À la suite de la maltraitance des Panthères le 15 novembre à Banjul, la Fédération internationale des associations de footballeurs professionnels réclame de la Confédération africaine de football, des sanctions exemplaires contre de la Gambie. Ces Celles-ci, soutient la Fifpro, permettraient de soigner l’image de la Caf et d’éradiquer les actes d’un autre âge en Afrique.

La Fédération internationale des associations de footballeurs professionnels, a réclamé de la Caf, des sanctions à l’encontre de la Gambie après le calvaire vécu par les Panthères à Banjul. © D.R.

 

La Fédération internationale des associations de footballeurs professionnels (Fifpro ) s’est indignée des maltraitances subies par les panthères du Gabon le 15 novembre à Banjul où elle s’étaient rendues pour disputer la 3e  journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2020. Le 20 novembre, l’instance a réclamé de la Confédération africaine de football (Caf), des «sanctions exemplaires à l’encontre de la Gambie et de tous ceux qui ont participé à discréditer le football africain».

Ces sanctions, «permettraient à la Caf d’envoyer un message fort non seulement à l’ensemble des vos fédérations membres, mais également aux clubs dont les internationaux sont issus, souvent en dehors d’Afrique», a lancé la Fifpro,  rappelant à la Caf ses missions de «garantie son rôle de l’intégrité physique des joueurs et de l’équité de ses propres compétitions».

La sortie de la Fifpro intervient après sa saisine par l’Association nationale des footballeurs professionnels du Gabon (Anfpg). Après avoir dressé le chapelet des maltraitances vécues par les Panthères, à l’aéroport de Banjul, le président de l’ANFPG a invité la Fifpro à intervenir, en saisissant la Caf afin de prendre des sanctions contre la Gambie, pour soigner l’image du football africain mais aussi d’améliorer les conditions de travail des footballeurs

 
GR
 

2 Commentaires

  1. YD dit :

    Je n’ai jamais pensé que cela pourrait arriver en 2021 avec notre équipe

  2. Banjula dit :

    Pensons, nous gabonais et gabonaises, comment nous traitons les autres africains en cette terre gabonaise !
    J’ai fini.

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