S’exprimant une nouvelle fois sur l’affaire supposée de contrefaçon de billets de banque dans laquelle le président de l’Union pour la nouvelle République serait impliqué, l’Union des forces du changement (UFC) exige des clarifications sur de nombreuses zones d’ombre.

Louis Gaston Mayila. © Gabonews.com
Louis Gaston Mayila. © Gabonews.com

 
Après la déclaration rendue publique le 1er octobre dernier, dans laquelle l’Union des forces du changement (UFC) prenait fait et cause pour l’un des siens, les responsables de cette coalition ont tenu, le 4 octobre dernier, une conférence de presse au domicile de Louis Gaston Mayila. Il était question d’éclairer l’opinion et donner leur version des faits.
Estimant que la version officielle n’est pas forcément la bonne, l’UFC dénonce une nouvelle affaire politique. S’exprimant par la voix du député de l’Union pour la nouvelle République (UPNR), Narcisse Massala Tsamba, la coalition de partis explique que Me Mayila s’était rendu à Okala pour une affaire de terrain qu’il essaie d’acquérir depuis plus de 2 mois. Il s’est ainsi retrouvé dans une villa dont il ignore le propriétaire. Or, dans cette maison, l’attendaient de nombreuses personnes parmi lesquelles le magistrat Edzo-Edzo et des gendarmes. Comme s’il s’agissait d’un traquenard, des photos de lui auraient été prises sous la menace d’une arme, dans «un décor monté de toutes pièces». Du coup, pour qu’il soit libéré, une somme de 30 millions de francs lui aurait été demandée. Ne disposant pas de cette somme sur lui, il consentit à avancer 3 millions sur le champ en indiquant qu’il apporterait le reliquat. C’est sur ces entrefaites que son véhicule a été retenu.
«Si Me Mayila a été pris en flagrant délit de fabrication de fausse monnaie, pourquoi n’a-t-il donc pas été interpellé au moment où il a été pris en présence de ces faux billets ? Si c’est M. Edzo-Edzo qui a constaté le flagrant délit, pourquoi n’a-t-il pas procédé à l’arrestation ? Pourquoi les agents censés avoir constaté le flagrant délit se retrouvent-ils aujourd’hui à la prison centrale ? A qui appartient la villa d’Okala et pourquoi le propriétaire n’a-t-il toujours pas été entendu ?». Ce sont là autant de questions auxquelles les membres de l’UFC aimeraient avoir des réponses. Car, pour eux, cette affaire relève bien d’une «chasse aux sorcières contre les leaders politiques de l’opposition».
Une version des faits qui, bien évidemment, n’est pas du goût de la majorité. Dans un communiqué, le groupement de partis soutenant le président de la République dénonce une politisation de cette affaire, appelant à la retenue. «Il ressort qu’il s’agit d’une affaire qui relève exclusivement du domaine judiciaire. C’est pourquoi la justice doit faire sereinement son travail. Les politiques et autres analystes tireront toutes les leçons en temps opportun», estime le regroupement politique de la majorité. Invitant les uns et les autres à prendre leurs responsabilités, la majorité dénonce une calomnie tout en demandant à l’opinion de ne pas tomber dans l’engrenage de la haine, de la violence et de la division.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. pamela dit :

    Ça ressemble a un conte de fées ou à un montage vu dans les guignols de l Info sur Canal+ cette histoire… Je suis d’avis qu’a trop vouloir tout remettre à la politique on ne s’en sort plus. Et je ne penses pas que la « Majorité » n’a exclusivement que ça a faire surtout pas pour quelqu’un qui n’est même plus réellement une menace…

  2. lalegende dit :

    Vraiment on pourrait avoir une multitude de versions. cependant sur Gabonreview on a lu que ce edzo à faillit se suicider. mais aujourd’hui l’opposition estime que ce dernier serait de connivence avec la majorité! un peu flou n’est ce pas?

  3. kango dit :

    On ne sait plus qui dit la verite oooh pauvre maitre mayila cest vrai quil ne pouvait plus courir comme un cabri

  4. Brio coco dit :

    Et oui!!! Grosse chasse aux sorcières. Enfin la vraie version des faits. Ce traquenard dans lequel se retrouve Maître Mayila a été monté de toutes pièces, voilà ce que pense vraiment l’opinion publique. Ne nous laissons pas embobiner, ce fin stratège n’est pas assez stupide pour aller de lui même pratiquer de la fausse monnaie (sic), puis ensuite d’aller porter plainte sachant que les dénoncés clameraient son implication: Un peu trop machiavélique je pense. 2016 approche beaucoup d’autres seront pourchassés!! Ne soyons plus dupes mes compatriotes!

