Face au stress hydrique dans la capitale gabonaise, le Comité pour la transition et la restauration des institutions et le gouvernement de la transition vient d’opter pour la construction de forages et d’unités de potabilisation, solutions urgentes à même de soulager les ménages.

Le ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques, Jeannot Kalima, lors de sa présentation au président de la Transition, le 31 octobre 2023. © Com présidentielle

 

Les forages et les unités de potabilisation sont, aux yeux des membres du CTRI et du gouvernement de la transition, une alternative sûre pour résoudre en urgence le problème d’adduction d’eau dans le Grand Libreville et garantir à la population l’accès à une eau de qualité au robinet 100% du temps.

Au cours de sa présentation le 31 octobre dernier, au président de la transition, de la série de projets structurants élaborés par son ministère en vue de pallier le déficit en eau potable dans le Grand Libreville et ses environs, Jeannot Kalima a exprimé son intention de faire recours à ces unités de potabilisation de l’eau pour régler définitivement la question de l’eau dans la capitale gabonaise.

«Il s’agit principalement de mettre en œuvre le projet Ntoum 7, à moyen terme, et de réaliser des forages avec unités de potabilisation dont 3 seront disponibles d’ici fin novembre et 9 autres dans une période de 6 mois afin d’approvisionner dans l’urgence les ménages en eau potable, dont la demande est estimée à plus de 70 000 m³ d’eau», a déclaré le ministre de l’Energie et des Ressources hydrauliques, selon la note d’audience de la communication présidentielle.

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire