La municipalité de Libreville et les parties prenantes au projet d’installation de 300 pompes hydrauliques urbaines à répartir entre Libreville, Akanda, Owendo et Ntoum, ont lancé le 15 mai l’opération de prospection des sites devant abriter ce projet.

La municipalité de Libreville et les parties prenantes au projet d’installation de 300 pompes hydrauliques urbaines en prospection des sites devant abriter ce projet. © Mairie de Libreville

 

Une délégation de la mairie de Libreville, de l’Agence nationale des grands travaux d’infrastructures (ANGTI) et du Conseil national de l’eau et de l’électricité (CNEE) a initié le 15 mai, une descente de terrain dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville, pour le repérage et le choix des sites devant accueillir d’implantation de 100 pompes hydrauliques urbaines, dans le cadre du programme «300 pompes hydrauliques urbaines du Grand Libreville».

© Mairie de Libreville

Il s’agissait également pour le maire Léandre Nzué, et les membres de la délégation qui l’accompagnait, d’échanger avec les riverains sur les réelles possibilités d’installer ces pompes nécessaires pour leur bien-être. La première étape de cette opération de prospection et de sensibilisation, qui sillonnera toutes les communes du Grand Libreville, s’est effectuée sur les sites d’Avéa pavé et Avéa carrefour des jeunes.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme d’amélioration de la fourniture d’eau potable aux populations du Grand Libreville. Cette conurbanisation a besoin de 300 000 m³ d’eau par jour pour satisfaire la demande de ses habitants. Or, la Société d’énergie et d’eau du Gabon ne produit 230 000 m³ d’eau/J, soit un déficit journalier de 70 000 m³ d’eau.

 
GR
 

4 Commentaires

  1. Paul Bismuth dit :

    Il leur faut surtout de l’eau dans la maison (et je ne parle pas de l’eau qui se glisse par les nombreux trous de leur taudis les jours de pluie), merci.

  2. Ho chi minh dit :

    Dans les années 60 nous avions des fontaines publiques, comment comprendre que en 2020 on procède au grand bon en arrière mais cette fois avec des pompes hydrauliques  »Leon MBA Minko réveil toi ils sont pire qu’incompetent ».

  3. Lagens dit :

    Vraiment un véritable bon en arrière, dans les années 70 on s est lavé à la pompe public marché de nkembo, 50 ans après on parle d installer des pompes public dans la capitale du pays triste à en mourir

  4. DECO dit :

    la critique c’est bien la proposition est encore mieux, quand nous savons le contexte sanitaire actuel qui nécessite plus d’hygiène ajoutée aux mesures barrières. De ce faite, nous avons plus que jamais besoin de l’eau potable et comment faire pour l’obtenir? Sachant qu’une proposition est celle des pompes hydrauliques public en plus des réfections qu’ils doivent faire des pompes publics existants défaillants, la canalisation, la voirie et le foncier qui sont aussi dans une situation problématique. C’est chaux!!! Nous disons qu’un décret présidentiel ou une ferme volonté de solidarité et politique faisant en sorte que ce qui est dans théorique deviennent pratique visible sans métaphore.Cela permettra de bien comprendre les sites stratégiques comme les pompes que nous retrouvons dans les endroits publics aujourd’hui. vous trouverez par exemple des sites composés des voies secondaires tracées non viabilisées qui n’ont pas de l’eau et dont l’exécution nécessite de prendre soit de l’état de la route, de l’eau de l’électricité. Organisons maintenant la cité idéale de demain. Pour que cela se fasse, nous devons agir de façon globale en intégrant tout le monde en commençant notre Président pour finir par nous même la population. La réhabilitation des voiries et voies secondaires c’est d’abord une question de synergie et fonctionnement intégrant toutes les parties en plus de délégation le président, le gouvernement notamment le ministères des infrastructures et Travaux Publics, des finances et de l’économie. Il faut prendre le problème bras le corps et le centralisé en agissant tous ensemble sinon les patriotes des vrais doivent s’éveiller pour rétablir et bâtir l’édifice Grand Libreville. En effet, une mise à jour doit être faite au regard du faite que le Grand Libreville est quasiment tracé sur le papier en terme de plan de situation de nos voies (Allée, Avenue et Rue) est en mouvement. Aussi, renforçons les budgets dans les secteurs prioritaire par rapport de l’épidémie et l’après – coup. nous suggérons de voir à la hausse l’amélioration de la fourniture d’eau potable aux populations du Grand Libreville. Si le problème de réalisation est utopique par rapport à son déficit de production de barils d’eau par jour qui ne produit que 230 000 m³ d’eau/J, soit un déficit journalier de 70 000 m³ d’eau. Merci…

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