Le Gabon aurait été plus corrompu sous Jean Ping, estime Pr Ondo Ossa
Intervenant ce lundi 17 août dans la matinale de RFI, le professeur d’économie à l’Université Omar Bongo (UOB) et ancien candidat à la présidentielle de 2009 assure ne pas être convaincu de ce que l’actuel opposant n°1 à Ali Bongo aurait œuvré à réduire le phénomène de la corruption au Gabon, s’il avait été élu quatre ans plus tôt. Albert Ondo Ossa soupçonne les proches de Jean Ping.
Si les chiffres de plusieurs organismes internationaux ont montré que la corruption a connu une hausse fulgurante ces dix dernières années, donc depuis l’arrivée d’Ali Bongo au pouvoir, au point de devenir endémique, le Pr Albert Ondo Ossa n’est pas sûr que la situation aurait été différente si Jean Ping avait pris le pouvoir au terme de la présidentielle de 2016. Professeur agrégé d’économie à l’UOB, l’ancien ministre de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur (2006-2009) estime ce lundi 17 août sur les antennes de Radio France internationale (RFI) que le principal opposant du président de la République aurait certainement fait pire, à cause de son entourage.
«Entre deux maux, il faut trouver le moindre. Et [Jean Ping] s’est trouvé au bon moment, à la bonne position. À partir de ce moment-là, il a été voté. Mais pour préjuger si véritablement ce changement allait amener moins de corruption, je n’en suis pas sûr, au regard tout simplement de son entourage. Grosso modo, ce sont les anciens hiérarques du Parti démocratique gabonais, ceux-là même qui sont la cause de la détérioration de notre pays, qui se sont retrouvés autour de Jean Ping», explique l’ancien candidat à la présidentielle de 2009.
Pour le Pr Albert Ondo Ossa, en réalité, Jean Ping et Ali Bongo représentent le même groupe : celui des personnes assises sur les moyens de l’État. Les uns le seraient dans le cadre de l’exercice de leurs fonctions, en utilisant la manne pétrolière, et les autres qui, après avoir exercé de hautes fonctions administratives, «ont eu le temps d’amasser leur trésor de guerre et pour un positionnement se sont mis dans l’opposition, au point qu’à l’occasion des grandes élections il y a toujours deux grandes figures : une du PDG ancien et une du PDG nouveau».
L’économiste et homme politique estime pour sa part que pour espérer combattre efficacement la corruption au Gabon, il faudrait à la tête de ce pays «un modèle nouveau qui repose sur de nouvelles personnalités, des nouvelles figures qui apparaissent crédibles et qui n’ont pas eu à tremper dans toute la gabegie qui s’est passé au cours des 60 dernières années».
35 Commentaires
Toujours clair, lucide et pragmatique.
Mais opaque inconséquent par rapport à la reconnaissance de la victoire démocratique de Jean PING. C’est devant le mûr que l’on juge le maçon. Les marchés faramineux qu’ONDO OSSA a eu de gré à gré pour l’audit de la fonction publique dans les années 2000 obéissait à quel sincérité d’attribution? à la seul agrégation et excellence professorale? A t-il vu tout l’entourage de PING pour juger qu’il n’est que constituer de corrompus. Le ministre chargé de »la lutte contre la corruption et son entourage sont-ils des exemples à brandir l’étendard de lutte contre la corruption? Et quand il fut ministre lui même a t-il été indemne de la tentation de corruption? Le grand problème du Gabon est surtout l’aigrie rancœur orgueilleuse des uns envers les autres. Quand on veut s’excuser de l’outrecuidance verbale envers le détenteur de la bourse à sous du Gabon, on jette l’opprobre chez celui qui est sa menace. L’honnêteté intellectuelle et démocratique d’ONDOSSA,si l’article de l’article est sincère, a montré avec ses limites. Jean PING est le Président ELU et dont la mise en place du programme politique est bloquée par l’appât du gain des citoyens dont la verve aurait mobilisé les forces vives nationales pour imposer le respect de la démocratie au Gabon. Mais ça se FERA!