    • causes perdues dit :

      La voix des causes perdues
      Union-Travail-Justice est la devise de la République Gabonaise. Mais moi la voix des causes perdues je pense qu’il serait plutôt juste de dire Union – Travail – Justice (avec le j renversé).
      En effet vous avez tous sans doute entendu parler de l’Affaire qui secoue la classe politique au Gabon, ou plutôt devrais-je dire qui anime les débats ces derniers jours au Gabon. Affaire désormais nommée <>.
      En effet moi la voix des causes perdues je pense que les gens ou les différents lecteurs débattent sur un problème de fond oubliant comme toute chose qu’avant le fond il y’a d’abord la forme. Et c’est de la forme dont je vais parler ici et pointer certaines personnes du doigt tout en me posant certaines interrogations.Accrochez-vous car vous réfléchirez par vous-même et verrez que cette affaire a plusieurs contours ou zones d’ombres.
      Première interrogation : Un riche homme politique comme Mayila, peut-il se déplacer de chez lui pour, comme le dit sa famille, la visite d’un terrain qu’il veut acheter à Angondjé avec sur lui une somme de 3 millions de francs cfa seulement ? Qu’elle parcelle de terrain peut être à ce prix là dans un quartier huppé comme celui là ?
      De la visite de parcelle, comment se retrouve t-il dans une villa avec des feymen (faussaires)?
      A qui appartient ladite villa dans laquelle on a retrouvé les machines servant à la fabrication des faux billets ?
      Si l’on en croit l’article publié par le quotidien l’Union, qui cite des sources judiciaires sûres, l’ancien ministre de l’intérieur d’Omar Bongo dispose, dans cette zone de Libreville (Angondé-Okala), d’un <> voué à la fabrication de la fausse monnaie, puisque contenant une planche à billet. Louis Gaston Mayil a été pris, semble t-il, la main dans le sac, mais est-on si sûr qu’il est la seule personnalité disposant d’un tel arsenal à Libreville ou en Province ? Selon des sources proches du dossier, quelques domiciles servant à la fabrication du faux existent, mais ces sources refusent d’avancer toute autre information.
      Par ailleurs beaucoup de personnes se demandent pourquoi, si c’est lui qui est à l’origine de cela, aurait-il porter plainte ? Bonne remarque.
      Mais moi la voix des causes perdues je me pose plutôt la question suivante : Pourquoi a-t-il menti en allant porter plainte ? Car sur cette première plainte était marqué <>.Pourquoi avoir menti à Madame Sidonie Flore Ouwé (Procureur de la République) qu’il s’agissait d’un braquage dans son bureau alors que rien n’en était?
      Concernant le Magistrat impliqué dans l’affaire le dénommé EDZO EDZO Gérard Masudi. Il a été interpellé à Angondjé le mercredi 17 Septembre au soir. Après son interpellation il fut placé en garde à vue.
      Mais comment expliquez-vous que quelqu’un qui n’est nullement encore reconnu coupable (car il n’a pas encore été jugé), puisse le lendemain de son interpellation et de sa garde à vue voir son nom dans tous les journaux et les réseaux sociaux ?
      Le mercredi soir il est interpellé et le Jeudi 18 Septembre en matinée son nom se retrouve dans tous les journaux? Je vous rappelle que la présomption d’innocence existe belle et bien dans la loi Gabonaise. Vous pourrez dire ce que vous voulez mais moi, la voix des causes perdues, pense que le Juge EDZO EDZO est la victime d’un acharnement personnel. Mais de la part de qui ? Suivez ma démonstration allant dans ce sens et vous allez comprendre.
      Concernant le fameux problème de forme dont je parlais plus haut je vous rappelle que Maître Louis Gaston Mayila et le Juge Edzo Edzo doivent être soumis a une procédure spéciale et non à une procédure de droit commun car ce ne sont pas de simples civiles du fait de leur fonction respective (l’un étant Avocat et l’autre Magistrat).Ce n’est pas moi qui le dit mais le législateur. Je ne prends cause pour aucun des deux mais je me fais l’Echo des voix perdues. Ne perdons pas le fil de nos idées car il s’agit de démontrer le caractère arbitraire, d’acharnement personnel subi par ces deux fils du Gabon.
      Parlons-en de cette procédure spéciale car avant de reconnaître si Maître Mayila et le Juge EDZO EDZO sont coupables il faut d’abord une enquête préliminaire menée dans le respect des lois en vigueur en République Gabonaise. Et après ladite enquête, ce sera lors du procès qu’on reconnaitra ou pas leur culpabilité. C’est mon avis.
      Maître Louis Gaston Mayila étant Avocat, l’enquête le concernant doit obéir à l’article 47.Quand au Magistrat Edzo Edzo, Juge au Tribunal administratif de Libreville, il ya un problème de procédure du fait même de l’implication d’un Magistrat.
      En effet, les poursuites répressives à l’encontre d’un magistrat, compte tenu de la spécificité de ses fonctions, obéissent à des règles particulières fixées par les dispositions des articles 507 et suivants du Nouveau Code de Procédure Pénale. Il en résulte que : <>
      Au regard dudit article voyez-vous une seule fois le nom du Procureur de la République cité ? Plus grave encore, plusieurs magistrats gabonais n’étaient pas au courant des dispositions de cet article.
      L’enquête a-t-elle été menée par le Président du Tribunal administratif de Libreville (supérieur hiérarchique du Magistrat en cause) ou continue-t-elle à être diligentée par Sidonie Flore Ouwé, dans le cadre de la garde-à-vue ordonnée depuis plus de 8 jours ?
      Comment se fait-il que pour placer Maître Mayila et le Juge Edzo Edzo sous mandat de dépôt, Madame le procureur convoque le Président du Tribunal administratif dans son bureau alors qu’elle n’a aucune forme de compétence pour placer le Juge et l’avocat ?
      Et le Président dudit Tribunal administratif (Supérieur hiérarchique du Juge Edzo Edzo) accepte de se rendre dans le bureau de madame Ouwé alors que c’est le contraire qui devrait se faire ? Voyons, mais dans quelle République sommes-nous ? (Elle est quand même, je vous le rappelle, Présidente du Tribunal administratif et Ouwé Procureur de la République (qui relève du parquet).Donc Ouwé n’est nullement le supérieur hiérarchique du Président du Tribunal administratif.
      Madame Sidonie Ouwé a prolongé la garde à vue du magistrat de 8 jours. C’est écrit dans quel code au monde?
