Dans le style qui lui est propre, le directeur de rédaction et rédacteur en chef de l’hebdomadaire «Faits Divers» s’est permis quelques lignes, le week-end écoulé, contre certains de ses confrères qui se sont autorisés à le «flétrir dans leurs feuilles de chou indigestes».

Jonas Moulenda ©Facebook/Moulenda
Jonas Moulenda ©Facebook/Moulenda

 

Alors qu’il croyait pouvoir bénéficier d’un soutien massif de la part des acteurs de la corporation, eu égard aux menaces dont il serait l’objet de la part des affidés du pouvoir du fait d’une liberté de ton qu’il ne manque pourtant pas d’assumer dans un pays où «la liberté de la presse» s’assimile à un simple concept, c’est plutôt à la délation que semble avoir droit le célèbre reporter, de la part de ceux qu’il surnomme «journaliste pédé».

S’il s’est toujours privé de répondre aux attaques de ses «condescendants» pour des raisons qui lui sont propres, les derniers agissements qu’il se dispense d’énumérer dans sa diatribe, mais qui trouveraient leurs sources dans sa situation actuelle, apparaissent comme l’acte de trop, ayant conduit à cette prose à l’adresse de ces détracteurs.

L’intégralité de la lettre, titrée «lettre aux journalistes pédé»

Messieurs,

Au plus fort de ma persécution par des gouvernants gênés par ma liberté de ton, vous ne trouvez pas mieux que de me flétrir dans vos feuilles de chou indigestes. C’est par sagesse que je ne vous réponds pas souvent. «Le fou tient son cœur sur sa langue, et le sage tient sa langue dans le cœur», disait mon grand-père.

Dans les pays sérieux, dirigés par des gens sérieux, la presse fait partie de ce que l’on appelle l’intelligentsia. Or, à votre allure, vous ne donnez plus l’impression de vouloir compter parmi ceux qui pensent ce pays, orientent ses choix et pèsent sur son destin. Au moment où d’aucuns ont toujours milité en tapinois pour ma crucifixion, vous passez le plus clair de votre temps à tirer à boulets rouges sur moi, vous faisant passer pour des Don Quichottes. Je vous comprends dans une certaine mesure. «Au pays des boiteux, chacun pense qu’il marche droit», disait mon aïeul.

Je sais que je vous gêne parce que je parle souvent de vos réseaux de pédés. Mais c’est consternant de me rendre compte que vous êtes instrumentalisés contre votre propre confrère. Quel intérêt avez-vous à agir de la sorte ? Mais on ne se réjouit pas des malheurs de son collègue ! Mon papy disait : «quand on poursuit la poule, le régime de banane ne doit pas rigoler.» Qu’est-ce qui ne dit pas qu’un jour vous subirez le même avatar ? Ce qui m’offusque dans cette campagne de dénigrement orchestrée contre ma personne, c’est votre cynisme qui vous amène à oublier l’intérêt supérieur de cette nation que je sers avec abnégation.

Réfléchissez avant de demander que je sois guillotiné. Ce n’est pas tout le monde que vous pouvez noyer. Mon grand-père disait: «Jetez le chanceux dans la rivière, il en sortira avec un poisson à la bouche. » Au lieu de passer votre temps à me flétrir dans vos journaux à la soldes de vos ‘’pédés’’ de maris, vous gagneriez à approfondir vos enquêtes sur les problèmes qui tarabustent le peuple gabonais. Mon jugement n’est pas une sentence mais je constate que vous traitez l’information comme une denrée marchande, sélectionnant l’information rentable et éliminant celle qui ne l’est pas.

À cette allure, vous ne serez jamais utiles à ce pays, qui a besoin d’une presse au service de son développement et non celle mue par des appétits pécuniaires boulimiques. Je constate avec amertume que nous sommes différents à bien d’égards. Finalement, je donne raison à mon papy, qui disait : «Tous les arbres de la forêt ne font pas du bois de chauffage.» A travers ce constat navrant, je comprends aisément votre penchant à livrer à la vindicte populaire un membre de votre corporation.

De fait, vous êtes une presse non seulement pour gagner de l’argent mais aussi une presse sélectionnant l’information selon l’utilité qu’elle comporte à l’égard du pouvoir d’argent, c’est-à-dire le système capitaliste. Mais vous n’êtes qu’une bande de petits lapins à la recherche de la carotte ! C’est à cause de deux millions qu’on vous donne mensuellement que vous m’insultez dans vos chiffons, au mépris même de la Charte des journalistes qui interdit des attaques entre confrères ? À vous lire, l’on a l’impression que vous êtes d’une exemplarité incontestée. Pourtant, tel n’est pas le cas. «Si le babouin se mettait à regarder son derrière, lui aussi rirait, » aimait à dire mon grand-père.