Position opaque,inconséquente par rapport à la reconnaissance de la victoire démocratique de Jean PING donc au respect de l’ordre institutionnel désormais indiqué pour décider du choix des personnes pour la gestion de la cité. C’est devant le mûr que notre Professeur aurait dû juger le maçon Jean PING. Les marchés faramineux qu’ONDOSSA a eu de gré à gré pour l’audit de la fonction publique dans les années 2000 obéissaient à quelle sincérité d’attribution? Aux seules agrégation et excellence professorale? A t-il vu tout l’entourage de PING pour juger qu’il n’est que constitué que de corrompus. Par quel raisonnement arrive t-on à déduire que si on été aux affaires sous Bongomar on est corrompu et que la corruption ne changerait pas,si on est aux affaires »? Le ministre actuel, chargé de la lutte »contre la corruption » et son entourage sont-ils des exemples à brandir l’étendard de lutte contre la corruption? Et quand il fut ministre lui même, a t-il donc été indemne de la tentation de corruption directe ou indirecte? Le grand problème du Gabon est surtout l’aigrie rancœur orgueilleuse des uns envers les autres. Quand on veut s’excuser de l’outrecuidance verbale envers le clan détenteur de la »bourse à fric et à postes » du Gabon,on jette l’opprobre chez celui qui en est la menace la plus sérieuse. L’honnêteté intellectuelle et démocratique d’ONDOSSA,si l’article de Gabonreview est sincère, a montré avec ses limites. Jean PING est le Président ELU et dont la mise en place du programme politique est bloquée par l’appât du gain des citoyens,la forte corruptilbilité de la presse »internationale » dont les verves auraient déjà Nkmobilisé les forces vives nationales pour imposer le respect de la démocratie au Gabon. Mais ça se FERA!
On peut apprécier un Homme politique et de culture pour ce qu’il est. On peut aussi avoir une grande estime pour la carrière d’un Homme d’envergure. Pourtant, il est difficile de suivre sa logique lorsqu’il se hasarde sur un terrain extrêmement glissant qui est celui de la divination et la prospective non étayée par des faits concrets. Lire l’avenir dans une boule de cristal n’est pas la garantie d’une approche scientifique et intellectuelle rationnelle de haut niveau. Certains de ces propos discréditent le Professeur Albert Ondo Ossa
Professeur n’est pas synonyme de VÉRITÉ. Il aurait dû se taire plutôt que de se ridiculiser. Professeur de MERDES.
depuis 1960, votez Leon mba, votez Bongo.
sure sure que les Bongo sont ay pouvoir depuis 1960 sans avoir pu apporter l’eau, l’électricité, les universités, les écoles , les bonnes routes aux gabonais.
sure sure l’alternance avec Ping aurait apporté mieux que ces faillots, putsistes et voleurs des budgets et des emprunts obligataires.
Ping aurait fait comme Obiang nguema à coté! ouvrez vos yeux!
Je dis le contraire, et j’ai le droit.
Qui veut noyer son chien l’accuse de rage. Vous connaissez l’adage.
Je me tais.
Jean Ping est le président élu du Gabon. Un point, un trait. Le reste n’est que de la diversion. IL EST TEMPS DE PASSER DÉFINITIVEMENT À LA SECONDE RÉPUBLIQUE AVEC MR JEAN PING, PRÉSIDENT ÉLU DU GABON.
Je suis apolitique, mais pour une fois je suis d’accord avec toi professeur. Camp Ali et le camp Ping c’est tabac de même pipe. C’est d’ailleurs des alliés contre des pauvres gabonais ignorants et majoritairement analphabètes.
Le problème n’est pas à ce débat de corps de garde. La question est le choix des gabonais en 2016. Si on confond tout, pour un intellectuel comme lui, c’est affligeant.
Vaut-il la peine de rappeler à ce professeur qu’il faut respecter la démocratie dans un pays ? Ce qui ne se fait pas depuis l’arrivé des Bongo en 1967 ?
Pauvre Professeur !!
ONDO OSSA est effectivement un VRAI corrompu. Donc, il vaut mieux ne RIEN écrire quand moi-même je suis suis un corrompu. A bon entendeur..
Et que dit-il de la France qui nous a imposée ces Bongo ? Rien !
Je rappelle à ce ridicule professeur que le mot CONVERSION existe bel et bien dans le vocabulaire français et anglophones.
Jean Ping était du système. Peut-être malgré lui comme bon nombre de gabonais.
