La première fille d’Omar Bongo et sœur aînée de l’actuel président du Gabon aurait été le dernier amour de Bob Marley, roi indétrônable du Reggae 36 ans après sa mort. Sorti le 7 avril dernier, un livre de la journaliste française à l’hebdomadaire Le point, va plus loin que tout ce qui a été dit à ce sujet jusqu’ici. Musiciens, manager, parents du chanteur, témoins divers, et surtout la concernée elle-même, s’épanchent sur cette liaison, passionnelle à ce qu’il parait, ayant duré moins de deux ans.

© Collection personnelle

 

Gabonreview en a déjà fait état, en juin 2012 lors de la sortie du documentaire consacré au Dieu jamaïcain du Reggae, tout simplement titré «Marley» (Lire « One Love: Bob Marley, Pascaline Bongo »). On le savait donc déjà : La première fille du second président du Gabon, Pascaline Mferri Bongo, a été l’une des amantes de la plus grande star musicale du XXème siècle jamais sortie du tiers-monde.

Un tout nouveau livre, titré « Bob Marley et la fille du dictateur », revient plus en détails sur cette liaison amoureuse au sujet de laquelle beaucoup de Gabonais sont sceptiques, estimant que Pascaline Bongo surjouait et en faisait un peu trop quant à sa relation furtive avec une star en ayant vu des vertes et des pas mûres en matière de beautés féminines. Paru le 7 avril dernier, l’ouvrage est l’œuvre d’Anne-Sophie Jahn, 34 ans, journaliste au magazine d’actualité hebdomadaire français Le Point. L’auteur a travaillé pour le New York Sun, C8, Arte, et elle avait déjà commis un autre ouvrage : « Les Sept Péchés capitaux du rock » (Flammarion).

La journaliste Anne-Sophie Jahn relate l’histoire d’amour entre la fille aînée d’Omar Bongo, alors étudiante de 23 ans, et la superstar planétaire Bob Marley. © Editions Grasset

Bob Marley à Pascaline Bongo : « Tu es vilaine »

Si Gabonreview n’a pas eu l’occasion d’en lire déjà tout le contenu, le dossier de presse du livre commence par « Tu es vilaine », première phrase que Bob Marley avait lancé à Pascaline Bongo lors de leur première rencontre, le 23 novembre 1979 aux États-Unis. La scène se déroulait dans les vestiaires d’une salle de basket de la prestigieuse université californienne UCLA. Le porte-étendard du Reggae venait alors de donner un concert devant 15 000 fans.

Étudiante en master d’administration publique aux États-Unis, alors âgée de 23 ans, Pascaline Bongo, médusée et n’ayant pas l’habitude d’être rabrouée, aurait regardé la superstar droit dans les yeux avant d’éclater de rire. Marley lui aurait expliqué que ce n’était pas littéral. Il voulait dire qu’il n’aimait pas le fait qu’elle avait les cheveux défrisés. Il y a, en effet, que pour les rastas, les cheveux sont sacrés, ils ne doivent être ni coupés, ni coiffés. Un an auparavant, la première fille d’Omar Bongo avait assisté à un concert de la légende du Reggae à Paris. Elle connaissait déjà toutes ses chansons par cœur et adorait particulièrement la sensualité de l’une d’elles, « Stir It Up ». Elle aimait la façon dont Bob Marley abordait les thèmes de l’amour, sa manière de prêcher de la foi en Dieu, sa musique… tout en Marley la subjuguait. Elle lui demandera alors s’il pouvait venir au Gabon pour jouer à l’anniversaire de son père.

