Représentant l’Université internationale de Libreville (UIL), l’Institution Berthe & Jean vient de signer avec l’Université Paris-Dauphine, une convention de coopération en matière de formation et recherche.

Echange de documents paraphés entre Alexandre Barro Chambrier  et Raynouard Arnaud Patrick de Paris Dauphine. © D.R.
Echange de documents paraphés entre Alexandre Barro Chambrier et Raynouard Arnaud Patrick de Paris Dauphine. © D.R.

 

LUniversité Paris-Dauphine et l’Institution Berthe & Jean, représentant l’Université internationale de Libreville (UIL), ont uni leurs efforts en vue d’engager des programmes pluridisciplinaires au bénéfice de leurs étudiants, ainsi qu’une recherche conjointe dans leurs domaines d’excellence. C’est dans ce cadre qu’elles ont signé, le 4 novembre dernier à Libreville, un accord-cadre de coopération en matière de formation et de recherche. Fondé sur des valeurs partagées, ce partenariat offrira ainsi à leurs étudiants une gamme de formation élargie.

«Parmi les arguments évidents qui nous ont motivé à passer cet accord, il y a que nous avons un développement dans la zone francophone qui nous semble important, que nous avons énormément de liens en Afrique de l’Ouest, en Afrique centrale, et notamment au Gabon, mais que nous n’avions pas de structures particulières», a souligné Raynouard Arnaud Patrick, vice-président de l’Université Paris Dauphine. Selon lui, cette volonté «d’aller plus loin vers un partenariat stratégique répondait à la fois à (leur) conviction d’être beaucoup plus présents».

2e vice-président du conseil de surveillance de l’Institution Berthe et Jean, par ailleurs, président du Comité de pilotage du partenariat avec Paris Dauphine, Hugues Alexandre Barro Chambrier a simplement indiqué que c’est «un partenariat stratégique gagnant-gagnant, qui nous permet d’être lié à une université dont le rayonnement est international dans le domaine des sciences des organisations, particulièrement de la gestion». Pour lui, ce cadre de coopération «permettra à (leurs) meilleurs étudiants, dès la troisième année, de pouvoir poursuivre leurs études à Paris-Dauphine, mais également aux étudiants de Paris-Dauphine de venir poursuivre des études, faire des stages, à l’Université internationale de Libreville».

Cet accord-cadre sera suivi de conventions bilatérales dans lesquelles seront définies les modalités particulières d’application selon les spécificités de chaque établissement.

 

 
GR
 

7 Commentaires

  1. La Fille de la Veuve dit :

    Pauvre Barro-Chambrier. Il est réduit à être le valet de Mborantsouo et participe ainsi à l’assassinant de l’Université Gabonaise !

    • kevbond dit :

      La fille de la veuve… on lit bien que cette université privée vient de signer un accord cadre avec Paris Dauphine. vous vous voyez le dépouillement de l’UOB, moi je vois des Gabonais des Gabonais aux parcours académique est assez élogieux pour que Dauphine paraphe un accord cadre.

      Barro et Mborantsouo ne sont pas et je parle de parcours académique deux lambdas. Pouvont nous cesser de tout réduire et ramener à la politique sans cesse?

      Je ne fait pas fie des problèmes de l’UOB et je laisse les responsables les régler.

  2. Omengo dit :

    Je suis parfaitement d’accord avec toi fille de la veuve, ils ont dépouillé l’éducation de ses ressources pour les orienté dans leurs établissements comme si ce mal ne suffisait pas on oriente les jeunes gabonais dans ces lycées pour perpétrer l’hémorragie des ressources financières qui devait servir à réhabiliter l’existant, à équiper, à construire d’autres établissements.

  3. mbadinga mbadinga hulrick dit :

    Université Paris-Dauphine et l’Institution Berthe & Jean, représentant l’Université internationale de Libreville (UIL), bon geste pour Alexandre Barro Chambrier et pour le pays tout entier, sa prouve encore une fois que le Gabon est en pleine emmergence

  4. John Gabin Ekomo dit :

    felicitation a mme Mborantsouo pr cette initiative privee car elle a le merite d’oeuvrer dans l’education d son pays. n’en deplaise aux critiques sterilles, la signature d cet accord cadre entre l’univrrsite paris dauphine et l’uil va tirer le systeme educatif gabonais vers le haut. dans tous les pays il ya des universites privees et ceux ki ont tues l’universite publique sont animes par leurs veleites negatives. mme la presidente d la cour doit etre felicitee parcekelle a le soucis d former l’elite gabonaise. et mes encouragements aussi a mr Barro Chambrier en tant ke professeur agrege partage le mem soucis ke mme Mborantsouo ki est d voir les etudiants gabonais profiter d l’experience et l’expertise d ‘universite d la sorbone car d par c partenariat c le gabon ki gagne avc l’universite internationale d libreville

  5. Herbert dit :

    Bjr chers lecteurs,

    je suis très heureurx de savoir que nous avons des gabonais qui se soucient du developpement intellectuel de nos étudiants et recherchent les élites. En effet, avec l’accord cadre de coopération de formation et de recherches scientifiques que viennent de signer l’Université Paris-Dauphine et l’Université Internationale de Libreville. Le gabon, dans son cadre de developpement du seteur de l’enseignement supérieur vient de franchir un pas important. Car cette coopération vient en appui aux universités publiques avec des programmes pluridisciplinaires. Aussi, elle permettra de renforcer les capacités intellectuelles de nos étudiants.
    A vous lire, j’ai le regret de constater que vous appartenez à la classe des individus qui ne comprennent rien à la vie. Et par consequent, ne veulent pas voir leur pays évoluer. Aujourd’hui il n’est pas question de tuer l’enseignement ou d’être assujetti à quelqu’un, mais plutôt de savoir ce que vous pouvez apporter à votre pays.
    Alors toutes mes félicitations aux signataires (Raynourd Arnaud Patrick et Alexandre BARRO CHAMBRIER) pour cette coopération gagnant-gagnant et que cette avancée soit un exemple pour tous.

  6. John EKOMO dit :

    Grace a Mme Mborantsouo et par le biais d la signature d l’accord cadre entre Paris dauphine et l’institution Berth et jean, désormais les étudiants d l’université internationale d Libreville pourrons bénéficier, a partir d la 3ème année, d’une formation en France et ceux d Paris dauphine pourront aussi venir faire des stages ici a Essassa. C sera une première dans le monde d l’éducation. Il faut reconnaître et encourager cette belle initiative d mme la présidente d la cour constitutionnelle ki a un esprit patriotique à travers l’institut Berth et jean ki va former les Gabonais. Mon cher Omengo, Mme Mbourantsouo n’est en rien la responsable des nombreuses grèves d l’UOB ki sont le résultat des manipulations des opposants au pouvoir en place. Quant à toi la fille d la veuve, retiens ke Barro Chambrier a contribué a la formation d plusieurs cadres d notre pays et c parceke il aime son pays k´il accepte d donner les cours a l’UOB malgré ses nombreuses occupations aussi bien sur le plan national qu’international. Donc arrêtez avc les critiques stériles et non objectives. quand c bon il faut avoir le courage d le reconnaître. C le Gabon ki gagne….

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