      Pire encore, le Juge EDZO EDZO a été inculpé pour <>.vous rendez-vous compte ? En quoi a-t-il troublé la paix publique ?
      Madame Ouwé Sidonie pense qu’il suffit de décider comme avec un coup de baguette magique sur l’intitulé d’une inculpation alors que cela ne cadre en rien avec les faits reprochés au magistrat. Moi, la voix des causes perdues, je dis merci à Madame le Procureur de la République car elle montre aux yeux du monde qu’au Gabon il n’y a que des Parodies de Justice. Bravo Madame !!!
      En effet, quel que soit les faits reprochés au Magistrat en cause, à la sympathie ou à l’antipathie que l’on peut avoir à son égard, le respect de l’Etat de droit commande que la procédure spéciale visée par les dispositions précitées soit mise en place, et moi la voix des causes perdues je dis tel ne semble pas être le cas à ce jour. Je pouce plus loin encore :
      Madame le procureur a-t-elle compétence à placer l’avocat Maitre Mayila et le Magistrat EDZO EDZO sous mandat de dépôt ? Nonnnnnnnnnnnnnnnn et Nonnnnnnnnnnnnnnnn et encore NONNNNNNNNNNN. Ce n’est pas moi hoooooo c’est l’article 507 et suivants du Nouveau Code de Procédure Pénale qui le dit.
      Et selon mon enquête je vous informe de source sûre et certaine qu’à ce jour Maître Louis Gaston Mayila ne se trouve pas à <> (Nom de la prison centrale de Libreville) mais bel et bien chez lui.
      Alors question : Pourquoi Sidonie Ouwé magistrat de son état et de surcroit Procureur de la République viole-t-elle la loi qu’elle est sensée faire respecter ?
      Pensez-vous qu’elle ignore les dispositions du Titre VIII de l’article 507 du Nouveau Code de Procédure Pénale ?
      Pour ma part il s’agit d’une utilisation arbitraire du pouvoir de Madame le Procureur de la République car Maître Mayila et le Juge Edzo Edzo sont placés sous mandat de dépôt mais pourquoi l’un est à la prison centrale (Juge Edzo Edzo) et pas l’autre (Maître Mayila) ? Pour ceux qui ne me croient pas encore vous allez vite comprendre.
      Lors de son séjour au CHU d’Angondjé pour raison de santé et avec les différents coups reçus (il était encore considéré comme gardé à vue et de ce fait non coupable) et avant d’être arbitrairement placé sous mandat de dépôt par Sidonie Flore Ouwé, le Magistrat EDZO EDZO fut menotté sur son lit d’hôpital par les agents de la Police Judiciaire sur instructions. Et selon vous de qui ? Certainement pas moi, pauvre voix des causes perdues.
      Où est le respect des droits et des principes même de l’intégrité humaine ?
      Comment des agents de la Police Judiciaire peuvent-ils obéir aveuglement à ce genre d’ordre (Taper sur un être) et en plus, à l’encontre d’un magistrat peu importe les faits qui lui sont reprochés ?
      Pour ma part des sanctions doivent tomber et en premier sur Madame le procureur de la République Sidonie Flore Ouwé. Mais rassurez-vous Madame le Procureur Ali n’en fera rien. Car au Gabon contrairement à ce qu’on veut nous faire croire, l’injustice et l’impunité ne sont pas sanctionnées (le cas Ndoye Loury en est un exemple patent).
      Par ailleurs, la cour d’appel administrative (qui fait office de juge d’instruction dans cette affaire) voyant le problème de compétence du Procureur soulevé a demandé au Ministère public, donc au Parquet de la République, la transmission du dossier. Et cela, en vain.
      Et lorsque le dossier fut transmis, certains éléments (comme les procès verbaux et les rapports) qui permettent d’instruire l’affaire étaient absents.
      Question : A votre avis, qui peut sciemment enlever les éléments d’un tel dossier ?
      Qui, malgré le problème de compétence précédemment soulevé dans cette affaire détenait toujours (irrégulièrement) le dossier de l’Affaire Mayila ?
      Un autre élément pour vous montrez le caractère arbitraire et l’acharnement de Madame le Procureur sur son collègue.
      Lorsqu’elle donne une interview sur une notion de droit, le juge EDZO EDZO fait ensuite sortir un polycop pour démontrer l’inexactitude des propos et thèmes juridiques évoqués par elle. Et après réflexion, le Juge EDZO EDZO n’avait pas tout à fait tord et, certains de ses collègues magistrats le reconnaîtrons.
      Voyez-vous, au Gabon dire que quelqu’un s’est trompé c’est se mettre soi même la corde au coup alors que dans d’autres pays (où l’on favorise l’intellect et le respect même du débat intellectuel direct ou indirect) ce serait un véritable plus intellectuel.
      Voila Messieurs et Dames la Justice au Gabon. Laissons tomber l’espace d’un instant les discours passionnels et posons nous les vraies questions au delà de toute appartenance politique. La vérité c’est que Madame le Procureur de la République Sidonie Flore Ouwé règle les comptes au Juge EDZO EDZO Gérard Masudi car certains magistrats murmurent des les coins de Libreville qu’il y’a des antécédents entre Sidonie Ouwé et le Juge du Tribunal administratif (notamment sur certains dossiers lorsque le Juge EDZO EDZO étais substitut du Procureur).
      Mais moi la voix des causes perdues j’ai le devoir de dire la vérité et toute la vérité aux yeux du monde. Voici comment Madame le Procureur de la République règle les comptes à ses collègues. Et aux autres magistrats je dirais :
      HONTE A VOUS CAR AUJOURD’HUI C’EST LE JUGE EDZO EDZO DEMAIN A QUI LE TOUR ?
      HONTE A VOUS CAR DANS TOUTE UNE CORPORATION PERSONNE NE RELEVE TOUS LES PROBLEMES CITES PLUS HAUT ?
      DANS TOUTE UNE CORPORATION PERSONNE NE DENONCE LA GARDE A VUE ET LE MANDAT DE DEPOT ARBITRAIRE DONT LE JUGE EDZO EDZO FAIT L’OBJET COMME LES BRAVES AVOCATS L’ONT FAIT AVEC MAÎTRE MAYILA ?
      Finalement comme le disait ma grand-mère :<>.
      Et à Madame le Procureur je dirais, à force de vouloir salir et noyer quelqu’un, on fini plutôt par le rendre encore plus grand. NOTEZ-LE
      Je ne dis pas qu’ils n’ont forcement aucune culpabilité ou responsabilité dans cette affaire mais ils ont tous droit à un procès juste et équitable dans le respect des lois.
      Ce dispositif est de nature à démontrer que l’enquête menée par madame Ouwé, au-delà du caractère arbitraire susvisé, pose un problème de Procédure qui doit être résolu afin que triomphe l’Etat de droit et que soit garantie la solidité de l’institution judiciaire.
      LA VOIX DES CAUSES PERDUES