© Howilovegabon.com

Janvier 1980 | Bob Marley à Libreville : « Nous ne savions pas qu’Omar Bongo était un dictateur »

Bob Marley est finalement venu jouer à Libreville en Janvier 1980. Les Wailers qui n’étaient encore jamais venus en Afrique découvrent alors une capitale gabonaise plutôt moderne, trois ans après le sommet de l’Organisation de l’Union africaine (OUA, ex-Union africaine – UA). À la faveur de cet évènement, la ville avait en effet été enjolivé au terme de grands travaux publics et architecturaux. Pas moins lucides, malgré les tonnes de ganja consommées, la tribu rasta perçut tout de même un pays inégalitaire, avec une grande partie de la population vivant dans la pauvreté extrême.

De nombreux Librevillois ne pouvant se payer le ticket d’accès au concert, Bob Marley insistera d’ailleurs pour que tous les badauds restés hors du gymnase du stade omnisports Omar Bongo puissent y assister gratuitement. Ce qui sera fait. « Nous ne savions pas qu’Omar Bongo était un dictateur », regrette Junior Marvin, guitariste solo des Wailers, qui fera pourtant d’autres séjours à Libreville sans les Wailers. « Ils n’étaient pas colonisés mais ils n’étaient pas libres. Le Gabon était un pays néocolonial dirigé par un homme noir », regrette pour sa part Judy Mowatt, choriste des Wailers aux côtés de Rita Marley.

1980, dans le studio d’enregistrement Tuff Gong, créé par Marley. © Collection personnelle

« Could You Be Loved », une chanson dédiée à Pascaline Bongo ?

Le livre est bourré d’anecdotes où l’on découvre notamment que le premier enfant de Pascaline Bongo avec Jean Ping, une fille, est prénommée Nesta, en souvenir de Bob Marley dont le nom pour l’état-civil était Robert Nesta Marley ; qu’Omar Bongo avait été le seul chef d’État à proposer qu’Haïlé Sélassié s’installe au Gabon après sa chute du pouvoir (de quoi forcer le respect et l’admiration des rastas pour qui l’empereur Ethiopien était Jah, l’incarnation de Dieu); que malgré la différence des mondes qui séparait Marley et Pascaline Mferri (11 ans de mois que la star), il s’en suivra une histoire d’amour qui ne débute réellement qu’à Libreville et qui sera « pas cachée mais pas publique », selon le témoignage de Junior Marvin ; que Pascaline Mferri a assisté de près à la production d’« Uprising », le dernier album de Bob Marley and The Wailers ; que la chanson « Could You Be Loved » a dû être écrite pour elle ; que la fille d’Omar Bongo a fêté ses 24 ans dans la villa jamaïcaine de Marley ; que Cedella, la mère de Bob, la décrit comme la femme la plus attentive et aimante que Marley ait connue, celle qui restait avec lui dans les pires moments, même durant l’ultime maladie ; que  Pascaline Mferri était là, en larmes, le 21 mai 1981 à Nine Miles en Jamaïque, à l’enterrement du grand chanteur, etc. etc.

Anne-Sophie Jahn, auteur du livre, a enquêté pendant deux ans à Paris, Los Angeles et en Jamaïque. Après l’avoir littéralement harcelée, elle a recueilli le témoignage inédit de Pascaline Bongo dont le récit mêle scènes et confidences, solos et foules en transe, sur un ton libre, brûlant.  Ayant quitté la terre des hommes à 36 ans, la plus grande star musicale du XXème siècle revit ainsi à travers ce livre : « Bob Marley et la fille du dictateur », d’Anne-Sophie Jahn, éd. Grasset, 224 pages.

 
GR
 

35 Commentaires

  1. Serge Makaya dit :

    Je ne fais que passer…

    • Serge Makaya dit :

      Je reviens pour dire à l’auteur de ce livre qu’il fallait écrire plutôt comme titre ceci: « Bob Marley et la fille du valet des dictateurs français. » C’est plus prêt de la vérité. Omar Bongo n’était qu’un jouet entre les mains de la francafrique. A Ntare Nzame !! Pitié !!

      • Missambo dit :

        Vous feriez mieux d’écrire votre propre livre plutôt que de venir vomir votre haine chaque jour que « Nzame » fait en commentaire sur ce journal en ligne. Pour votre culture générale, lorsque que celui qui écrit un livre est une femme on l’appelle « une autrice ». ENGONGOLE !