« [Tribune] Gabon : 60 ans après, autopsie d’une République estropiée et d’un peuple soumis à sa propre turpitude »
Cette analyse d’un jeune est vite passée à la trappe (archivée) trop vite alors que restent à la Une des sujets soit intéressant mais dont le but est plus de divertir. Cette analyse aborde des questions essentielles et poussent à la réflexion. Ce qui est prohibé au Gabon ? C’est quand-même le 17 aout, n’est-il pas temps de faire un véritable état des lieux et un véritable bilan ? Quant à l’autre Ondo Ossa, pourquoi se sent-il obligé de nous ramener si bas ? Le problème n’est pas ce qu’aurait fait Ping, il fallait juste respecter le choix des gabonais et le juger par la suite. C’est un peu fatiguant tous ces dindons d’une farce qui ne dit pas son nom.
Merci « Fille » pour ton commentaire. Les idiots ne réfléchissent pas. Albert Ondo OSSA est l’un de ces idiots.
Ondo Ossa un tribaliste notoire qui n a promu et aidé que des gabonais d une certaine ethnie d un certain terroire aux différents concours du Cames . Franchement ce type n a pas de leçon à donner. Ces propos transpirent l aigreur. Aussi il a omis de dire qu il était ministre de Bongo et qu il avait avoué que de temps en Omar Bongo l appelait pour lui remettre des sous et la dernière fois c était 40 millions. Mais quel aigri ce type!
Une MERDE ce monsieur.
Ondo Ossa a t il le droit de avoir des doutes sur la tendance de la corruption dans le pays si Ping était au pouvoir? Je dis oui il a le droit de l évoquer. Maintenant le traiter d idiot quand on est pas capable de soutenir un argumentaire correct face à lui, j en rigole, c est cela le Gabon. Personne n accepte la contradiction mais promet au peuple la démocratie.
Mon cher, il a le droit de faire de la contradiction mais pas des jugements de valeur. Lui même qui n est pas clean , il a été à la mangeoire avec ceux qu il critique à cela s ajoute l esprit grégaire abiabia avec les étudiants issus groupe ethnique. C est dire que ce type a fait autant de mal sinon plus que l entourage de Ping qu il critique. Quand on a rien à dire on se tait. Qu il se taise voilà !
Ce soit disant professeur avec petit « p » est lui meme la preuve d’une elite corrompue et dont le ridicule des analyses ne repose sur aucune preuve scientifique.
Il fait certairnement partie de ceux et celles qui tribalisent l’UOB (favorisant les personnes de son aubedience ou de son village Minvoul….) .
Il est tres mal place pour donner des lecons d’integrite morale.
On doit tout simplement l’ignorer!!!
Pourquoi n’a donc t-il pas poser sa candidature
Ce soit disant professeur avec petit « p » est lui meme la preuve d’une elite corrompue et dont le ridicule des analyses ne repose sur aucune preuve scientifique.
Il fait certairnement partie de ceux et celles qui tribalisent l’UOB (favorisant les personnes de son aubedience ou de son village Minvoul….) .
Il est tres mal place pour donner des lecons d’integrite morale.
Pourquoi n’a donc t-il pas poser sa candidature en 2016?
On doit tout simplement l’ignorer!!!
Bonjour, tout ceci devais entraîtrener une corruption pas possible.ont devais avoir affaire a une nouvelle classe de riche et de gourmand.ils devaient s’inspirer des anciens qui ont diriger et bouffer.le goût éffrener du luxe,pour moi se serais une sanction mettre en prison les voleurs.
Analyse lucide, factuelle honnête. Voter une personne par défaut en 2016 ne lui donne aucunement un certificat de propreté….On savait qu’il trempait dans les magouilles, l’affairisme et la corruption, comme… « Bonnet blanc, blanc bonnet » !
Pourquoi vote par defaut ? Qui a empêché les autres de se présenter?
Albert Ondo Ossa, un CACA qui sent vraiment MAUVAIS.
Mon cher, il a le droit de faire de la contradiction mais pas des jugements de valeur. Lui même qui n est pas clean , il a été à la mangeoire avec ceux qu il critique à cela s ajoute l esprit grégaire abiabia avec les étudiants issus groupe ethnique. C est dire que ce type a fait autant de mal sinon plus que l entourage de Ping qu il critique. Quand on a rien à dire on se tait. Qu il se taise voilà !
C’est soit de la malhonnêteté intellectuelle soit un symptôme de l’alzheimer.
Le Pr Albert Ondo Ossa feint d’oublier qu’on ne devient pas ministre du gouvernement d’un régime, en l’occurrence du Bongo-PDG, sans adhérer à ses valeurs qui ne sont à ce jour que corruption et incompétence notoire.
Monsieur Albert Ondo Ossa, on n’oublie pas le cauchemar par la longueur de la nuit.