    • la voix des causes perdues dit :

      La voix des causes perdues
      Union-Travail-Justice est la devise de la République Gabonaise. Mais moi la voix des causes perdues je pense qu’il serait plutôt juste de dire Union – Travail – Justice (avec le j renversé).
      En effet vous avez tous sans doute entendu parler de l’Affaire qui secoue la classe politique au Gabon, ou plutôt devrais-je dire qui anime les débats ces derniers jours au Gabon. Affaire désormais nommée Affaire Mayila.
      En effet moi la voix des causes perdues je pense que les gens ou les différents lecteurs débattent sur un problème de fond oubliant comme toute chose qu’avant le fond il y’a d’abord la forme. Et c’est de la forme dont je vais parler ici et pointer certaines personnes du doigt tout en me posant certaines interrogations.Accrochez-vous car vous réfléchirez par vous-même et verrez que cette affaire a plusieurs contours ou zones d’ombres.
      Première interrogation : Un riche homme politique comme Mayila, peut-il se déplacer de chez lui pour, comme le dit sa famille, la visite d’un terrain qu’il veut acheter à Angondjé avec sur lui une somme de 3 millions de francs cfa seulement ? Qu’elle parcelle de terrain peut être à ce prix là dans un quartier huppé comme celui là ?
      De la visite de parcelle, comment se retrouve t-il dans une villa avec des feymen (faussaires)?
      A qui appartient ladite villa dans laquelle on a retrouvé les machines servant à la fabrication des faux billets ?
      Si l’on en croit l’article publié par le quotidien l’Union, qui cite des sources judiciaires sûres, l’ancien ministre de l’intérieur d’Omar Bongo dispose, dans cette zone de Libreville (Angondé-Okala), d’un domicile voué à la fabrication de la fausse monnaie, puisque contenant une planche à billet. Louis Gaston Mayil a été pris, semble t-il, la main dans le sac, mais est-on si sûr qu’il est la seule personnalité disposant d’un tel arsenal à Libreville ou en Province ? Selon des sources proches du dossier, quelques domiciles servant à la fabrication du faux existent, mais ces sources refusent d’avancer toute autre information.
      Par ailleurs beaucoup de personnes se demandent pourquoi, si c’est lui qui est à l’origine de cela, aurait-il porter plainte ? Bonne remarque.
      Mais moi la voix des causes perdues je me pose plutôt la question suivante : Pourquoi a-t-il menti en allant porter plainte ? Car sur cette première plainte était marqué braquage avec armes et vol de Voitures. Pourquoi avoir menti à Madame Sidonie Flore Ouwé (Procureur de la République) qu’il s’agissait d’un braquage dans son bureau alors que rien n’en était?
      Concernant le Magistrat impliqué dans l’affaire le dénommé EDZO EDZO Gérard Masudi. Il a été interpellé à Angondjé le mercredi 17 Septembre au soir. Après son interpellation il fut placé en garde à vue.
      Mais comment expliquez-vous que quelqu’un qui n’est nullement encore reconnu coupable (car il n’a pas encore été jugé), puisse le lendemain de son interpellation et de sa garde à vue voir son nom dans tous les journaux et les réseaux sociaux ?
      Le mercredi soir il est interpellé et le Jeudi 18 Septembre en matinée son nom se retrouve dans tous les journaux? Je vous rappelle que la présomption d’innocence existe belle et bien dans la loi Gabonaise. Vous pourrez dire ce que vous voulez mais moi, la voix des causes perdues, pense que le Juge EDZO EDZO est la victime d’un acharnement personnel. Mais de la part de qui ? Suivez ma démonstration allant dans ce sens et vous allez comprendre.
      Concernant le fameux problème de forme dont je parlais plus haut je vous rappelle que Maître Louis Gaston Mayila et le Juge Edzo Edzo doivent être soumis a une procédure spéciale et non à une procédure de droit commun car ce ne sont pas de simples civils du fait de leur fonction respective (l’un étant Avocat et l’autre Magistrat).Ce n’est pas moi qui le dit mais le législateur. Je ne prends cause pour aucun des deux mais je me fais l’Echo des voix perdues. Ne perdons pas le fil de nos idées car il s’agit de démontrer le caractère arbitraire, d’acharnement personnel subi par ces deux fils du Gabon.
      Parlons-en de cette procédure spéciale car avant de reconnaître si Maître Mayila et le Juge EDZO EDZO sont coupables il faut d’abord une enquête préliminaire menée dans le respect des lois en vigueur en République Gabonaise. Et après ladite enquête, ce sera lors du procès qu’on reconnaitra ou pas leur culpabilité. C’est mon avis.
