Alors que le sommet USA-Afrique initié par la Maison Blanche doit s’ouvrir ce 5 août pour s’achever le lendemain, des sources rapportent que le président américain aurait refusé au président de la République un entretien exclusif avant le démarrage des travaux.

Ali et Sylvia Bongo Ondimba à leur arrivée à la base Andrews de Washington, le 3 août 2014. © Presse Présidentielle du Gabon
Ali et Sylvia Bongo Ondimba à leur arrivée à la base Andrews de Washington, le 3 août 2014. © Presse Présidentielle du Gabon

 

Pour un nouveau tête-à-tête avec Barack Obama, Ali Bongo devra encore attendre quelques temps. Pourtant, rapportent des sources relayées par l’hebdomadaire Echos du Nord (n°244), le président de la République avait l’intention de rencontrer le locataire de la Maison Blanche avant le début du sommet USA-Afrique. Manque de pot, le département d’Etat aurait tout bonnement rejeté la demande, considérant sans nul doute qu’une réponse favorable aurait été du plus mauvais effet.

Pourtant, à en croire les mêmes sources, les tractations en vue de cet entretien avaient été confiées à de prétendus facilitateurs et autres «lobbyistes américains». Cette rencontre aurait, sans nul doute, contribuer au rayonnement d’Ali Bongo aussi bien au plan national qu’à l’international où certains critiquent ouvertement sa gouvernance. Bien que loupé, ce sacré coup de communication aurait, rapportent certains, tout de même coûté quelques milliards de francs.

Ali Bongo se contentera donc d’assister, avec les autres dirigeants africains, au Sommet des chefs d’État et de gouvernement qu’organise Barack Obama, le mercredi 6 août, autour de trois sessions thématiques : «Investir dans l’avenir de l’Afrique», «Paix et stabilité régionale» autour d’un déjeuner de travail, et «Gouvernance pour les générations futures». Sujet fâcheux pour de nombreux chefs d’Etats africains, le président des Etats-Unis d’Amérique, selon des sources concordantes, va insister, entre autres, sur la nécessité d’organiser des élections transparentes et de ne pas s’accrocher au pouvoir.

L’administration Obama qui, lors de la présentation du Sommet à la presse africaine et internationale avait dit vouloir jouer franc-jeu avec les dirigeants africains, aurait-elle, par le refus de l’entretien exclusif sollicité, voulu traduire en actes son intention de prendre des positions plus tranchées ? Pour certains, le refus opposé à la requête d’Ali Bongo sert non seulement d’exemple, mais peut être perçu comme un message en creux au président de la République. Attendons donc la suite. Ça promet !

 

 
GR
 

47 Commentaires

  1. Roberto dit :

    Dans cette article : je lis : « Manque de pot, le département d’Etat aurait tout bonnement rejeté la demande, considérant sans nul doute qu’une réponse favorable aurait été du plus mauvais effet. »
    « aurait » . En fait, le journaliste s’est nourri de ragots……….. Encore une fois, on a la démonstration que les journalistes gabonais ne sont pas des professionnels…………. Sachant que Ali Bongo a déjà rencontré par le passé Barack Obama en tête à tête, chacun appréciera la teneur et les intentions de cet article…..

    • Zambi tata dit :

      Roberto, Gabonreview site bien Echos du Nord oui ou non? Où la panthère alors?

      Que chacun fasse son travail. Les journaliste de Gabonreview font leur travail, alors laissez-les tranquille.

    • Julien dit :

      La visite du président gabonais, Ali Bongo Ondimba à Washington aux USA promet d’être impressionnante. http://bit.ly/1spuB7E

    • massuku dit :

      Mon cher Roberto, le fameux tête dont vous parlez avait eu lieu lorsque le Gabon Présidait le conseil de sécurité des nations unies en sa qualité de membre non permanent, avec comme vice présidents, des États bénéficiant du droit de veto, et dotés du statut de membres permanents, a l’exemple des Usa, la France, la Chine. .. Et souvenez vous tout de même que dans la même période la situation politique et humanitaire en Lybie nécessitant des rencontres au plus au niveau de l’Onu, avait favorisée cette rencontre historique dont vous faites allusion. Il était tout simplement question de demander au Gabon, en sa qualité de président en exercice du conseil de sécurité de l’Onu à l’époque, de voter en faveur de la résolution 1973 adoptée le 17 mars 2011 autorisant les frappes de l’OTAN en Lybie. Vue le moment, le Gabon représentait une belle demoiselle a courtiser. Bonne lecture.

