Le Gabon est en lice pour le renouvellement des membres du groupe Etats d’Afrique du Conseil des droits de l’homme qui se tiendra le 13 octobre 2020,  au cours de la soixante-quinzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies.

Le Gabon est en lice pour le renouvellement des membres du groupe Etats d’Afrique du Conseil des droits de l’homme. © D.R.

 

Le Gabon est candidat dans la catégorie Etats d’Afrique au Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies pour un mandat de trois ans (2021-2023). Pour l’obtention d’un des quatre sièges vacants, le pays est en lice face à la Côte-d’Ivoire, le Malawi et le Sénégal.

La candidature du Gabon semble solide. Si le pays n’a pas appuyé sa candidature par des engagements qu’il aurait choisis conformément au paragraphe 8 de la résolution 60/251 de l’Assemblée générale ; pour le Garde des Sceaux, en matière de ratification, le Gabon est partie à la majorité des traités internationaux en matière des droits de l’homme. La ratification des traités restants est en cours.

Signataire des Conventions internationales en matière de valorisation des droits de l’homme, le Gabon entend poursuivre la mise en œuvre de ses engagements et à améliorer davantage le respect des instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l’homme.

Le Conseil des droits de l’homme est composé de 47 États membres élus directement au scrutin secret, à la majorité des membres de l’Assemblée générale des Nations unies. L’Assemblée générale tient compte de la contribution des États candidats à la promotion et à la protection des droits de l’homme, ainsi que des engagements qu’ils ont pris volontairement à cet égard.

 
GR
 

9 Commentaires

  1. Serge Makaya dit :

    Le Gabon au Conseil dès droits de l’homme dans un pays qui ne respecte pas ces droits de l’homme ? A Ntare Nzame !! Pauvre Gabon !!

  2. Abdallah dit :

    Les dirigeants gabonais sont tellement idiots qu’ils pensent que la communauté internationale ne sait pas ce qui se passe dans le pays de Ya Ali. Vraiment c’est de la folie.

  3. Jean jacques dit :

    Ce cancre de serge avec des expression d’une personne ignorante.il fallait que toi et tes criminels de ce vieillard cassent et brulent? Vous êtes des hommes pourquoi certains sont en prison? Les droits de l’homme ne veut pas dire vous pouvez tout faire.

    • JAMES DE MAKOKOU dit :

      Ce CANCRE DE JEAN PACQUES.. !! JE CROIS QUE LE MOT CANCRE EST GENTIL ..VOUS ÊTES PUREMENT SCHIZO.. POUR ACCEPTER QU’UN PAYS QUI MET EN PRISON DE BRAVES CITOYENS JUSTE PAR CE QU’ILS NE SONT PAS D’ACCORD AVEC LEURS VISIONS MACABRE DE SPOLIER LE PAYS ET RENDRE LA POPULATION SDF ET EN PLUS LES TRAUMATISER… CE SONT EUX LES CRIMINELS ET USURPATEURS DE CE BEAU PAYS.. ET JE ME DEMANDE SI TU ES VRAIMENT UN VRAI GABAO.. OU TU ES BENINOIS GABONAIS.. VA VOIR CE QUE TALON FAIT CHEZ TOI

  4. KEN JOBSI dit :

    Le Gabon, C’est triste. Un pays incapable de respecter les droits de l’homme, bafouant le respect et le droit a la liberté. C’est a croire que tout vas maintenant de travers dans ce monde.

  5. bassomba dit :

    avec la récente dépénalisation de l’homosexualité, le Gabon a de fortes chances d’entrer dans ce conseil.

  6. Lionel Augoula dit :

    Félicitations, mais ça ne va servire à rien parce-que ce pays ne respecte même pas les droits de l’homme et c’est pas à cause de dépénéisation de l’homosexualité que vous allez nous faire croire le contraire

  7. Ebang ondo Jean Elvis dit :

    Bonjour,

    Le Gabon candidat au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Je pense les grands dossiers des violations des droits de l’homme et les libertés fondamentales qui minent notre pays seront présentés et traités au grand jour en cas d’admission. Il y a le phénomène des crimes rituels( sacrifices humains avec prélèvements d’organes) soulevé en 2005 par les Agences des Nations Unies (UNESCO, UNICEF etc.) résidents à Libreville sans oublier le Gouvernement, certains Ambassades des pays amis et la société civile. Plusieurs recommandations ont été prises mais sans suivi et évaluation. Il nous faut un second colloque pour la suite de cette rencontre historique de 2005.
    Les enlèvements et les disparitions forcées qui refont surface à travers l’étendue du territoire nationale. A la veille de cette rentrée des classes 2020-2021 à deux vitesses (conventionnées en classes, les publiques et privées dehors jusqu’à présent), plusieurs parents d’élèves vont encore perdre leurs enfants dans ce pays ou l’impunité des commanditaires des criminels rituels et de disparitions forcées est banalisée.L’insécurité dans les grandes villes reste d’actualité.
    Les détenus politiques, les crimes économiques, les libertés d’expressions, les libertés religieuses et autres sont réprimées avec violence. Nous attendons les résultats des élections.

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