      Maître Louis Gaston Mayila étant Avocat, l’enquête le concernant doit obéir à l’article 47.Quand au Magistrat Edzo Edzo, Juge au Tribunal administratif de Libreville, il ya un problème de procédure du fait même de l’implication d’un Magistrat.
      En effet, les poursuites répressives à l’encontre d’un magistrat, compte tenu de la spécificité de ses fonctions, obéissent à des règles particulières fixées par les dispositions des articles 507 et suivants du Nouveau Code de Procédure Pénale. Il en résulte que : Tout fait de nature à entrainer des poursuites répressives à l’encontre d’un Magistrat fait l’objet d’une enquête spéciale. En cas d’infraction flagrante, cette enquête est effectuée par le chef hiérarchique du Magistrat concerné, assisté, le cas échéant, par des agents des Forces de Sécurité. Dans le cas contraire, l’enquête est confiée, sur instruction du Ministre chargé de la Justice, à l’Inspection des Services Judiciaires …
      Les rapports et procès-verbaux établis en application des dispositions ci-dessus, tiennent lieu d’enquête préliminaire préalable à l’exercice de l’action de la justice.
      Au regard dudit article voyez-vous une seule fois le nom du Procureur de la République cité ? Plus grave encore, plusieurs magistrats gabonais n’étaient pas au courant des dispositions de cet article.
      L’enquête a-t-elle été confiée à l’ordre administratif ?.Et dans quelles conditions ?
      Comment se fait-il que pour placer Maître Mayila et le Juge Edzo Edzo sous mandat de dépôt, Madame le procureur convoque le Président du Tribunal administratif dans son bureau alors qu’elle n’a aucune forme de compétence pour placer le Juge et l’avocat ?
      Et le Président dudit Tribunal administratif (Supérieur hiérarchique du Juge Edzo Edzo) accepte de se rendre dans le bureau de madame Ouwé alors que c’est le contraire qui devrait se faire ? Voyons, mais dans quelle République sommes-nous ? (Elle est quand même, je vous le rappelle, Présidente du Tribunal administratif et Ouwé Procureur de la République (qui relève du parquet).Donc Ouwé n’est nullement le supérieur hiérarchique du Président du Tribunal administratif.
      Madame Sidonie Ouwé a prolongé la garde à vue du magistrat de 8 jours. C’est écrit dans quel code au monde?
      Pire encore, le Juge EDZO EDZO a été inculpé pour crime contre la paix publique. Vous rendez-vous compte ? En quoi a-t-il troublé la paix publique ?
      Madame Ouwé Sidonie pense qu’il suffit de décider comme avec un coup de baguette magique sur l’intitulé d’une inculpation alors que cela ne cadre en rien avec les faits reprochés au magistrat. Moi, la voix des causes perdues, je dis merci à Madame le Procureur de la République car elle montre aux yeux du monde qu’au Gabon il n’y a que des Parodies de Justice. Bravo Madame !!!
      En effet, quel que soit les faits reprochés au Magistrat en cause, à la sympathie ou à l’antipathie que l’on peut avoir à son égard, le respect de l’Etat de droit commande que la procédure spéciale visée par les dispositions précitées soit mise en place, et moi la voix des causes perdues je dis tel ne semble pas être le cas à ce jour. Je pouce plus loin encore :
      Madame le procureur a-t-elle compétence à placer l’avocat Maitre Mayila et le Magistrat EDZO EDZO sous mandat de dépôt ? Nonnnnnnnnnnnnnnnn et Nonnnnnnnnnnnnnnnn et encore NONNNNNNNNNNN. Ce n’est pas moi hoooooo c’est l’article 507 et suivants du Nouveau Code de Procédure Pénale qui le dit.
      Et selon mon enquête je vous informe de source sûre et certaine qu’à ce jour Maître Louis Gaston Mayila ne se trouve pas à sans famille (Nom de la prison centrale de Libreville) mais bel et bien chez lui.
      Alors question : Pourquoi Sidonie Ouwé magistrat de son état et de surcroit Procureur de la République viole-t-elle la loi qu’elle est sensée faire respecter ?
      Pensez-vous qu’elle ignore les dispositions du Titre VIII de l’article 507 du Nouveau Code de Procédure Pénale ?
      Pour ma part il s’agit d’une utilisation arbitraire du pouvoir de Madame le Procureur de la République car Maître Mayila et le Juge Edzo Edzo sont placés sous mandat de dépôt mais pourquoi l’un est à la prison centrale (Juge Edzo Edzo) et pas l’autre (Maître Mayila) ? Pour ceux qui ne me croient pas encore vous allez vite comprendre.