Autant vous dénoncez la longévité illégitime et destructrice de ce régime, autant vous faites aussi partie des « has been ». Vous devriez donc céder vos ambitions aux générations qui suivent.
Prenez congé de la Résistance ou de la politique de l’alternance. Il est temps de vous occuper de vos beaux petits-enfants et de la famille.
Bonne retraite et bonne chance.
Quelle souffrance Gabon.
….CETTE FOIS-CI, TU MONTRES À LA FACE DU MONDE QU’EN RÉALITÉ, TU ES ET À CE QUI SEMBLE FINALEMENT, PROSSEUR, VOUS ÊTES DANS L’ART DIVINATOIRE QUE DANS L’ECONOMIE. VOUS MANIFESTEZ À LA FACE DU MONDE QUE VOUS ETES FINALEMENT POUR LA DICTATUR QU’UN DEMOCRATIE CAR VOUS AUREZ DÛ D’ABORD PARTIR DU POSTULAT DE LA VICTOIRE DE JEAN PING AVANT DE REGARDER SON ENTOURAGE.NIER LE VOTE DE 2016, TRADUIT EN RÉALITÉ C’EST FAIRE L’APOLOGIE DU MANGEOIR CAR VOUS AVIEZ PARTICIPÉ À CE REGIME POLITIQUE
Bien écrit. Merci « Spirit ». Une merde ce type. Grand tribaliste.
bel aveu de soumission !
Allez ENCORE à une présidentielle (2023), sans régler le contentieux de 2016. Vous allez retomber dans le même piège des Franco-Bongo-Valentin : la tricherie électorale.Omar Bongo disait de son vivant qu’en Afrique, « on n’organise des élections pour les perdre ». Cela veut tout dire. C’est pour cela que nous insistons sur ce contentieux électoral de 2016. Vous êtes sans ignorer que toutes précédentes élections présidentielles ont été toujours gagnée »s par l’opposition et toujours usurpées par le même CLAN BONGO (aujourd’hui, clan Valentin).
A LIRE SVP : http://ambenatna.over-blog.com/article-fran-afrie-on-n-organise-pas-des-elections-pour-les-perdre-62642731.html
On les connait tous à présent, ces compatriotes qui, après avoir perçu quelques prébendes appuyées de quelques promesses, deviennent capables de dire ou de faire tout ce qu’on leur demande.
Qu’est-ce que, pour sa part, le sieur Ondo Ossa a reçu pour s’atteler à vilipender ainsi les adversaires du pouvoir gabonais ? Serait-il donc si profondément enfoncé dans la mouise pour accepter d’aller jusqu’à se décrédibiliser sur les antennes d’une radio étrangère, dans le but d’obtenir un avantage ? Celui-ci serait quoi, le perchoir de l’UOB ? Il aurait dû gagner à se taire.
En effet, en sa qualité de professeur d’université, il a commis une faute lourde : comparer des éléments incomparables. Par exemple, combien y a-t-il eu d’étrangers dans les cabinets et les gouvernements successifs du président en exercice durant ces dix dernières années au Gabon, des étrangers accusés justement de pillages massifs des ressources de l’Etat ? Et, parallèlement, dans l’entourage de Ping, combien peut-on en compter ? Quels budgets de l’Etat les uns et les autres, dans les deux camps, ont eu à gérer durant tout ce temps ? Pour quels résultats ?
Le vrai problème est que, depuis quelques temps, les organismes internationaux crient sur le Gabon pour dénoncer la gabegie, la corruption, les pillages et autres irrégularités dans la gestion des deniers de notre Etat. Et ceci se fait sur la place publique, puisque de notoriété mondiale, il est connu que des collaborateurs d’Ali Bongo croupissent en ce moment dans les geôles de la République, pour des faits de corruption et de détournements des deniers publics. Combien s’y trouveraient, appartenant au camp de Ping ?
M. Ondo Ossa aurait dû ne comparer ici que des systèmes gabonais symétriques de gestion des deniers de l’Etat. En appelant le camp de Ping à la barre, il lui a manqué assez d’arguments crédibles pour blanchir l’imblanchissable, se lançant ainsi dans des affabulations sans utilité, même pour ses étudiants. Il y avait d’autres manières plus saines et plus crédibles de venir au secours du pouvoir d’Ali Bongo. Le fil blanc se voit trop clairement.
