Au lendemain de son interpellation par les députés sur la gestion, par son gouvernement, de la crise sanitaire due au Covid-19, le Premier ministre qui a pris part ce vendredi 8 mai au Conseil des ministres présidé par le chef de l’État a exprimé sa détermination à poursuivre sa lutte contre le Covid-19 aux côtés des populations et du président de la République.

Le Premier ministre Julien Nkoghe Bekale, pendant le Conseil des ministres par visioconférence, le 8 mai 2020. © KJK Com

 

N’étant parvenu que moyennement à cacher, jeudi face aux députés, les manquements enregistrés dans la mise en œuvre de la stratégie gouvernementale de riposte contre le Covid-19, Julien Nkoghe Bekale n’entend pas se laisser démonter par les quelques écueils observés par les élus. Au lendemain de sa présentation du bilan des premières phases de l’état d’urgence et sa participation ce vendredi 8 mai au Conseil des ministres, il assure qu’il poursuivra sa lutte contre cette pandémie ayant dépassé les 500 personnes infectées dans le pays.

«Notre engagement reste total. Nous ne baisserons pas les bras», promet-il sur sa page Facebook, peu après le Conseil des ministres organisé par visioconférence.

Le chef du gouvernement qui, au cours des travaux, a présenté à Ali Bongo les perspectives du gouvernement visant une meilleure gestion de la crise sanitaire actuelle a également promis de s’investir plus que pendant les mois précédents. «Nous ne ménagerons ni notre temps ni notre santé pour être aux côtés du président de la République et des Gabonais pendant cette période», garantit-il.

Les conclusions du Conseil des ministres de ce 8 mai sont attendues dans les toutes prochaines heures. La plupart des décisions, voire toutes, devrait avoir un lien avec la gestion actuelle de la crise du Covid-19.

 

 
GR
 

8 Commentaires

  1. moundounga dit :

    Bjr. dans ces moments là dans la différence on peut s’aimer. bon courage Monsieur le PM. Amen.

    • Serge Makaya dit :

      Bof!! C’est un langage diplomatique pour conserver son poste. Encore que, personnellement, je ne suis pas pour qu’il parte de son poste. N’empêche que c’est du théâtre du côté du sosiende BOA qui ne fait que ce qu’il a appris.

      Ma question demeure: ce théâtre, ce cinéma va prendre FIN quand ? A Ntare Nzame!!!

  2. Serge Makaya dit :

    Je persiste et signe que ce type n’est pas Ali Bongo qui est bien mort depuis octobre 3018 à Riyad. Et j’attire une fois de plus l’attention des gabonais qui veulent vraiment libérer ce pays qu’on nous amène lentement et… malheureusement… jusqu’en 2023, date des élections présidentielles que la France et le Maroc préparent déjà avec leur nouvelle marionnette certainement Nourredine Bongo.

    Si on ne fait rien avant 2023, nous serons contraints d’accepter une nouvelle fois la mascarade de ces gens qui nous traînent ainsi, il faut le dire, depuis la pseudo indépendance de 1960. Comprenne qui voudra…

  3. Serge Makaya dit :

    Je donne un conseil au premier ministre et à son gouvernement. Cessez de vous ridiculiser par Nourredine Bongo et Sylvia Bongo (eux-mêmes gérés par le Maroc d’abord et la France). Faites le nécessaire pour que le pays doit libéré de ces VOYOUS. Pour une fois, soyez des PATRIOTES. Si vous ne voulez pas de Jean Ping, le vainqueur de la présidentielle de 2016, comme président du Gabon, participez au moins à la libération totale du Gabon.

    On ne peut pas confier notre pays à une personne aussi ridicule que ce Nourredine Bongo SVP. Il n’est même pas gabonais. Vous êtes en train de vendre notre pays au Maroc. Ce qui est INADMISSIBLE. A NTARE NZAME!!!

  4. Elvire MASSIMA dit :

    Toujours les mêmes dires sans effets positifs.on positionne des moins âgés ou plus âgés,l’imcompetence persiste toujours.Alors il faut tout un toilettage.

  5. octavus dit :

    Mais ou est Ali Bongo?

    Pourquoi s’en prendre a ce pauvre Premier Ministre qui n’a aucun pouvoir entre ses mains?

    Au fait ou sont passer les autres Bongo et leurs allie(e)s : Pascaline Bongo, Paul Toungui, et autres… qui ont pris l’argent .Ils doivent reverser au Gabonais ce qui leur ont pris pour leur permettre de faire face a la pandemie.

    Que tous ceux qui ont piller les caisses au Gabon sorte l’argent pour que les Gabonais puissent se soigner et manger.

  6. Kombila dit :

    La gestion d une cité n est pas donnée à n importe qui. Lorsqu’on base ces idéologies sur sur la politique du ventre ,il est difficile de prendre le peuple en considération…nous savons tous que vous faites semblant dans la mesure où vous n avez pas pu freiner le taux de contamination du virus durant cette courte période, même la Guinée d en face n a pas pu atteindre 30 cas. Cela prouve à suffisance que vous êtes incompétent sur tout les plans .

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