La directrice régionale de l’Université africaine de la Francophonie (AUF) en Afrique centrale et Grands Lacs a annoncé, le 12 juillet à Libreville, l’inauguration imminente du Centre d’employabilité francophone (CEF) de Libreville. 

Aïssatou Sy-Wonyu (centre) après l’annonce de l’inauguration du CEF de Libreville, le 12 juillet 2022, à Essassa. © Gabonreview

 

En visite à Libreville du 11 au 13 juillet, la directrice régionale de l’Université africaine de la Francophonie (AUF) en Afrique centrale et Grands Lacs va inaugurer le Centre d’employabilité francophone (CEF) de Libreville. «Ce centre d’employabilité est un des axes de notre stratégie, la question de l’employabilité de nos étudiants. Que l’on soit un établissement en surnombre ou d’élite, la question de l’employabilité se pose en permanence. Et en tant que responsables, nous devons tenter d’y apporter des réponses, si ce n’est des solutions», a affirmé la directrice régionale de l’AUF, le 12 juillet à Essassa. 

«Et donc, ce CEF, nous sommes très contents de l’inaugurer parce qu’il va nous permettre de mettre en selle, de façon expérimentale, quelques idées qui peuvent permettre de trouver des solutions à destination des étudiants sur la question de l’employabilité. Et si cette expérimentation fonctionne bien au niveau du CEL, situé au siège de l’AUF à Libreville, ce que nous souhaitons, c’est que les établissements se dotent aussi sur leurs campus, d’un centre d’employabilité qui sera labellisé par l’AUF», a ajouté Aïssatou Sy-Wonyu. Cette dernière s’exprimait à l’occasion de la première session de la Commission régionale d’experts économiques et scientifiques (CREES) de l’AUF en Afrique centrale et Grands Lacs. 

«Nous sommes ici pour lancer une nouvelle commission. Celle-ci va permettre de déployer au mieux la stratégie de l’AUF auprès de nos établissements et les pays qui nous accueille, pour les accompagner dans leurs politiques éducatives dans tout ce qui a trait au numérique scientifique, par exemple, au numérique dans l’enseignement supérieur, l’employabilité des jeunes, la publication et toute sorte de plaidoyers auprès d’autres institutions internationales comme l’UNESCO, la Banque mondiale, etc. qui s’occupent de l’enseignement supérieur et qui ont besoin d’un interlocuteur pour accompagner des universités», a conclu Aïssatou Sy-Wonyu.

 
GR
 

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