Pour boucler son opération de sensibilisation dans le cadre de la lutte contre les cancers féminins en ce mois d’octobre, la Société gabonaise d’entreposage des produits pétroliers (SGEPP) a organisé pour son personnel féminin, une séance de « fitness rose » le 31 octobre..

La PCA et les femmes de la SGEPP lors du fitness rose. © Gabonreview

 

En cette fin de mois d’octobre, mois dédié à la lutte contre les cancers féminins au Gabon et à travers le monde, les femmes de la Société gabonaise d’entreposage des produits pétroliers (SGEPP) ont rechaussé leurs baskets pour une séance de «sport light». Une session de «fitness rose» pour s’amuser, mais surtout garder la forme, le sport protégeant contre certaines maladies.

La séance de fitness avec le duo de coach. © Gabonreview

Coachées par un duo d’entraîneurs sportifs, elles ont dit apprécier la séance de fitness. Petit circuit training avec échauffement autour du parking, mise en place avec les tapis, travail des abdos, cuisses, fessiers. Des enchaînements d’exercices réalisés dans des temps relativement courts pour «une petite remise en forme tranquille», a fait savoir l’un des entraineurs.

Cette séance de sport, a indiqué la présidente du Conseil d’administration (PCA) de la SGEPP, fait suite à la séance de sensibilisation sur les cancers féminins, qui a récemment eu lieu au sein de cette entreprise. «C’est une continuité», a dit Pauline Hawa Nzete. Si au cours de cette opération de sensibilisation le personnel féminin a été invité à se faire dépister, aussi bien du cancer du col de l’utérus que celui du sein, il a également été évoqué les liens entre activité physique et protection vis-à-vis du cancer. «Le fitness répond à cet objectif. Le sport c’est la vie, le sport c’est la santé. Avec le sport on peut éviter certaines maladies graves comme le cancer», a soutenu la PCA.

Encourageant les femmes de la SGEPP à pratiquer des activités sportives et conscientes de ce que ces activités doivent pour des résultats probants, s’inscrire sur le moyen voire le long terme, elle a souhaité l’accompagnement du duo de coach. «Je demande à ce que ces jeunes qui viennent nous encadrer par rapport à ce fitness, essaient de nous le faire continuellement pour que le sport fasse partie de nos habitudes afin que nous évitions ces maladies» a-t-elle dit, rappelant qu’à travers ces activités liées à « Octobre rose », la SGEPP a répondu non seulement à l’action du gouvernement, mais aussi à celle de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille «qui encourage les femmes gabonaises dans la prévention, la sensibilisation concernant ces maladies».

 
GR
 

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