    • Regarde la lune et non mon doigt qui te la montre dit :

      Et vous savez à quel prix? Je vous prie de bien vous renseigner et vous saurez que ça n’a jamais été gratosss.
      Merci.

  2. La Fille de la Veuve dit :

    Ah !? L’Escort-Women est du voyage ? Je ne faisais que passer….

  3. Bouka Rabenkogo dit :

    Bonne chance tout de même.

  4. la gaboma dépassée dit :

    AHHH Obama, comédien!!! c’est vous tous qui êtes des donneurs de leçons qui soutenez encore des dictateurs en « faux » juste à cause de vos intérêts!!!

  5. zobolus dit :

    La réaction d’Obama est tout à fait normal. Il n’a aucun intérêt à rencontrer ali. Aucun Grand président de ce monde n’es assez stupide de fréquenter un homme qui pille son propre pays qui emprisonne des étudiants, etc.

    Bien fait pour lui

    • mounoukoutouba dit :

      Si tu penses Zobolus que Obama est différent d’Ali, alors mon petit tu devrais savoir que tout est une question d’intérêts.

      Comprenne qui pourra…………………..

      • Koulou la tortue dit :

        Barak Obama, Président des Etats unis, soit-disant pays de la 1ère démocratie au monde condamne fermement le AMAS pour la mort de 2 voyous de soldats israéliens mais n’est nullement ému par le génocide de centaines de petits palestiniens bombardés dans leurs maisons par les tirs des terroristes israéliens. Pour un père de famille qui aime ses 2 petites filles, n’y a t-il pas paradoxe ?
        Obama est un pantin des Républicains à la solde des lobbyistes juifs.

  6. Ladragouille dit :

    Chacun tire la corde de son coté et essaye d’avoir raison ou de se rendre intéressant.Que l’on s’appelle Barack ou Ali,je ne vois pas d’intéret principal pour les Gabonais si ce n’est,d’un coté ou de l’autre pour atteindre ses objectif.Obama qu’a t il fait de spécial pour l’Afrique durant son règne étant le premier président noir des USA si ce n’est récidiver devant les cameras »je suis le président des USA et non le président africain »Ali a été très mal élu certes mais Obama n’a t il pas reconnu sa victoire?Soyons un temps soit peu objectif!!!

  7. Gail dit :

    j’espère vraiment que la rumeur est fondee et qu’il ne rencontrera pas Obama. Tout de même bizarre que le president d’un pays qui se veut émergeant soit obligé de rencontrer un autre president pour redorer son blason et ce,à coup de milliards. Si cet argent etait investi dans son pays il n’aurait pas besoin de faire tous ces voyages pour entendre les mêmes sermons alors qu’il s’agit juste de les appliquer! l’eau, le courant, la route, l’ecole, l’hopital! c’est tout ce que nous demandons depuis pres de ciquante ans mr le pigeon voyageur en quête de reconnaisance!

    • VERITE dit :

      ès l’annonce de ce sommet il y a plusieurs mois, la presse internationale avait annoncé que le Président Obama n’accorderait aucun entretien bilatéral à aucun des chefs d’Etats conviés. On peut aisément imaginer les raisons : le temps, éviter les interprétations/récupérations politiques, ménager les susceptibilités.