    • Gaston dit :

      Sans intérêt. Comme Serge Makaya, passons…

      • Fille dit :

        Tout à fait sans intérêt. L’obscurité a beau se donner les moyens d’assombrir la Lumière, rien n’y fera jamais. Bob Marley ? Mickeal Jackson ? Ping ? et qui d’autres ? La fille de n’avait qu’à choisir et papa banquait. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un charme naturel. Et d’ailleurs pourquoi nous sortir un tel sujet has been ? Ah oui, Bob Marley est toujours célèbre et adoré, alors on a besoin d’un peu de son aura. L’obscurité ne peut assombrir la Lumière.

  2. Irène dit :

    Je suis pour le départ du clan Bongo-Valentin. Mais je trouve aussi culotté qu’on traite Omar Bongo de dictateur. Ce n’est pas complètement faux. Mais ces français ont aussi la mémoire bien courte. Quand il vous distribuait les mallettes d’argent, il n’était pas dictateur, n’est ce pas ? Hypocrites que vous êtes !

    • Missambo dit :

      Mais enfin … pourquoi vous êtes aussi bête que haineuse comme ça ? Donc parce que des politiques français ont touché de l’argent des politiques gabonais « tout les français sont des hypocrites » et aucun français n’a le droit d’être en désaccord et de s’exprimer sur le sujet ? Donc si je vais dans votre sens tout les gabonais sont des voleurs et des menteurs alors ? Vous vous rendez compte un peu de la profondeur de votre bêtise ?! La grande majorité des français sont contre la françafrique et pour la démocratie. Vous ne pouvez pas condamner tout un peuple du fait des actions passées d’une minorité au pouvoir. Il faut savoir ce que vous voulez hein : quand les français se mettent du côté des africains ils sont des hypocrites et quand ils ne s’en soucient pas ils sont je ne sais quoi d’autre. C’est à cause de gens comme vous que les gabonais sont vus comme des imbéciles dans toute l’Afrique et au delà !

      • Irène dit :

        « …la grande majorité des français sont contre la francafrique… », écrivez-vous. Où sont-ils sur le terrain pour être du côté du peuple gabonais ? Qu’est ce qui ferait peur aux français installés au Gabon d’être avec ce peuple qui souffre depuis plus de 50 ans ? L’armée française installée au Gabon ? Elle ne va pas tout de même TIRER sur ces compatriotes qui viennent donner un COUP de MAIN à ce peuple miséreux ?

        Voyez-vous, « Missambo », le Gabon n’est pas le Burkina Faso ou le Bénin. C’est impossible qu’un pays d’à peine 2 millions d’habitants puisse voir 95% de sa population vivre dans le seuil de pauvreté avec autant de richesses dans son sol et sous sol.

        • SERGE MAKAYA dit :

          Merci Irène. Je n’ai rien contre les français. Il faut que Mme Missambo le sache. J’ai beaucoup d’amis français (hommes et femmes). J’ai été souvent en France (missions et autres)…

          On aimerait simplement que vous soyez un peu plus intégrés dans la culture Gabonaise (partager les joies et les souffrances de notre peuple), comme mon petit frère que voici. AKIBA André Groisillier

          https://www.gabonreview.com/karate-a-82-ans-et-apres-49-ans-a-la-tete-du-dojo-du-samourai-andre-groisillier-passe-la-main/

          Pardonnez-moi si vous pensez que je vous offense souvent par mes POSTS, Mme Missambo. veuillez m’excuser. Je ne m’en prends pas à vous. Que Dieu vous protège ainsi que vos proches.

