Assemblée nationale transition : Ndongou sollicite l’augmentation du nombre de députés
Reçu par le président de la transition, le 22 septembre, le président de l’Assemblée nationale de la transition, Jean François Ndongou, appelle à une augmentation du nombre des députés provenant des partis politiques.
Jean François Ndongou a été reçu le 22 septembre par le général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema. Pour cette première rencontre officielle avec le président de la transition depuis son installation à l’hémicycle de l’Assemble nationale de la transition, «il était question d’abord d’exprimer au président de la transition ma profonde gratitude pour la confiance qui a été placé en ma modeste personne», a-t-il fait savoir à l’issue de l’audience. «Et soulever les questions de fonctionnement de l’Assemblée nationale, notamment le nombre des députés», a-t-il ajouté. Selon un communiqué de la présidence de la transition, le président de l’Assemble nationale de la transition propose une augmentation du nombre des députés fournis par les partis politiques. Ce, «pour un traitement optimal des questions politiques».
Avec Brice Clotaire Oligui Nguema, Jean François Ndongou a également abordé l’organisation des travaux de l’institution dont il a la charge. «Notamment le nombre de commissions qu’on devrait mettre en place tout en sachant que nous sommes une assemblée transitoire», a-t-il expliqué. Selon les services de communication de la présidence de la transition, le nombre de commissions pourrait dans ce cadre passer de huit sous la 13e législature à 5 durant la transition. «Tout en intégrant les questions prioritaires relatives au développement durable à l’environnement», précise la Com présidence de la transition. Selon la Charte de la transition, l’Assemblée nationale de cette période est composée de soixante-dix membres nommés par le président de la transition.
2 Commentaires
Il y a deux catégories de personnes qui exercent sur Oligui des pressions pour être nommés: les pedégistes et les altogoveens. Voici une catégories de personnes qui toutes leurs vies attendent les communiqués du conseil des ministres. Souvent ce sont des gens qui ont déjà tout eu du Gabon, puisqu’il ont besoin d’argent, Ndongo pourrait leur dire qu’il n’y a plus de places parce que le Gabon doit sauver de l’argent pour investir dans l’économie et dans les infrastructures et que s’ils veulent gagner de l’argent c’est à la force du travail et que l’Etat est prêt à accompagner ceux qui ont des projets pour permettre au Gabon de développement son économie, beaucoup reste a faire dans l’agriculture et l’élevage par exemple.
Réduisez le nombre de personnes par commission et mettez-vous au travail. Si vous n’êtes pas capables, faites-le savoir et on vous fait remplacer.