  8. delpino dit :

    Que dire donc de plus si ce nè trop cè trop on en veut plus qu’il y ait audience ou pas en quoi le gabonais de kingele est-il concerné ? Qu’a donnée la premiere ? Ayez pitier le gabon ne vous a rien fait

  9. Ontintin va nous tuer! dit :

    Ali cherchait une seconde chance, une autre photo en tête à tête avec Obama pour narguer les vrais opposants du Gabon qui lui donnent des cauchemars en ce moment. Il a cherché la photo à la torche indigène.Peine perdue. Ali Ben est amusant, il ressemble à un enfant gâté qui veut en permanence plus de joujou. Il donne l’impression d’être en campagne électorale et en quête de légitimité depuis 2009. Là il a laissé les clefs du pays à son ami-amant et vénéré maître béninois Acrombessi.

    Sylvia Bingo toujours dans le spectacle et la comédie pour faire bonne figure alors que tous les gabonais savent qu’elle passe 9 mois sur 12 à Londres auprès de son amant qatari.

    Après ça on doit revoter pour des gens comme ça en 2016? éh bèn monviènnnnnnn!!!!!!!!!!

  10. mounoukoutouba dit :

    Ah l’Afrique et ses dirigeants que le monde continu de tenir par la main tels des chiens en Lesse!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Pathétique. Il est encore loin le temps où l’on parlera d’une seule voix.

  11. VERITE dit :

    tous ceci n’est que pure ragots alimenter par une certaine presse, Gaabonreview, je vous conseil vivement de vérifier vos sources Echo du nord n’est pas journal digne de confiance, nous savons tous qu’OBAMA ne vas accorder aucun tête a tête aux différents chef d’État, Le secrétaire d’état américain k’avais deja signalé lors de l’annonce de ce sommet.Alors pourquoi en faire une polémique.

  12. Edourad Aime dit :

    ABO est là sur un thème comme «des entreprises gratuit ». « Le Corporate Council on Africa est une organisation vénérable et respecté qui réunit les chefs d’entreprise de deux continents. Comme je l’ai souligné à de nombreuses reprises, le commerce et l’investissement sont de loin supérieurs à l’aide économique officielle pour stimuler la croissance et le développement en Afrique. Les dirigeants se sont réunis dans cette salle, il sait, partager ce point de vue et travailler chaque jour pour maintenir et l’entretenir « .

  13. Julien dit :

    ABO réunion avec tellement d’investisseur et ce sommet permettra de donner une nouvelle direction commerciales pour l’avenir du Gabon. Il y a tellement de nombreux investisseurs qui sont en réunion au président et qui va ouvrir la porte de l’investissement au Gabon et les perspectives de la jeunesse gabonaise.

  14. la vision dit :

    Bon, trêve de plaisanterie. ce titre est bien le chef-d’oeuvre du Journal Echo du Nord N°244 que j’ai trouvé très pathétique, tant les arguments qu’il avancent sont purement puérils! Et comme on ne cesse de le rappeler depuis toujours, aucune audience particulière ne devait être accordée à un des 50 chefs d’état africain présents au sommet: conclusion on ne voit pas où il y aurait débat.
    Par ailleurs, au sujet de ce sommet, je constate juste à quel point la « 1ère puissance mondiale » est vraiment à la traine. Eh oui, les USA ont toujours fait fie face à l’Afrique, si ce n’est que la vente de leurs armes pour favoriser les conflits etc. Résultat sur le plan économique, l’Afrique aujourd’hui amorce une croissante assez intéressante que les pays comme la chine (principal adversaire des USA) a su cibler bien avant… 😀 Désormais il faut aller chercher plus loin: 1er sommet USA-Afrique pfff pure foutaise oui! Sauf qu’il est un peu trop tard ( ou du moins presque) car l’avance prise par la chine sur le continent est impressionnante 😉
    « L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais des institutions fortes… » dixit le grand B.O, sauf que lorsqu’on analyse les contours de ce sommet, on réalise qu’il ne s’agira pas de revoir les institutions mais plutôt comment conquérir le marché africain? Hummm…après tout, 2 milliards(bientôt) d’habitants c’est pas Rien 😀 Affaire à suivre… 😉

  15. jean-jacques dit :

    C’est ça l’opposition au gabon inventé des histoires, je ne sais pas si ce journal de d’Echo du Nord a fait le deplacement pour ce somment ou vous raconter les betises que ceux qui sont parti pour faires les etudes et devenu opposants des postes vous communiquent?

