruire le Gabon aux côtés du président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema.

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Sous les auspices du gouvernement de la Transition et du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), la PRN s’est auto-positionnée comme le phare de l’espoir pour une nation désireuse de renouveau. Dans un discours enflammé, son secrétaire exécutif, Éric Boumah, par ailleurs directeur général des Impôts (DGI), a souligné l’engagement inébranlable de la plateforme à être un pilier de soutien pour tous les Gabonais qui aspirent à un avenir meilleur.

La PRN émerge comme le fruit d’un désir profondément enraciné au sein de la société gabonaise de participer activement à la reconstruction du pays. Elle se positionne comme une force rassembleuse, ancrée dans des valeurs de solidarité, d’égalité et de justice sociale, portant ainsi les aspirations d’une nation vers un avenir prospère.

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Dans un appel passionné, le secrétaire exécutif de la PRN a lancé un vibrant appel à tous les patriotes gabonais, les invitant à rejoindre cette entreprise collective de transformation. Il a affirmé la détermination de la plateforme à être un porte-voix pour les préoccupations du peuple auprès des dirigeants, tout en offrant un soutien indéfectible au président de la République, le général Brice Clotaire Oligui Nguema.

«Mes chers compatriotes, la plateforme pour le reconstruction nationale se veut être un relai des préoccupations légitimes de l’ensemble des Gabonais auprès de nos dirigeants. Mais également, sans ambiguïté aucune, elle est disposé à accompagner et à soutenir le président de la République le général Brice Clotaire Oligui Nguema dans toutes ses actions, de même qu’elle se veut une force de proposition et un outil de rassemblement de tous les fils et filles du Gabon», a lancé Éric Boumah.

À l’heure où le Gabon aspire à rebâtir une confiance nationale solide, la PRN entend être une réponse concrète à ces attentes, offrant un espace d’échange et de contribution inclusif à travers tout le territoire national.

 
GR
 

4 Commentaires

  1. Gayo dit :

    La honte. Pas un hasard si le Gabon fait partie des pays au QI le plus bas. Tant d’énergie dans la distraction, le larbinisme, l’inutile qu’il n’en reste rien pour la réflection profonde et le travail? Obligions n’a t’il pas dit que le soutien du peuple suffît? Il ne passe pas par ces associations et parti qui n’apportent rien, sinon drainer inutilement la force de la jeunesse.

  2. Gayo dit :

    Naissance fracassante. Ce journalistes devrait faire la prison pour propagande manipulatrice.

  3. Gayo dit :

    Éric Boumah. Toujours les PDGistes, Bongoistes et altogoveen de surcroit comme l’ajev. La seule façon de casser ces mentalités indignes est de ne plus conjuguer avec ces gens.

  4. Gayo dit :

    Boumah Eric depuis la naissance est biberonné au Bongoisme et au PDGisme. Impossible pour lui de croire qu’il peut rester dans les bonnes grâces de Oligui sans verser dans la flatterie et le culte de la personnes malgré tout le travail qu’il a. Oligui semble vouloir comme les Bongo continuer a faire de notre pays le royaume des larbins et des flatteurs. Alors qu’on remarque qu’autour de lui ceux qui se concentrent à faire rien que leur travail et laisser un peu la politique politicienne de coté sont ceux qui n’ont pas ce Bongoisme désolant dans la moelle.

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