Un atelier restitution concernant l’élaboration d’un cadre juridique des Technologies de l’information et de la communication (TIC) s’est ouvert le 7 juillet à Libreville sous la supervision de Blaise Louembé, ministre de l’Économie numérique. Les participants vont s’approprier, 48 heures durant, le nouveau cadre juridique en matière de communication électronique.

Gabonreview.com - Le Gabon prépare une ère nouvelle pour la gestion, la commercialisation et l'usage de l'information - © D.R.

A l’ouverture des travaux, Blaise Louembé a rappelé que le Gabon doit se doter de textes juridiques modernes, cohérents, simples et adaptés au contexte international afin de développer le secteur de l’économie numérique. Ce, d’autant plus que les derniers textes, datant des années 60, ne sont résolument plus du tout adaptés à l’ère des autoroutes de l’information.

«C’est à ce titre que nous avons sollicité la technicité du cabinet Africa Légiste pour nous aider à asseoir ce cadre juridique. Nous allons donc examiner les lois et règlements qui sont proposés par ce cabinet afin de voir s’ils prennent toute la problématique de ce nouveau contexte, de ces nouveaux métiers de l’économie numérique», a indiqué le ministre de l’Économie numérique a l’AGP.

«Nous devons donc nous asseoir pour avoir des séances de travail avec le cabinet, pour examiner texte par texte, domaine de compétence par domaine de compétence, pour nous entourer de ce dispositif juridique et réglementaire, afin que nous puissions asseoir un investissement important dans le domaine des TIC, pour pouvoir faire du Gabon un véritable hub technologique pour la sous-région», a-t-il poursuivi.

Cet atelier prévoit également des discussions autour de la cyberstratégie juridique, de la réforme du Code de la communication ou encore de l’avant projet des lois sur les TIC.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. WELCOME IN GABON pays des bouches cousues, des sourds, des aveugles et des personnes sans esprits.
    Merci à tous car bientot sans inquiétudes nous arreterons de frapper sur nos claviers et de fouiner avec nos souris sans oublier qu’un écran noir est nettement que la lumière de textes impolis impolis.
    CENSURE QUAND TU ME POURSUIS JUSQUE DANS MON VILLAGE MONDIAL DE LIBERTE ET DE VRAIE DEMOCRATIE.

    A QUI LA FAUTE « LIBERTE »
    QUE DIT DIEU « AU SUIVANT »

    PEACE IN LOVE

  2. […] des chiffres de la Banque africaine de développement, il faudrait que l’Afrique consacre l’équivalent de 11,5 milliards d’euros par an pour créer ou renforcer des infrastructures de distribution et d’assainissement. Et si l’eau […]

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