Manifestement, il vous sera difficile de vous hisser à mon niveau. « Même si l’étoile brille beaucoup, elle ne peut pas valoir la lune, » disait mon grand-père. Je continuerai à faire mon travail, soutenu par une société civile qui tente de s’ériger en avant-garde d’une opinion embryonnaire, pour pousser les autorités vers plus de soucis de transparence dans la gestion des affaires publiques. L’investigation journalistique qui suscite souvent des réactions irrationnelles et disproportionnées de certains gouvernants, est un moyen de sensibilisation, à la fois des autorités pour aider celles-ci à la prise des décisions et du public pour éveiller l’opinion.

Le succès rencontré par mon journal auprès de l’opinion témoigne de la qualité du travail que j’abats. Même si je ne suis pas «pédé» comme vous, ayez l’honnêteté intellectuelle de reconnaître mon professionnalisme.

Je suis fier de jouer le rôle d’aiguillon de la société et de contribuer au développement de votre pays. Votre médisance et vos critiques malveillantes ne m’empêcheront pas de faire le travail que le peuple attend de moi. «Les cris des crapauds n’empêchent pas l’éléphant de boire de l’eau», aimait d’ailleurs à dire mon grand-père, qui vous aurait prêté sa sagesse s’il vivait encore.

Excellent week-end entre pédés mais gare aux hémorroïdes !

Jonas Moulenda

 

 
GR
 

32 Commentaires

  1. Madouaka dit :

    Sur le plan purement intellectuel, sa réponse est brillante, sur le fond rien à redire les arguments sont carrés. Moi je regrette simplement qu’ils utilisent le terme « Pédé » dans son pamphlet, nous sommes dans un pays où les amalgames sont faciles. Si les journalistes du régime en place sont si minables ce n’est pas en raison de leurs orientations sexuelles. Ceci n’engage que moi on n’a pas droit d’attaquer les gens sur leur origine, leur couleur de peau, leur orientation sexuelle.
    Je sais que ça choque bcp de gabonais mais l’homosexualité n’est pas une tare, ce n’est pas forcement un choix pour certains. Il y en a qui sont née ainsi, je précise a toute fin utile que je ne suis pas gay.

    Courage Jonas Moulenda tu mets le pays en haut

    • tat'mboum dit :

      Madouaka, on ne nait pas homosexuel si cela est vrai, la seule raison pour l’expliquer est spirituelle, à savoir: vos parents ont été en contact spirituel avec satan et ses démons.C’est la seule raison.Mais lorsque DIEU a été au centre de nos vies, on ne peut pas être cela.Ce n’est non plus une tare car quand Il a crée le monde, Il a fait l’homme et la femme pour deux choses: Peuplez le monde(par le biais et le canal du sexe, seul moyen de reproductif fiable) et de deux, assujétir le monde pour être au dessus de toute l’espèce humaine et non en dessous comme c’est cas de pédés.Ils n’ont aucune place dans ce monde ni allaieurs.Le sexe de l’homme ne trouve sa fonction et son monde que dans celui de la femme qui, d’ailleurs, a été préparé pour le recevoir.Aller dans le sens inverse est du pure satanisme a retranché très rapidement de nos moeurs pour notre bien(bénédictions de DIEU) et de celui de nos enfants.Regardez tous les pays qui y sont signataires, comment aujourd’hui vivent-ils? La france connait depuis des catastrophes naturelles en ne plus en finir.Même la nature est contre ces pays.

      • Madouaka dit :

        Je ne suis pas croyant désolé. Quand on naît hermaphrodite c’est le diable??? Vous faites pitié avec vos message de Dieu . C’est pathétique. La France connait quelle catastrophe naturelle? Un volcan en éruption? Un séisme ? Des inondations? Citez moi la catastrophe dont vous parlez ?
        Donc les personnes qui naissent stériles n’ont rien a faire sur terre puisqu’ils ne peuvent pas peupler la planète?

        @tat’mboum Réfléchissez un peu au lieu de répéter les conneries que les blancs nous ont répété pour nous prendre en otages.