      Lors de son séjour au CHU d’Angondjé pour raison de santé et avec les différents coups reçus (il était encore considéré comme gardé à vue et de ce fait non coupable) et avant d’être arbitrairement placé sous mandat de dépôt par Sidonie Flore Ouwé, le Magistrat EDZO EDZO fut menotté sur son lit d’hôpital par les agents de la Police Judiciaire sur instructions. Et selon vous de qui ? Certainement pas moi, pauvre voix des causes perdues.
      Où est le respect des droits et des principes même de l’intégrité humaine ?
      Comment des agents de la Police Judiciaire peuvent-ils obéir aveuglement à ce genre d’ordre (Taper sur un être) et en plus, à l’encontre d’un magistrat peu importe les faits qui lui sont reprochés ?
      Pour ma part des sanctions doivent tomber et en premier sur Madame le procureur de la République Sidonie Flore Ouwé. Mais rassurez-vous Madame le Procureur Ali n’en fera rien. Car au Gabon contrairement à ce qu’on veut nous faire croire, l’injustice et l’impunité ne sont pas sanctionnées (le cas Ndoye Loury en est un exemple patent).
      Par ailleurs, la cour d’appel administrative (qui fait office de juge d’instruction dans cette affaire) voyant le problème de compétence du Procureur soulevé a demandé au Ministère public, donc au Parquet de la République, la transmission du dossier. Et cela, en vain.
      Et lorsque le dossier fut transmis, certains éléments (comme les procès verbaux et les rapports) qui permettent d’instruire l’affaire étaient absents.
      Question : A votre avis, qui peut sciemment enlever les éléments d’un tel dossier ?
      Qui, malgré le problème de compétence précédemment soulevé dans cette affaire détenait toujours (irrégulièrement) le dossier de l’Affaire Mayila ?
      Un autre élément pour vous montrez le caractère arbitraire et l’acharnement de Madame le Procureur sur son collègue.
      Lorsqu’elle donne une interview sur une notion de droit, le juge EDZO EDZO fait ensuite sortir un polycop pour démontrer l’inexactitude des propos et thèmes juridiques évoqués par elle. Et après réflexion, le Juge EDZO EDZO n’avait pas tout à fait tord et, certains de ses collègues magistrats le reconnaîtrons.
      Voyez-vous, au Gabon dire que quelqu’un s’est trompé c’est se mettre soi même la corde au coup alors que dans d’autres pays (où l’on favorise l’intellect et le respect même du débat intellectuel direct ou indirect) ce serait un véritable plus intellectuel.
      Voila Messieurs et Dames la Justice au Gabon. Laissons tomber l’espace d’un instant les discours passionnels et posons nous les vraies questions au delà de toute appartenance politique. La vérité c’est que Madame le Procureur de la République Sidonie Flore Ouwé règle les comptes au Juge EDZO EDZO Gérard Masudi car certains magistrats murmurent des les coins de Libreville qu’il y’a des antécédents entre Sidonie Ouwé et le Juge du Tribunal administratif (notamment sur certains dossiers lorsque le Juge EDZO EDZO était substitut du Procureur).
      Mais moi la voix des causes perdues j’ai le devoir de dire la vérité et toute la vérité aux yeux du monde. Voici comment Madame le Procureur de la République règle les comptes à ses collègues. Et aux autres magistrats je dirais :
      HONTE A VOUS CAR AUJOURD’HUI C’EST LE JUGE EDZO EDZO DEMAIN A QUI LE TOUR ?
      HONTE A VOUS CAR DANS TOUTE UNE CORPORATION PERSONNE NE RELEVE TOUS LES PROBLEMES CITES PLUS HAUT ?
      DANS TOUTE UNE CORPORATION PERSONNE NE DENONCE LA GARDE A VUE ET LE MANDAT DE DEPOT ARBITRAIRE DONT LE JUGE EDZO EDZO FAIT L’OBJET COMME LES BRAVES AVOCATS L’ONT FAIT AVEC MAÎTRE MAYILA ?
      Finalement comme le disait ma grand-mère :<>.
      Et à Madame le Procureur je dirais, à force de vouloir salir et noyer quelqu’un, on fini plutôt par le rendre encore plus grand. NOTEZ-LE
      Je ne dis pas qu’ils n’ont forcement aucune culpabilité ou responsabilité dans cette affaire mais ils ont tous droit à un procès juste et équitable dans le respect des lois.
      Ce dispositif est de nature à démontrer que l’enquête menée par madame Ouwé, au-delà du caractère arbitraire susvisé, pose un problème de Procédure qui doit être résolu afin que triomphe l’Etat de droit et que soit garantie la solidité de l’institution judiciaire.
      LA VOIX DES CAUSES PERDUES