    La liberté d’expression c’est pas les fausses informations sans preuves vous publier les choses qui n’ont pas des preuves. Et pour ceux qui soutiennent ces faux opposants de postes gabonais racontent vra ou faux les commentaires sont de tout genres. les vrai problèmes qu’on attend les propositions de certains rien.

  16. Julien dit :

    La visite du président gabonais, Ali Bongo Ondimba à Washington aux USA promet d’être impressionnante.http://bit.ly/1spuB7E

  17. Lakrimogène dit :

    Soyez un peu intelligent ! Il faut opérer une distinction entre la date pendant laquelle le gouvernement américain avait annoncé qu’aucun chef d’Etat ne sera reçu individuellement et celle de la demande d’audience du mannequin Ali Bongo.
    Et si cette demande est intervenue avant le communiqué du gouvernement américain ?

  18. Eliaz dit :

    Dans la capitale fédérale américaine, Ali Bongo Ondimba aux côtés de 47 chefs d’Etats africains à ce sommet initié par le président américain, Barack Obama.

    La rencontre qui se déroulera mardi et mercredi prochains a pour but, selon la Maison Blanche, à renforcer les liens des États-Unis avec « l’une des régions les plus dynamiques » du monde.

    Quasiment tous les pays africains sont invités à ce sommet sauf le Zimbabwe, le Soudan, la Guinée-Bissau, l’Égypte et Madagascar.

  19. Nancy dit :

    Les responsables américains a déclaré que le continent africain a certaines des économies les plus dynamiques, et que ces pays contribueront à façonner les futurs développements dans le monde.

  20. Yassar Moonyadza dit :

    Le président Obama est prévue une adresse aux États-Unis-Afrique Business Forum le mardi et prendre part à des sessions mercredi axées sur la croissance économique, de la sécurité régionale, et de la bonne gouvernance.

  21. nicolas dit :

    Les chefs de l’Afrique participent à sommet Afrique nous. À ce sommet, la relation commerciale entre l’Afrique et nous augmentera. l’investissement aura lieu dans les grands domaines comme le commerce, l’éducation, la santé. Ce sommet est très important et vital entre l’Afrique et les États-Unis. Le 6 août 2014, la discussion sera sur investir dans le futur de l’Afrique, la paix et la stabilité régionale et gouvernance pour les générations futures. Le Président américain parlera le Président du Gabon sur ses questions. Gabon et US ont de bonnes relations. Gabon a amplement de ressources naturelles qui fournissent l’énorme portée à la
    investisseurs en particulier aux investisseurs américains.

  22. Bil Ngana dit :

    Bonjour, à tous, frères internautes gabonais ! Etonnement et consternation : telle est mon impression à la lecture des précédents commentaires. Le Gabon, à une rencontre entre les USA et l’Afrique, doit-il offrir ici une tribune pour s’écharper autour d’une vulgaire photo de deux individus, présidents fussent-ils, alors que des questions importantes pendent autour des thèmes retenus pour cette rencontre ? Par exemple : 1)économie : dans son état actuel, qu’est-ce que le Gabon est capable de placer, de vendre sur le marché américain à l’exception des hydrocarbures ? Comment le produire ? 2) politique : comment faire du Gabon un vrai État démocratique avec des « institutions fortes » souhaitées par Obama ? D’autres questions existent mais manque de place, je vous laisse le soin de les formuler vous-mêmes… Salut, encore fraternellement.