        • Alewanamiè dit :

          @Madouaka, même si tu ne crois pas en un Créateur, les lois de la Nature et les besoins naturels de tous les êtres vivants (humains, animaux) montrent bien que chaque organe du corps a été conçu pour satisfaire un besoin précis : la bouche pour avaler la nourriture, les organes génitaux mâle et femelle pour assouvir le désir sexuel, l’anus pour évacuer la chiotte et non pour recevoir le sexe. Laisser l’usage naturel de la femelle (ou du mâle) pour s’adonner à l’homosexualité est une déviance contre nature. Les homo comme les lesbiennes n’ont aucun sens moral, ils n’ont pas la crainte de Dieu.

  2. Zambi tata dit :

    Jonas Tu es grave! J’ai surtout aimé la fin « Excellent week-end entre pédés mais gare aux hémorroïdes ! » Ils ont vendu leurs âmes au diable! il faut les comprendre. Même après avoir fait ce que vous venez de faire ils vont continuer, c’est tout ce qu’ils savent faire. C’est pas de leur faute.
    C’est pas pour rien Jésus avait dit « Pardonnes leur Père, ils ne savent pas ce qu’ils font ». Je te dirais la même chose. Il faut leur pardonner, c’est pas de leur faute. La force de l’homme se trouve à l’arrière train. Mais c’est cette partie qu’ils utilisent pour leurs messes noires. Que penses-tu qu’ils peuvent sortir de sérieux pour le développement du Gabon?

    Continuer ton travail.

  3. Observateur dit :

    D’admirateur dans un premier temps, Je suis aujourd’hui très peu convaincu par les propos de Mr Moulenda. Ce monsieur a atteint un degré de paranoïa sans précédent. Pas peu fier « du rôle d’aiguillon » qu’il se donne, il transpire une condescendance qui explique ses multiples sorties sans queue ni tête. Triste 4e pouvoir quand tu prends cette forme…

  4. YanG dit :

    Quel sinistre abruti ce Moulenda ! Et il dit être de haut niveau et contribué au développement de son pays ? En publiant des unes évoquant des « explosions de sexe » ?!!! « Intelligencia » dit il ? Laissez moi rire pardon. Pauvre Gabon !

  5. manondzo dit :

    Jonas, quand on ne pense pas dans le même sens que toi on est abruti, « pédé », crois*tu avoir la science infuse? Tu connais tes collègues gabonais, mets sur la table tous vos CV et tu réaliseras à quel niveau tu te situes.

  6. President Bobo dit :

    La chenille sur son arbre ne dois pas oublier qu’elle a porte des lunettes ….

  7. sandra dit :

    Les propos de Jonas Moulenda n’engagent que lui, certes!Toutefois, souffréz de lui reconnaître des qualités.
    Il n’a surement pas la science infuse ni encore un cv aussi épais qu’une encyclopédie à l’image de nombreux journalistes-valets de nos dirigeants. mais il s’est fait sa place dans le microcosme par la rigueur de ses articles et le sérieux de son engagement au respect de la lettre et surtout, à l’esprit du journalisme. Contrairement à nos journalistes bardés de diplômes ceux qui noircissent les pages des journaux en faisant l’apologie du tribalisme, de la division et de la démocratie au rabais claironnée par nos dirigeants »illuminés », il a le courage que beaucoup d’autres n’ont jamais eu. N’en déplaise à tous ceux qui avancent masqués en utilisant des pseudos.Il n’est pas obligé d’émarger sur le registre de la pédérastie, des loges obscures et obscurantistes qui aliènent la liberté de penser et le bon sens de nos dirigeants et par extension de ce qui sont supposés nous donner une information objective, sans parti pris.Je ne suis pas un fan de Jonas Moulenda, mais lui au moins à une paire de couilles.Et à en juger par son courage et son audace, elle doit être bien grosse!

  8. IPANDY dit :

    Il faut dire que quand on lit cette presse aux ordres on a envie de réagir comme monsieur MOULENDA. Je vois que sa lettre nous permet de voir ceux qui sont pour le mariage de meme sexe, je dirai meme que certains pédé ont réagis dans leurs postes. Je tiens à rappeler que MOULENDA n’est pas le premier à nous informer qu’il y a des journaliste qui encaisse au cul. Souvenez vous des déclarations du responsables du MBANDJA, dans l’affaire qui l’opposait à monsieur RAPHAEL NTOUTOUME du chiffon « la griffe ». On a appris beaucoup de choses. ça commence à sortir, bientôt tout les réseaux des pédé de la RTPDG, l’union, et autre médias aux ordres seront connus de tous. MOULENDA a travaillé à l’union et connait bien le milieu et s’il dit qu’il y’a des hommes qui sont des femmes la nuit. Meme si on vient vous parlez de paranoia et autres, je vous conseil de prendre au sérieux les déclaration de MOULENDA.

