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Medias : Les petits mots de Désiré Ename à Bilie-By-Nze
Actuellement en «exil» en France, le patron d’Echos du Nord s’est récemment prononcé sur la «répression» de la presse nationale sous l’égide de l’actuel ministre de la Communication.
Le clash est à son paroxysme entre le directeur de publication d’Echos du Nord (à droite) et le ministre de la Communication (montage). © Gabonreview
Depuis son arrivée à la tête du ministère de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze n’a jamais fait l’unanimité auprès des responsables des organes de presse. Une tendance confirmée par la récente sortie du directeur de publication d’Echos du Nord dans les colonnes de L’Aube. Dans la dernière parution de ce titre, le 30 janvier, Désiré Ename a fustigé l’étroitesse d’esprit du ministre de la Communication.
«Quand on est si petit d’esprit, revanchard par-dessus tout, le lieu où l’on doit être n’est point au gouvernement», a lancé le patron d’Echos du Nord. «J’ai d’ailleurs toujours dit que dans un pays normal, Bilie-By-Nze n’aurait pas été en mesure de porter le sac d’un ministre», a-t-il ajouté, fustigeant notamment le nouveau Code de la Communication, confectionné par le gouvernement en lieu et place du Conseil national de la communication (CNC).
Pour beaucoup, en effet, le nouveau texte a en lui les germes de destruction massive contre les journalistes, les directeurs de publication, mais aussi les éditeurs, imprimeurs, producteurs, hébergeurs et distributeurs. Plus pointilleux, d’autres soutiennent que le nouveau Code apparaît comme un outil destiné à passer «à la moulinette» les journaux du groupe Nord Édition et du groupe Oloumambe, éditant La Loupe, L’Aube et Moutouki.
A côté de cela, le patron d’Echos du Nord a déploré la répression du gouvernement matérialisée, notamment, par la descente des éléments de la police dans les locaux du journal à Libreville, en novembre 2016. «Le problème de notre pays est qu’une caste de personnes a accaparé le pouvoir et estime que le reste de la population, soit la majorité, n’a de quartier que le silence», estime Désiré Ename.
Et le directeur de publication du titre le plus vendu du pays de conforter ses dires, avec le récent discours de la présidente de la Cour constitutionnelle. «Après avoir délibérément réorienté le résultat des urnes en violant toute les procédures, cela, nous l’avons démontré dans nos colonnes, Marie Madeleine Mbourantsouo vient bonnement affirmer devant tout le monde que c’est l’opposition qui n’a pas encore acquis la culture du procès», a-t-il rappelé, se montrant par ailleurs très pessimiste pour l’avenir de la presse au Gabon.
20 Commentaires
… Le jour où vous arrêterez de diffamer des familles et de faire de la presse de caniveau avec vos amis vous comprendrez peut être le bien fondé de ce muselâge dont vous êtes les seuls responsables. Tout comme les chiens vous vous nourrissez dans les poubelles et le congossa est votre seul fonds de commerce. Réduit à l’exil vous persistez dans votre art. Le mensonge et la calomnie. Vous contribuez de près à la décadence du pays. Tabac de même Pipe.
Diffamer qui??Vous refusez qu on vous dise la verite…
Tout que dans le mensonge .Ca vous rattrapera un jour
Quelle vérité Désiré Ename dit . J’ai été moi diffamé par son torchon de journal et lorsque j’ai menacé de porter plainte. Ils m’ont supplié me rassurant que ça ne se reproduira plus.
Ils ont ecrit contre Nkembo? tout un quartier?
Non,toi qui ne respire que l’insolence. Je suis en phase avec ma conscience,je n’accorde aucun credit au torchon « échos du Nord « . On s’est dit les vérités mais je voudrais avouer en toute honnêteté que deux personnes m’ont impressionné par leur degré de compréhension au dessus de la moyenne. le gardien et le journaliste qui présente aussi le journal à une chaîne tv privée de la place (tvs).