        • Yanick Dibangoye dit :

          si c’était le cas que beaucoup la majorité des français étais contre la France Afrique,ils allaient voter Marine Lepen.
          c’est comme arraché l’os à son chien.
          Le Gabon est la source de vie de la France, les présidents que nous allons mettre serons toujour au service de la France.
          notre très cher (président) étais au solde de qui quand il dirigeait l’union Africaine ? de la France, il a donné l’ordre de à la France de bombardé la Lybi et de proclamé la victoire de l’rn côté d’Ivoire.
          s’il étais président aujourd’hui qui devais être son maître ? la France bien sûr. Mm Léon Mba étais leur marionnette.
          bonc…

      • Giap EFFAYONG dit :

        @Missambo,
        Je me demande ce que vous gagnez à faire l’avocat du diable et pourquoi croyez vous avoir raison contre la majorité des gabonais qui ne pensent pas comme vous.Moi, je vous le dis:C’est bien la France la cause de nos malheurs et ce n’est pas demain que je changerais d’avis.Amen.

        • Ulys dit :

          Sa présence et celle d’un certain jean.blemont doivent nous surprendre. C’est peut-être des espions français qui sont envoyés ici parce qu’on écrit beaucoup au sujet de la francafrique.

          A part cette présence de curiosité, n’attendons pas d’eux une aide quelconque pour nous aider à déloger les Bongo qu’ils nous ont imposé depuis 1967.

          Les français sont hyper hypocrites. Ils viennent placer leurs valets en Afrique qu’ils traitent ensuite de dictateurs. Incroyable. J’ai même honte à la place de ces Bongo. Ils font d’eux ce qu’ils veulent vraiment. La plupart des chefs d’État d’Afrique subsaharienne sont des pantins de la francafrique. Et ils sont le plus souvent traités de dictateurs. Mais qui les a placés à la tête de ces pays si ce n’est le Quai d’Orsay ? Ils n’ont même pas honte de leurs hypocrisies démasqués.

  3. Le Patriote dit :

    Chers compatriotes, je crois que vous n’avez pas encore compris le véritable sens de cette affaire.
    La jeune fille est allée draguer un musicien des ghettos avec l’argent du Gabon. Après le spectacle, elle invite le groupe de musiciens dans sa luxueuse villa pde Beverly Hills, elle voyage tous les week-ends en jet privé pour se faire envoyer en… et fumer un petit joint en passant. En 1981, elle demande au kayaman de venir chercher sa mallette à Libreville chez son père, une manière d’acheter le mariage qui n’aura jamais lieu. Et tout ça avec l’argent du Gabon. Qu’est-ce que les Gabonais ont fait à cette famille ? Dieu ne vous a pas donné le droit de faire du Gabon ce que vous êtes en train de faire. Publier ce livre aujourd’hui c’est une insulte au Gabonais. Ce livre doit être interdit de vente au Gabon.
    Quant à Bob Marley, j’aimais sa musique et sa philosophie mais, apprendre qu’il était devenu un gigolo et qu’il fréquentait la fille d’un dictateur, je suis très déçu. Je comprends que c’était bien un drogué qui balançait des paroles qui n’avaient pas de sens pour lui-même. Finalement, ce rastaman n’arrive pas à la cheville de Martin Luther King.

    « I have a dream »

    • Gabonreviewadmin dit :

      Dans les quartiers de Libreville, on aurait dit que vous faites du MCTD (Mauvais Cœur Très Dur Noir et Amer). Dans la civilisation, on dira : vous êtes de mauvaise foi. Merci tout de même de continuer à nous suivre.

  4. Serge Makaya dit :

    La beauté physique est éphémère. Raison pour laquelle il est souhaitable de tabler sur la beauté du cœur. Ce qui, malheureusement, n’est pas le monopole des Bongo-Valentin-Sassou. Sinon, le Gabon et le Congo voisin seraient des oasis de paix et de bonheur.

    • Julien dit :

      Autrement dit, Serge Makaya, celui qui aime vraiment ne fait point de mal au prochain (prochain ici signifie tout gabonais). Les Bongo n’aiment pas le Gabon (tout comme les français) mais les richesses du Gabon. Et c’est la la différence. Qu’ils cessent de mentir qu’ils aiment les gabonais en les les depouillant de leurs biens.