  9. Mayi Mayo dit :

    Jonas est tout simplement le journaliste-investigateur le plus brillant du Gabon tout entier. Il écrit et dit haut ce que les gabonais pensent tout bas, à avoir que les 3/4 des journalistes ou journaleux à la solde des homosexuels comme ceux qui dirigent le Gabon. N’arrête surtout pas ton travail. La peur a changé de camp. Désormais c’est le véritable président béninois du Gabon et son valet et amant Ali Bongo qui font dans leurs culottes, pardon, strings.

  10. massuku dit :

    Ah ka! Jonnaaaaass, wouai l’homme écrit, tu es le seul bien qu’à l’union en 2009 après les massacre de Port Gentil, qui avait décidé avec la bénédiction de Mr Yangari (Directeur de la Sonaprees) d’aller faire une enquête sur les assassinats post électorales, que le pouvoir avait étouffé dès la première parution sous le titre je reviens de Port Gentil. Ce Monsieur , mérite respect et considération. Pour les homosexuels, comme ca vous dérange que Jonas Moulanda s’ en prend directement à votre corporation, on peut vous rassurer vous ne serez jamais la bien venue chez nous. Bravo l’homme

  11. Nza Fe dit :

    Tristement célèbre… Ne réinventons pas la roue en matière de journalisme. De quelque manière dont on a été formé; sur le tas ou diplômé, il faut toujours savoir garder ce qu’on a appris à savoir: l’éthique et la déontologie. Or à lire certains journalistes, ce principe cardinal du journalisme s’il n’est pas expressément ignoré, il ne constitue pas chez certains un cadre prédominant qui détermine qualité, excellence, moralité, professionnalisme de son métier. J’en viens à conclure au regard de cette scandaleuse débrouillardise journalistique, qu’on fait du tropicalisme sauvage ce métier. D’où s’installe une confusion d’idées intolérables en matière de genres; un urgent, brief, compte rendu, papier d’analyse, papier général, papier d’angle, reportages, publie-reportage,commentaire, debrief,dépêche, fait divers,revue de presse, bulletin, etc. Les styles, la ligne édito,etc. On ramasse plutôt tous cela en made in Gabon. Tous ça pour dire à Jonas que ça soit lui où ses confrères détracteurs, vous faites beaucoup dans l’amalgame. Vous avez viré à l’insulte, à des affirmations ou accusations fortuites sur le statut de  »pédé » que certains de vos confrères auraient. Il ne suffit pas de bien lire et écrire, de citer un recueil d’adages pour se convaincre qu’on est journaliste…

  12. Kleths dit :

    Je me souviendrai toujours qu’en 2009, malgre la peur ambiante, Jonas fut l’un des rares a rapportes les massacres de Port-Gentil… Il a fait preuve d’un courage certain. Nous ne pouvons pas en dire autant d’une certaine presse aux ordres.

  13. femme noir dit :

    Bravo Jonas de dénoncer tout haut le comportement de certains de nos confrères, n’en déplaise à certains. Je sais une chose, tus es talentueux, courageux et intelligent. Continues ton travail, tu es sur la bonne voie, laisse ces  »pédé » faire leur bruit. Ils sont pédé et payé pour ces basses besognes.Pôvr Gabon!

  14. pahe dit :

    L’aïeul du papy du Moulenda au niveau de son grand père, quel sacré numéro!
    http://www.pahebd.blogspot.com

  15. Ontintin va nous tuer! dit :

    Attendez, donc dans ce Gabon là il n y a que des pédés, des pédés, des pédés…Et des lesbiennes, des lesbiennes, des lesbiennes?! éh ben monvièhhhhhh!!!!! Je comprends pourquoi les gens restent au pouvoir 50 ans dans ce Gabon. J’espère juste qu’il y en aura moins pour 2016!

  16. Urbain Matinda Molè dit :

    Formidable Gabon! Un pays capable d’enfanter autant de sommités à la Jonas Moulenda ne peut qu’être un grand pays.
    A part s’opposer au régime d’Ali Bongo et de citer tous les proverbes eshira possibles et imaginables, quel journaliste est ce monsieur qu’on célèbre ici?
    Que ce soit dans l’Union, Echos du Nord ou son journal sensationnaliste dont j’oublie le nom, il m’arrive de lire ces compilations de dictons. C’est assez indigeste quand même. Sans parler de la foi que ce monsieur a dans la sorcellerie! A peine imaginable. Et le gars se considère comme membre de l’intelligentsia! Un intello donc qui au lieu de combattre les superstitions et autres fariboles en a au contraire fait son fond de commerce.
    Enfoncer les portes ouvertes, c’est ça journaliste d’investigation alors?
    Au fait, je me souviens que notre ami Jonas a tenté une carrière politique qui a mal tourné non? Bon c’et certainement à cause de la fraude, mais il s’était bien fait bablé pour le compte du pari de Mayila à Mandji ou Fougamou… On peut donc comprendre sa haine du système.
    Pour revenir aux « pédés », savez-vous que M. Jonas Moulenda st longtemps passé pour être la « etite femme » d’un patron du journal L’Union?
    Concluson: à pédé, pédé et démi!

    • Soi-Même dit :

      « Pour revenir aux « pédés », savez-vous que M. Jonas Moulenda st longtemps passé pour être la « etite femme » d’un patron du journal L’Union? »
      Accusation gratuite contre Jonas…Quelqu’un a écrit plus haut que ce sont les homosexuels qui réagissent violemment aux propos de Jonas.Je crois avoir découvert ton orientation sexuelle et il faut que tu changes.
      « Sans parler de la foi que ce monsieur a dans la sorcellerie!  » : si Dieu dit que le diable existe, je ne vois pas comment l’Urbain peut dire non!!!!!!!!

    • Alewanamiè dit :

      Nous savons qu’au Gabon, les milieux des médias, l’audio-visuel et la presse écrite publics sont les viviers des pédés et lesbiennes. Le patron du journal LE MBANDJA a dévoilé qui était le « mari » de Raphaël de LA GRIFFE, dis nous alors qui était le mari de Jonas ! Si tu jettes la pierre sur Jonas c’est que tu fais partie de ce club de pédés.

  17. komba dit :

    Pour réussir au Gabon il faut etre franc macon homosexuel et musulman. Pas etonnant le virage pris par notre développement socio économique. Ceux qui ont mis en place ce système que vous le vouliez ou non paierons cela un jour car Dieu vous observe et en son temps agira

  18. Le rôle d’un journaliste est d’informer, d’éduquer et de divertir l’opinion publique. Ce papier au titre « étrange » est destiné à quelle mission?

    Au Gabon, les gens aiment les mélanges de genres. Si un journaliste n’est pas d’accord avec son confrère et qu’il le dit, pourquoi renvoyer le débat en dessous de la ceinture par des petites phrases frisant le ridicule?

    A lire certains papiers, on a comme l’impression que les gens écrivent par le cul ou ont des culs à la place du cerveau.

    A bon entendeur…

  19. komba dit :

    Mr Ngomo vous êtes journaliste, si un confrère vous attaque qu’allez vous faire ? je pense que vous allez vous défendre. Ceci étant parler de pédé est une réalité ou non? le Gabon ne grouille plus que de cette catégorie de compatriotes prets a baisser leur culotte pour un bongo cfa ou un poste. La compétence est déja bannie au gabon au profit de ces trois voies FM Homo et Musu

  20. kango dit :

    Jonas tient ta route tu es fort

  21. dikoka dit :

    mon frère Jonas suis fière du boulot abattus par ton journal faits divers courage ,vous aussi arrêter de faire le pipi aux autres aux fesses oooooooh donc voici pourquoi on voix beaucoup d’ homme avec les gros ventre vous êtes enceinte tous me vous accoucher quand?

  22. Désiré dit :

    Ce jonas est il si fort? A reprendre une argumentation faite d’invectives et de saloperies ( Pédés , etc…. ) pour se défendre , il ne fait que s’enfoncer lui même… Et il est triste de constater que Gabon review dont on appréciait la qualité d’écriture et la droiture de pensée participe à cet abaissement du niveau des débats.

  23. Désiré dit :

    On peut tout dire sur la liberté bafouée de la presse dans ce pays sauf à se défendre comme le fait ce Monsieur. Pauvres Gabonais qui même avec les meilleures intentions du monde parfois ne s’intéressent qu’à l’argent, le sexe et la « politique » (pour « gagner » de l’argent et tomber des filles?).

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