  5. gabame dit :

    franchement ce n’est pas moi qui va pleurer sur le sort de MAYILA car voila un personnage tordu qui depuis des annees a detourner corrompu il a tout les vices donc arretons de croire qu’il est innocent car pas mal de gens qui sont en prison sont des enfants de coeur comparer a lui.

    • okoura dit :

      Je suis tout à fait de votre avis gabame .Mayila est en train de payer pour tout, surtout pour la roublardise. A vouloir manger à tous les râteliers il se trouve pris au piège. Le sort de Maganga doit aussi être ficeler. Il y a un seul jour pour Dieu . A bon entendeur salut

  6. Mbangou dit :

    Qu’est-ce ce qu’on a pu leur servir a boire a Montagne Sainte pour produire ce Conte Débile, conté par des Débiles, qui prennent les Gabonais pour des Débiles ?!

  7. Candide79 dit :

    La fausse monnaie n’existe pas au Gabon,les escrocs qui prétendent en faire,usent d’ingéniosité pour bluffer les pigeons.Prenons le cas du fameux mercure qui serrent à fabriquer les fameux billets, il s’agit d’un mélange basique,entre du pétrole, et du coca cola, qu’ils mettent dans une bouteille,ensuite ils referment la bouteille avec du plâtre,pétrole et coca étant immiscible cela donne un contenu peu commun. Concernant les billets soi-disant fabriqués, la réalité, c’est qu’il s’agit pour une part de vrais billets de banque qui sont placés au début de chaque liasse d’argent, ainsi lors que les escrocs prétendent faire un test pour convaincre leurs pigeons, ils feignent de laver ces vrais billets de banque,les remettent aux pigeons pour que ces derniers les utilisent, et comme ce sont de vrais billets de banque,aucun souci…Ce qui fini par convaincre, les pigeons qu’ils vont enfin devenir riche ou encore plus, ah cupidité quand tu nous tient!!! c’est à ce moment là que les escrocs demandes aux pigeons, des millions pour se procurer plus de mercure, de poudre (en fait du talc) pour laver l’ensemble des billets (souvent des prétendus milliards). Et, c’est là que ces fameux pigeons convaincus qu’ils vont devenir milliardaires se murent dans un silence (l’argent n’aime pas le bruit) dérobent dans les caisses de l’Etat,ou dans leurs deniers,vendent leurs biens pensant investir…Une fois en possession de l’argent qui leur est demandé,ils prenent RDV avec les faussaires dans les fameux labos (en géneral des maisons spécialement aménagés pour la circonstance),les escrocs une fois au labo,en possesion de l’argent du pigeon,organisent en complicité avec des agents de la PJ ou des magistrats véreux, du flagrant délit, la scène est simple, pendant qu’ils sont au labo en train de lancer la fabrique des billets, la police arrive à tout pompe,armée comme dans une vraie intervantion sauf qu’ils sont tous complices, ils embarquent tous le monde, et en génaral, comme le pigeon est une personnalité importante, pour éviter toute humiliation, et surtout la prison,il négocie avec ces policiers véreux sa non interpellation ou sa sortie de prison et ayant la garantie que cette histoire soit étouffée c’est ainsi qu’aucun des escrocs (policiers comme feymans) n’est inquiété par les pigeons.
    Aujourd’hui je constate que les feymans se diversiefient, et je pense que Mayila, a été victime d’une tentative d’escroquerie, il n’y rien de politique, et je crois que beaucoup dans l’ombre ont subi cela aussi, on vous tend un traquenard,dans un lieu aménagé, du matériel,faisant croire en une fabrique de fausse monnaie, sous la menace de policiers, et magistrat corrompus, des photos de vous en plein fabrique de billets,et bonjour le chantage, et je pense que ces ecrocs pensaient que Mayila n’irait pas jusqu’à porter plainte…
    Il faut que les gens sachent clairement qu’il n’y a que le travail qui paie, et la fausse monnaie n’existe pas, encore faut-il que le travail soit valoriser comme il se doit, les hommes qui nous commandent et qui nous ont toujours commandé aiment tellement l’argent qu’ils sont prêts à tout pour en avoir toujours plus!!!