Vous jouez les vierges effarouchées d’un folklore hors-d’âge, c’est du moutouki à tous les étages. Doit-on vs rappeler qu’annoncer d’avance la victoire imaginaire de son dieu (d’opérette) et ensuite feindre le nier de surcroit à répétitions n’est rien d’autre que du mensonge qui a mm failli foirer votre putsch. Qu’accuser (évidement ss la moindre preuve possible puisque c’est faux) des syndicalistes emprisonnés pour rien d’avoir lancé des pierres à des policiers en promettant apporter la preuve irréfutable (vidéo) sans jamais le faire est de la dénonciation calomnieuse rien que pour ces contre-exemples (et encore plus pour tant d’autres malheureusement ) Venir défendre la cause perdue que vous croyez justifier revient à observer “Le piètre [boiteux des 2 pieds] se moquer du boiteux”».
« Mwè-dimbu a sa gongu dyumbi » [le soleil ne se détourne jamais d’ 1village au motif qu’il est petit] sagesse Guisir
« Les barricades sont les voix de ceux qu’on n’entend pas. »Martin Luther-King
« Tari gignuda mpugu m’okyègè ni » [le soleil ne refuse pas d’éclairer 1village parce qu’il est petit] sagesse Obamba
Diffemer qui et quoi ? Lorsqu’on reagit a un article il faut factuel et precis quand on est adulte. Qu’est ce que cet article dit et qui est faux ?
Au gabon on sait faire du restructif quand on a meme pas apporte le minimum de solutions. Obn fait dans la repression quand on ne sait pas proposer des solutions ou encore quand on ne peut prouver l’efficacite des mesures et du travail accompli. C’est quoi ce repli ? Tout un pays se plaint de cette barbarie, de ce matraquage, de cette idiotie dabns la gestion du pays et il ya encore des soldats pire que les tirailleurs qui ne font meme pas marcher leur cervelle…..
ca critique la france afric et ca se cache en france, cherchez l erreur
tommo !
– il y a des français qui critiquent la france afrique et qui vivent bien et paisiblement en france.
– il y a des français qui dénoncent la mauvaise politique du Président Hollande et qui vivent bien et paisiblement en france
– il y a des français qui enfarinent leurs présidents et ministres et qui vivent bien et paisiblement en france…C’est tu as une tête découvre qui est l’erreur…pour l’instant je pense que c’est toi l’HORREUR (Heuu pardon !)l’ERREUR
Éviter ce type de raisonnement stupide Tommo honorerait le nom que vous semblez porter.
Ce sujet ne concerne pas les gabonais!!!
Quand les présidents de l’Afrique central comprendront qu’il sont sur un siège éjectable contrôlé par le peuple. …ils arrêteront d’opprimer ce peuple.peu importe la forme de l’information le rôle du journaliste est d’informer de façon objective . MON type!! si tu diriges une administration publique ou de l’état Gabonais,tu deviens un homme publique ou tout sur toi sera scruté,et « versé »au oreilles et yeux des populations. En bref,ce genre de presse fort instructif, à sa place dans ce pays,où les médias d’état sont instrumentalisés par le pouvoir. …Démocratie de façade ouais! !!
« Et le directeur de publication du titre le plus vendu du pays de conforter ses dires »
Comment Echos du Nord peut-il être le titre le plus vendu du pays alors qu’il paraît une fois par semaine et est imprimé à 10 000 exemplaires quand l’Union est imprimé entre 18 et 25 000 exemplaires par jour.
Merci d’arrêter la désinformation
Cher Axelrod,
Echos du Nord paraît trois fois par semaine depuis trois mois. Ca vous a échappé… Pour moi, c’est la preuve qu’il vous manque le sens de la curiosité. Regardez autour de vous, informez-vous un peu.
Toi, a part etre un disciple de BOA, est tu reellement qqun qui vit au Gabon ? Je ne te poserais la question autrement car tu me traiterais encore de xenophobe. ECHO du nord parait 3 fois par semaine et au vu de la vitesse avec laquelle il disparait des kiosques, il est fort a parier que ce jpurnal est le plus vendu. DEMANDEZ ! COMPARER !
4 feuilles ecrites en gros caracteres lol,
c est le journal des makaya qui savent pas lire
Et vous avez fait une enquete et conclu que L’Union se vend bien? Apportez nous une preuve svp.
Comparez ce qui est comparable. Qui sont les financiers de l’Union, le seul quotidien? Les adeptes de la pensée unique n’ont jamais accepté la différence de pensée
Messieurs, le jour ou le gabon sera un véritable démocratie cette presse disparaitra.
Impossible, moutou1! Même au États unis, les journaux de critiques continuent de faire leur travail de dénonciation. …sans que l’on ne ferme,ou interdise leurs parution comme au Gabon.