Ali Bongo Ondimba était, le 24 juillet courant à Tchibanga dans la Nyanga, où il assister à la fin des manœuvres médico-militaires.

Ali Bongo en treillis lors de la caravane médicale de Tchibanga. © D.R.

Ali Bongo en treillis lors de la caravane médicale de Tchibanga. © D.R.

 

De retour de la tournée républicaine dans le Woleu-Ntem et l’Ogooué-Ivindo, le président de la République s’est directement rendu dans la province de la Nyanga pour s’imprégner du déroulé des manœuvres médico-militaires de Tchibanga. Il a récemment initié cette manœuvre dans cette localité avec pour but d’assurer des soins médicaux gratuits et de permettre à la majorité de la population de cette région du pays d’avoir accès un gratuit aux médicaments.

Lancées en milieu de semaine écoulée, ces manœuvres ont permis, selon l’organisation, de s’occuper de plus de 4000 patients. Les services de Santé militaire ont donc, deux jours durant, procédé à la consultation et à la prise en charge gratuite de ces milliers de patients.

La population de la province de la Nyanga a donc pu bénéficier des soins de santé de tous ordres prodigués par des médecins généralistes et spécialistes. Et au-delà des consultations, ont également été distribués des médicaments devant aider à soulager les maux de ces populations de l’intérieur du pays où il manque parfois de spécialistes et de  médicaments appropriés.

Si le président Ali Bongo, au pas de charge, s’est rendu à Tchibanga malgré les cinq jours passés tambour battant dans l’Ogooué-Ivindo et le Woleu-Ntem, c’est qu’il était question pour lui de toucher du doigt la mise en application, notamment dans ce secteur de la santé, de son programme de l’Égalité des chances. «Aucune province n’est au-dessus d’une autre, toutes se valent et sont égales », a-t-il souvent déclaré lors de ses déplacements dans les villes du pays.

L’étape de Tchibanga a constitué la 18e caravane médico-militaire initiée par Ali Bongo Ondimba en 16 ans, l’initiative ayant été lancée alors qu’il était encore ministre de la Défense nationale.

A travers ces activités médicales gratuites, la Direction générale des services de Santé militaire entend en outre de garder le caractère opérationnel du service, assurer la complémentarité de l’action du ministère de la Santé mais aussi démontrer la capacité de ses services à contribuer à l’amélioration de l’état de santé des populations dans le cadre du concept «Armée-Nation».

 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Le nynois dit :

    Ces manoeuvres médico-militaire ont été largement appréciées par la majorité de la population nynoise qui est en majorité composée de pauvres (85%). Les militaires l’ont bien constaté à Tchibanga où les 3/4 de la population s’est retrouvée à l’ancien hôpital de la ville lieu dès 1 heure du matin pour une hypothétique consultation. Certains y ont même élu domicile. Le nombre impressionnant de malades a étonné le un militaire soignant, ils n’avait jamais consulté un nombre aussi impressionnant de malades depuis le lancement de ces manoeuvres médico-militaires.

  2. Axelle MBALLA dit :

    Et AiliBONGO vous dit que toutes les provinces sont égales…et vous le croyez!!!Bientôt commencera la campagne de la cécité politique définitive dans cette région qui a pourtant offert certains de ses enfants parmi les plus brillants au Gabon. Aujourd’hui: MONDOUNGA n’aide que si tu es à espérance12, et si tu te courbes; Ngoubou à Maymba n’aide que ses parents béninois, agresse directement certains de vrais cadres de la région, MBOUMBOU (pièce de musée) a mis son fils dans les starting block avec un cv à minima, NGOMA n’a jamais promu véritablement sauf à se mettre à son service comme coursier. Et ne parlons pas des projets portés par des nynois. Ils ont tous donné leur argent à des ouest africains ou à des libanais, se sont fait parfois avoir, et ont eu une culture commune; celle de laisser (Moabi, Mayumba, ndondi et Tchibanga) toujours dans l’herbe, dépourvues de tout.

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