    • jammeth dit :

      candide 79, plus clair que toi, je meurs. Limpide, net et précis. C’est une roue continuelle du pigeon (le cupide) trop intéressé par la facilité), du renard (le feyman), de la mangouste (le policier véreux à l’affût) et de la chouette complice (le magistrat corrompu qui a le regard placide et affûte). La notion du travail doit être inculquée et imprégnée. C’est cet amour immodéré pour la luxure,le vice et le bien-être sans efforts qui est la mère de tous les maux de notre société (prostitution homosexuelle et hétérosexuelle, crimes de sang, fausses monnaies).

    • la vérité est ailleurs dit :

      Merci candide 79 pour ces eclaircissements…ca à le merite d’être logique

    • Harvy dit :

      Rien qu’à voir le luxe dans lequel vivent certains magistrats et policiers, il faut quand meme etre assez stupide d’etre le chef de gang et par la suite allez porter plainte.
      Il est de coutume que dans ce genre d’histoire,quand on s’est fait rouler, on la ferme, on souffre en silence, d’ou partiront les reglements de comptes.
      Merci Candide 79, pour cette approche non négligeable

    • Le citoyen Libre dit :

      C’est effectivement le principe.

    • jean françois dit :

      Mayila n’a pas été victime d’un traquenard. Il a été victime de sa cupidité et s’est cru certainement intouchable comme au temps de Bongo père. Je crois sincèrement qu’il n’a pas saisi la différence entre Bongo Père et Fils. Que la justice fasse son travail sereinement.

  8. ondo dit :

    wouaaaaaaaaa Candide79 ce exactement ce qui se passait avec mayila, quand il se rendu compte qu’il se fait avoir, il a voulu porter plainte, or la voiture et l’argent ce lui même qui a donné, il se croyait le plus malin mais il a eu plus mali que lui

  9. doukdouk dit :

    les gens du quartier pense à un traquenard – MAYILA paie les déclarations de son article d’il ya 2 mois où il s’était exprimé à baton rompu et dans lequel, il a donné les vrais résultats deS PRESIDENTIELLES 2009, en déclarant Le feu Pierre Mamboundou vainqueur et chiffre à la pui. ils veulent lui régler son compte( c’est ce qui se dit partout- et on comprend que les ex UN soient contents car ils ont toujours prétendu etre les vainqueurs- car comment comprendre qu’ils disent que Myila doit répondre- Est ce qu’ils sont propres eux ? Ils sont tous, pareil. Et avec cela vous voulez un front unis ?

    • epuis quoi encore dit :

      Mais Monsieur le doukdouk qu’est ce que vous avez contre les membres de L’UN? Pourquoi veux tu qu’ils soutiennent Mayila alors que ce dernier est leur plus virulent détracteur? quels ont été les propos de ce derniers à leur encontre? un peu de logique ne te fera pas de mal

    • okoura dit :

      Mayila n’a jamais été opposant vous ne l’avez pas compris, il ne fait pas partie du front uni c’est un pion du PDG au même titre que Maganga et Ndaot

  10. doukdouk dit :

    non relu
    ne tenez pas compte des fautes

  11. anti démagogie dit :

    @Mbangou, et encore je trouve que tu es assez poli. Ses défenseurs sont tellement ridicules qu’ils desservent l’opposition.
    @Brio coco ose parler d’un fin stratège. Sans déconner.
    Imaginons qu’il se soit fait piégé, on ne peut quand même pas partir d’une feuille blanche, il avait forcément des accointances.
    Personnellement par le passé je comprends les difficultés à traduire Mayila devant la justice pendant qu’Edzo Edzo est encore Procureur.
    On peut être contre le pouvoir en place ok, mais delà a soutenir ce genre de personnage, faut vraiment être très bête.

  12. l'oeil du gabonais dit :

    Si Me MAYILA ne se reprochait de rien, à son Age, je pense qu’il aurait fait une attaque cardiaque

  13. as des as dit :

    Je ne suis pas un emmergent,mais je crois qu’on ne doit pas tout politiser.l’affaire semble claire que mayila reponde de ses actes.toutefois esperons que le même traitement sera reserve a tous emmergents ou non emmergents!

  14. hugues manouana dit :

    JE VOUS INFORME QUE CANDIDE EST UN FEYMAN

Poster un commentaire