      Un président de la république ou une équipe gouvernementale devrait être tout simplement au service du peuple de ce pays, sans rechercher un quelconque bonheur personnel. Son bonheur, il ou elle le trouve dans le bonheur qu’il fait aux autres. Voilà à quoi DOIT servir un président de la république ou une équipe gouvernementale: sacrifier sa vie pour le bonheur des autres. Et en quittant le « pouvoir » (qui prend ici le sens de sacrifice, de service), ce peuple me sera extrêmement reconnaissant.

      Existent-ils encore aujourd’hui de tels hommes et femmes capables de tels sacrifices ?

  5. ALINGOME dit :

    Où est le respect de la vie privée de la Dame? L’avez vous consultée avant la publication du brûlot ? Je ne crois. Ce qui edt ttrd inquiétant c’est un ensauvagement du Gabon pour être du côté de ceux qui ont le butin.

    • Gabonreviewadmin dit :

      Lisez au moins l’article, ce n’est ni difficile, ni douloureux. Mme Mferri Bongo avait déjà témoigné elle-même dans le documentaire du britannique Kevin MacDonald sur Bob Marley. Elle a encore largement livré sa part de vécu et de vérité à l’auteur (autrice pour les plus exigeants) de ce nouveau livre dont de nombreuses illustrations proviennent de sa collection personnelle. Elle a donc donné son autorisation, même si nous ne croyons pas du tout qu’elle ait pu valider le titre de l’ouvrage.

  6. MOUNDOUNGA dit :

    Bjr. Vous avez bien lu le dernier paragraphe. Il est écrit je cite « Après l’avoir littéralement harcelée ». Or en Droit l’on évoque le caractère nul et vicié de tout contrat recueilli par la force et la violence. En quoi donc un tel livre peut être crédible. Amen.

  7. MOUNDOUNGA dit :

    Bjr. Moi je me pose toujours la question de savoir pourquoi GabonReview nous sert toujours la vie privée des gouvernants. Vraiment en quoi est ce d’intérêts public que « Marley est dis à Pascaline qu’elle est vilaine ». Qu’est ce que honnêtement nous gagnons à le savoir ? A contrario nous aimerions savoir les causes de la suppression de bourses pour nos enfants à l’étranger au compte du mois d’Avril au moment ou la République prend en charge les frais d’écolage à NKOK. Plus encore la régularisation des situations administratives des agents de l’Etat à 8 mois de la fin de l’année ou en est t-on ?, la violence en milieu scolaire autant de sujets pertinents et recommandables susceptibles de mettre un peu plus de sérénité dans le cœur des gens. Amen.

    • Gabonreviewadmin dit :

      Vous faites comme si nous n’avons pas abordé les sujets que vous listez. Ce qui n’est pas de votre goût, intéresse bien d’autres personnes. Pourquoi donc un éditeur accepte-t-il de produire un tel livre ? Pourquoi tant de médias internationaux chroniquent-ils ce livre ? La vie privée des gens publics influence la gestion des affaires publiques sur lesquelles elle peut rejaillir. Attention à l’égocentrisme et merci de continuer à nous suivre.

      • Serge Makaya dit :

        Je suis avec vous Gabonreview. Ils sont nombreux les espions au service du diable sur votre page. Tous déguisé en anges de lumière. Dès FAUX tout simplement. A Ntare Nzame. Je vais prier Nzame pour vous Gabonreview. Merci pour vos articles. Ne cédez jamais à ces avatars de démons.

      • MOUNDOUNGA dit :

        Bjr. Amicalement votre. Je reçoit avec beaucoup de cordialité votre réponse tout en précisant à serge Makaya que n’est pas démon forcément celui qui dénonce quelque chose. Peut être la manière fait défaut. Amen.

        • SERGE MAKAYA dit :

          Mon fils « MOUNDOUNGA », qui a t-il de mal d’évoquer un sujet qui tout le monde en parle déjà ? Même en France, c’est déjà dans des journaux comme Paris Match (https://www.parismatch.com/People/Le-dernier-amour-de-Bob-Marley-1732517)… On découvre même beaucoup plus en lisant l’article de Paris Match. On se rend compte combien de fois elle aimait Bob Marley. Tant mieux pour elle. Tomber amoureux de quelqu’un, quoi de plus naturel. Moi, avec mon âge très avancé, je suis toujours FOU AMOUREUX de mon épouse, A Ntare Nzame !!

          Seulement, ce qui CHOQUE ICI, c’est l’argent du CONTRIBUABLE qui beaucoup servi dans cette relation. Et notre peuple dans tout ça ? Pitié !!

          On aimerait avoir aussi des Gabonais qui savent TOMBER AMOUREUX de leur PEUPLE et le prendre en charge, s’occuper de lui. Omar Bongo disait souvent « Gabon d’abord ». Mais dans la pratique, c’était plutôt Bongo d’abord.

          On pardonne, ou plutôt JE PARDONNE MA FILLE PASCALINE BONGO. Si seulement elle pouvait aussi nous aider à nous défaire de sa parenté qui veut toujours s’accrocher au pouvoir. On lui serait très reconnaissant pour ça.

  8. Cashsuper dit :

    Et la publication de ce livre change quoi à la misérable vie des Gabonais. Cette histoire n est pas inconnue elle est sur la place publique depuis 40 ans. Bref rien de nouveau sous le soleil, les filles Bongo comme on le sais couchent avec le premier étranger venu. Elles ont hérité ça de leur père !

  9. jean blémont dit :

    Le gabon étant un tout petit pays de 800.000 gabonais et 600.000 étrangers, comment les gabonais peuvent-il croire une seule seconde que leur pays a une importance autre que celle de fournisseur de matière première :minerais, bois, et occasionnellement de malettes de pognon pour certains de nos politiques qui profitent de l’avidité de leurs homologues gabonais.
    cessez de penser que vous ètes le nombril du monde, personne ne vous connais en dehors des français.
    quand à la pascaline, elle ne représente rien, nada, que dalle.

  10. Milangmissi dit :

    La journaliste Anne-Sophie Jahn a été payé par pascaline bongo pour relater l’histoire d’amour qu’elle croit avoir vécu avec la superstar planétaire Bob Marley.
    Le tout paris littéraire en est informé puis que la dame a sollicité plusieurs personnes qui ont refusé de se salir avec des conneries pareille.
    Aucun proche de Bob Marley n’a jamais parlé d’amour entre la dame Bob Marley tout le monde sait que c’est une histoire d’argent.

  11. Jean .jacques dit :

    Votre haine va vous tuer tous.on part des Bongo Bongo on laisse criminels pilleurs et bandits du Gabon Ping Jacky Myboto.Eyeghe.Mba Abessolo.Rene Ndemezo.Divungui.Mangaga.pendi.voila kes gens qui ont tuer volé lapider le Gabon.

  12. Jean .jacques dit :

    Est ce que le changement du régime forcement synonyme du bien être de la population?

  13. Jean .jacques dit :

    Toutes les personnes citées ont des biens immobiliers en France ils ont eu cet argent ou Irene serge vous qui penser q rien que les Bongos vos ennemis.

  14. Jean .jacques dit :

    Irene qd elle recevait les bouquets de fleurs de ce ping.tu pensais qu’il allait te faire Première Dame? Et serges voyait le poste de DC de Ping il faut bien rever.

    • Tellier Yvon dit :

      Vous avez un problème psychique ou psychologique, vous et un dénommé jean blémont qui se dit français. Je suis aussi français, mais je ne cautionne pas ce qu’a fait la famille Bongo et ses amis de TOTAL.

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