Actuellement en travaux de réhabilitation, l’École provinciale de formation d’action sanitaire et sociale (EPFASS) de Mouila pourrait rouvrir ses portes dès juin 2023 et accueillir plus de 200 élèves, à en croire le gouvernement.

Les travaux de réhabilitation seraient réalisés «à plus de 90%» pour ce qui concerne le gros oeuvre, apprend-on du ministre de la Santé, Dr Guy Patrick Obiang Ndong. © D.R.

 

Lancés depuis plusieurs mois, les travaux de réhabilitation de l’École provinciale de formation d’action sanitaire et sociale (EPFASS) de Mouila, dans la Ngounié, se poursuivent. Ceux-ci seraient réalisés «à plus de 90%» pour ce qui concerne le gros oeuvre, apprend-on du ministre de la Santé, Dr Guy Patrick Obiang Ndong, qui s’est rendu sur les lieux la semaine dernière, dans le cadre d’une mission d’inspection conduite par le vice-premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze. Selon le membre du gouvernement, la réouverture de l’établissement pourrait se faire au début du premier semestre 2023 avec, dans la foulée, le lancement du concours. 

Figurant parmi les projets prioritaires du Plan d’accélération de la transformation (PAT), la réhabilitation de l’École provinciale de santé de Mouila est rendue possible grâce au financement de la Banque africaine de développement (Bad). «De manière globale, nous sommes satisfaits, même si nous avons constaté quelques anomalies que nous ferons connaître à l’entreprise adjudicataire de ce marché», a réagi le ministre de la Santé.

La capacité d’accueil de cette école est de 200 élèves. La plupart disposeront d’un internat, lui aussi en pleine réhabilitation.

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Lavue dit :

    L’heure du bilan approche. Faut vendre ce qu’on peut. Le peuple de toute façon a la mémoire courte. C’est ce que se disent les cancres PDGistes. Incapable de déclencher la rupture à la tête du parti et de donner au Gabon la chance d’avoir à sa tête un compatriote en pleine possession de ses moyens physiques, mentales et intellectuelles pour aider le pays à sortir du pilotage à vue, du marasme économique et social dans lequel il s’est enfoncé depuis l’AVC du distingué camarade.

    Pauvres PDGistes. Sans tricherie, manigances, scrutin mal organisé, fraudes massives, le PDG n’a absolument aucune chance, avec un tel bilan noir, de gagner une élection crédible. Tous le savent. Mais ce qui compte ce sont les petits intérêts personnels malheureusement.

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