  23. Manouche dit :

    C’est dommage que Gabonreview se base désormais sur des ragots pour écrire ses articles.
    Une note largement partagée par les médias et reçue par toutes les délégations des pays invités, stipulait que par souci d’équité, Obama n’accordera aucun entretien individuel.
    Alors, sachant cela, la suite de vos supputations ne tient pas la route.
    Dommage de relayer des rumeurs aussi inutiles

    • François Ndjimbi dit :

      Derrière vos pseudonymes, vous vous permettez même d’apprendre aux journalistes leur métier ; de distribuer les mauvais points. Pourtant, il ne nous viendra jamais à l’idée de tenter de vous apprendre à lire. A l’école, il y a un exercice nommé « compréhension de texte » et un autre appelé « commentaire de texte ». On devrait comprendre que nombreux ici avaient les pires notes en ces exercices. Il est exaspérant de passer une journée à valider des commentaires de gens qui se masquent pour simplement donner un point de vue et les voir injurier ceux auprès de qui ils viennent chercher gratuitement l’information… Après certains viendront parler d’arrogance ou de condescendance. Vous nous y poussez avec vos insinuations, vos commentaires au ras des pâquerettes.

      Journal proche de l’opposition, Echos du Nord ne croule pas sous les procès en diffamation ou en désinformation. Dans le monde entier, on l’a déjà dit ici, la presse se nourri de la presse. Le Washington Post, Le Monde, Le Figaro, Libération, Jeune Afrique, L’Union, Gabon Matin et on en passe, recyclent ou relaient les articles intéressants des autres journaux. Ce reproche récurrent tant fait à Gabonriew par ceux qui n’ont aucune culture de la presse, est exaspérant.

      Entre l’annonce de ce sommet, en avril dernier, et la précision, par la Ma ison blanche, de l’exclusion des rencontres en tête à tête il y a une semaine, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, chers Messieurs, et beaucoup de choses en termes de lobbying ont pu être entreprises, chers Messieurs. Que les commentateurs de chambre arrêtent un peu de nous vilipender, bon sang !

  24. Stevens dit :

    Echos du nord fait peut être dans l’amplification d’une information , mais il est tout de même vrai que monsieur Barak Obama peut faire ce que bon lui semble surtout quand cela sert ses intérêts . La preuve malgré l’annonce faite par Jeune Afrique , Barak Obama a eu un tête à tête avec kabila de la RDC lors d’un diner gala . Gageons seulement que le Gabon sorte gagnant lors de ce sommet
    http://www.dailymail.co.uk/news/article-2715670/Obama-Kerry-welcome-Congolese-strongman-Africa-summit-rules-rape-capital-world-ran-child-army-1990s-genocide.html

  25. BerreJL dit :

    Bonjour à tous…
    Chers amis, la nature humaine brute est entachée de défauts psychologiques qui sont : l’envie, la convoitise, la cupidité, la jalousie, la haine, la colère, etc. De fait, de même qu’on trouve des gens qui pensent qu’ils sont les seuls capables de bien faire… de même il est très difficile de trouver des gens satisfaits par ce que font les autres.
    Entre ces extrêmes, nous proposons une solution CONSENSUELLE…
    Elle s’appelle la FEDERALITUDE.
    La fédéralitude est un courant de pensée avant-gardiste et progressiste de politique sociale, humaniste et humanitaire qui prône le respect de la diversité par l’institution du fédéralisme et de la subsidiarité au sein des Etats, avec un gouvernement collégial à présidence tournante, un pouvoir du peuple fondé sur la démocratie directe et une sécurité basée sur une armée de milice encadrée par des professionnels et la neutralité. La fédéralitude est au final la forme de pensée qui préfigure un état d’esprit propice à une attitude fédéraliste.
    Pour plus d’explications : consultez http://www.federalitude.org

  26. cave canem dit :

    Il n’est pas aisé de faire des commentaires sur des faits dont la véracité n’est pas attestée .
    Puisse Gabonreview que je respecte, nous confirmer à travers un article ultérieur, l’ exactitude de cette information. ABO serait-il aussi prétentieux au point de croire qu’il pourrait obtenir une dérogation spéciale du Président Américain?

