A quelques semaines de l’ouverture de la 1e session ordinaire du Conseil économique social et environnemental (CESE), René Ndémezo’o Obiang a été reçu par Rose-Christiane Ossouka Raponda.

René Ndemézo’O Obiang s’exprimant à l’issue de l’audience. © capture d’écran/Gabonreview

 

«Nous voulons faire de l’année 2022, une année pleine d’initiatives, pleine de constructions, de réalisations au bénéfice de notre pays», a déclaré le 18 janvier, René Ndemézo’o Obiang. A quelques semaines de l’ouverture de la 1e session ordinaire du Conseil économique social et environnemental (CESE), en sa qualité de président de cette institution, il a été reçu en audience par le Premier ministre Rose-Christiane Ossouka Raponda. «L’ordre du jour de cette session qui va débuter dans quelques semaines, a été passé en revue avec Mme le Premier ministre chef du gouvernement», a-t-il dit à l’issue de cette audience.

Assurant que Rose Christiane Ossouka Raponda lui a donné des instructions relatives au déroulé de la session attendue, il a laissé entendre que la situation du pays a également été l’objet de leurs échanges. «Mme le Premier ministre m’a indiqué toutes les dispositions qu’elle est en train de prendre au niveau du gouvernement pour faire en sorte que notre pays sur les hautes instructions du chef de l’Etat aille toujours de l’avant», a-t-il fait savoir.

L’année dernière, le CESE s’est particulièrement intéressé à la question du conflit homme-faune. Les membres de l’institution avaient d’ailleurs organisé une tournée provinciale. Après avoir sillonné durant deux mois les régions impactées par ce conflit, ils avaient proposé des pistes de solution consignées dans un rapport que René Ndemézo’o Obiang avait remis à Rose Christiane Ossouka Raponda.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Lavue dit :

    Il cherche quoi chez Ossouka? Un peu d’argent déjà? Si le Gabon devrait compter avec ce type de personnage, ce serait vraiment triste. De véritables délinquants politiques, l’autre BEN parlait de sorciers politiques. Il avait parfaitement raison, on à faire ici à des sorciers affamés, qui malgré leurs états de santé et leurs âges avancés continuent à croire qu’ils sont indispensables à la marche du pays. Pitié, ils ne se rendent même pas compte que leur tour longtemps passé. Après OMAR et ALI, il n’hésitera pas un instant d’aller se mettre au service de NOURREDINE, ou de Denis OMAR. Cet espèce ne connaît pas la honte. Ils en sont nés beaucoup bien avant.

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