La constance de l’engagement de Jean Ping depuis la dernière présidentielle et sa grande expérience ne méritent pas des raccourcis comme le fait Ondo Ossa … comment peux t’il douter à ce point de la sincérité d’un homme qui a autant sacrifié de sa personne pour se battre pour ce pays menacé de multiples maux ? Non … les propos d’Ondo Ossa sur la corruption au Gabon orientés … pour servir quels objectifs ? La question reste ouverte …
Il n’a pas tout a fait tord ….
Pour moi cet homme que je ne peux appeler Professeur qui est un titre ou diplôme académique des intellectuels de haute portée ayant confirmé leurs valeurs qui permettent à un universitaire d’aspirer à l’intellectualité dans un domaine donné. De mon point de vue , ce professeur des tropiques n’est que l’ombre de son titre qui finalement démontre sa basses-cours en tant que vrai professeur de la trempe de Barro Chambrier , Pr Tchivounda, etc , . D’ailleurs, il nous avait menti lamentablement avec ses fausses théories macro et micro que le Gabon serait en cessation de payement… Aujourd’hui par approche comparative du contexte ; le Gabon vit tout de même de son économie et satisfait malgré tout ses pseudo – engagements régaliens…. Tout cela pour démontrer à notre immonde intellectuell qu’il est trop bas. Et comme on le sait , il le fait peut-être est il en manque d’argent et qu’une mission lui a été mandatée pour jouer la carte du pourrissement contre Jean Ping et une frange de pseudo intellectuels jouent leurs jeux , nous le savions avec un autre pseudo Dr de la même acabit qui se trouverait aux États -Unis; vraiment des tristes personnages que l’on prend pour des intellectuels…. D’allleurs, Mr Ondo Ossa a toujours été un piètre enseignant dans notre Université à ne pas confondre avec la génération des grands enseignants universitaires qui ont marqué l’université Omar Bongo… Pour évidence son passage, en tant que Ministre de l’Education a été la plus grande désillusion sur la promotion des Professeurs universitaires en tant que Ministre de la République car son période de magistère a été la plus catastrophique concernant le niveau de corruption sur les résultats scolaires, la passation des marchés , les promotions à base ethnique, …Pourquoi s’attaquer à un collègue émérite Docteur D’Etat en Economie ( ancien régime ; pas les professeurs des tropiques ou les diplômes s’achètent),…) . Le Président Jean Ping est diplômé de la plus prestigieuse Université de France la Sorbonne alors notre piètre Professeur des Tropiques était pour ne pas citer …; Le Président Jean Ping que je respecte beaucoup en tant pour ses valeurs meme si il a été au PDG comme le piètre Professeur Ona Ondo et qui nullement un parent puisque je suis du Grand Nord mais il mérite respect parce qu’il fait partie d’une rare personnalité qui a su tenir à une famille pourtant où il en est un allier et aurait pu se taire et jouir des ses prébendes notoires de son rang . Donc pour cela ; il mérite Respect car il a travaillé au nom du Gabon dans de de Grandes institutions décisionnelles Internationales pour la gestion des Affaires du Monde ( Unesco, Union Africaine, ONU comme Président de la 59 eme Assemblée des Nations Unions… Mais il faut savoir toute raison gardée respecter les autres surtout lorsque l’on vous connaît sa petite personne ; sinon vous devenez une serpillère pour vos paires de rangs et de domaine académique…Je conseillerai notre cher ainé présomptueux de garder sa tête froide avec ses petites épaules pour rester à son niveau devant un Grand de ce Monde sinon ce ne serais vu comme de la pure haine viscérale et au nom de quoi? Monsieur Ondo Ossa gagnerait à critiquer de facon intellectuelle le contexte du Gabon au lieu de faire des essais d’appel de questions pour se donner la sympathie d’un système qui l’a vomit , chassé du Gouvernement et traité d’intellectuel incompétent notoire….. Je le conseillerais à être du bon côté de l’histoire des Grands qui ont marqué l’histoire du Gabon pour sa libération….. Quelle triste sort et destin pour ce pseudo intellectuel lirait on pour son histoire…… Obiang Paul
je pense la meme chose. Je n ai jamais cru en Jean Ping qui a mangé dans la meme assiette que les autres et probablement plus encore du à sa relation avec pascaline bongo avec qui il a eu 2 enfants. Franchement, croyez vous qu il pourrait cracher dans la soupe qui l a nourri et qui a fait de lui ceux qu il est aujourd’hui et tous les bien qu il a acquis??? sans CV, c etait le bel homme du moment. fin