  27. BerreJL dit :

    Bonjour à tous…
    La nature humaine brute est entachée de défauts psychologiques qui sont : l’envie, la convoitise, la cupidité, la jalousie, la haine, la colère, etc. De fait, de même qu’on trouve des gens qui pensent qu’ils sont les seuls capables de bien faire… de même il est très difficile de trouver des gens satisfaits par ce que font les autres.
    Entre ces extrêmes, nous proposons une solution CONSENSUELLE…
    Elle s’appelle la FEDERALITUDE.
    La fédéralitude est un courant de pensée avant-gardiste et progressiste de politique sociale, humaniste et humanitaire qui prône le respect de la diversité par l’institution du fédéralisme et de la subsidiarité au sein des Etats, avec un gouvernement collégial à présidence tournante, un pouvoir du peuple fondé sur la démocratie directe et une sécurité basée sur une armée de milice encadrée par des professionnels et la neutralité. La fédéralitude est au final la forme de pensée qui préfigure un état d’esprit propice à une attitude fédéraliste.

    Pour plus d’explications : consultez http://www.federalitude.org

  28. owana wi mama dit :

    Subtile sont les medias qui savent provoquer un influx de reactions positives ou negatives ou encore convergentes ou divergentes. Donc susciter un debat a toi a moi, sans fin, est l’objectif recherche’ dans ce genre d’article. Hors la veritable reponse, aproprie’ a ce genre de sujet, se discerne tt simplement entre les lignes.

  29. Allen dit :

    Les États-Unis est réglé à dévoiler presque 1 milliard de dollars dans les affaires et des milliards de dollars pour les produits alimentaires et des programmes d’énergie pendant le sommet.

  30. Bouka Rabenkogo dit :

    Depuis 2000 c’est à dire quatorze (14) ans, date de la création de l’AGOA, dont le but visait à renforcer les relations économiques entre les Etats-Unis (USA) et l’Afrique avec pour objet de promouvoir les exportations vers les USA par des mécanismes de renforcement de capacités, d’investissements et de financements.
    Cette loi contient des dispositions générales qui stipulent que les pays africains peuvent exporter leurs produits sur le marché américain sans droits de douanes et sans quota, et ce, jusqu’en 2015. Elle permet également aux pays africains d’exporter des produits textiles et articles vestimentaires lorsqu’ils obtiennent le visa douanier américain et respectent les procédures relatives à la règle d’origine et aux transbordements illicites.
    L’éligibilité à l’AGOA est décidée par le Président des Etats-Unis, si le candidat satisfait à des critères politiques et économiques visant é créer une économie de marché. Chaque année, les Etats-Unis publient une liste de pays éligibles sur la base de l’examen des dossiers d’éligibilité des pays, qui devront démontrer qu’ils ont réalisé des progrès pour satisfaire les conditions contenues dans ces critères.
    Nous sommes à un (1) an de son échéance.
    1) – Quel est le bilan d’étape à un (1) de l’échéance de l’AGOA?
    2) – Pourquoi Obama organise t’il ce sommet presqu’à la fin de son mandat?
    3) – Se fout-il de l’Afrique et du Gabon?
    4) – Nos dirigeants sont ils amnésiques?
    4) – Ou en est on avec le résolution du second sommet africain – afro-américain organisé en mai 1993 à Libreville au Gabon?
    Ayant personnellement participé à ses rencontres je conclu que c’est de la foutaise, rien que foutaise.

  31. Le Boulanger dit :

    @negro
    Nous sommes bien d’accord qu’il s’agit d’une photo protocolaire et que tous les présidents invités y avaient droit. Ali voulait un entretien exclusif qui lui été refusé. Mais c’est dingue de effectivement qu’Ali Bongo est comme un enfant devant Obama. On dirait un gamin qui demande « gâteau, gâteau! » en permanence au grand de ce monde pour redorer un blason qu’il n’a jamais eu. Comme a dit quelqu’un au-delà des sourires de façade, Obama et les grands de ce monde savent très bien les casseroles que traînenet Ali Bongo et son maître béninois Acrombessi.

    Sylvia Bongo vit à Londres, mais faut la voir s’exciter comme une enfant lorsqu’il s’agit d’aller poser en photo lors de cérémonies. Cette femme n’a aucune classe. Légère et volage en plus. Heureusement que tout ça prendra fin bientôt.

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