Calvo a débarqué une nouvelle cargaison de thon au nouveau terminal de pêche du New Owendo International Port (NOIP), le 10 septembre. Au-delà de la pêche et la commercialisation, le groupe espagnol a manifesté son intérêt pour accompagner le Gabon dans la transformation de cette ressource halieutique très prisée.

Le groupe Calvo veut aider le Gabon dans l’industrie thonière. © D.R.

 

Après un premier débarquement de thon en juillet, Calvo a récidivé avec une nouvelle cargaison. Spécialisé dans la pêche, la commercialisation et la transformation du thon, le groupe espagnol a à nouveau débarqué plusieurs tonnes de ce cette ressource halieutique au nouveau terminal de pêche du New Owendo International Port (NOIP), le 10 septembre.

Un partenariat que le ministre de la Pêche souhaite densifier au profit des populations et l’économie nationale. «Nous aurons plusieurs impacts avec l’arrivée de Calvo Pesca dans le secteur de la pêche Gabon. Nous aurons une contribution au Produit intérieur brut, la création d’emplois les bateaux, les quais et la distribution», a souligné Biendi Maganga Moussavou.

Le 25 juillet, ce sont 1000 tonnes de thon pêché au Gabon, qui ont été débarquées au NOIP. Cumulant 70 ans d’expérience, Calvo est engagé dans la gestion intégrée de l’ensemble de sa chaîne de valeur (de l’achat et de la capture des matières premières à la commercialisation, y compris la transformation dans ses propres usines). Une expérience que le groupe espagnol souhaite mettre au service du Gabon.

«Nous voulons mettre notre expérience de plus de 70 ans au service du Gabon. Nous disposons d’une flotte de huit thoniers congélateurs de grande capacité, avec la possibilité d’investir dans le domaine de la transformation», a indiqué le président de Calvo. «Nous allons également contribuer à la formation de la main-d’œuvre locale», a ajouté Mané Calvo.

En attendant l’horizon de la transformation, ces produits halieutiques sont destinés à couvrir une grande partie du marché local à moindre coût.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Grondin dit :

    Vas t’en satanas ! Tu nous prends pour des crève la faim, on ne veut pas de ton aumône de voleur des mers.

    L’Espagne à 80% des licences de thon au Gabon et c’est la seule raison qu’elle maintient une ambassade à Libreville.

    Vous nous avez déjà roulé avec Sifrigab donc,pour encore nous rouler (bien sur) passe ta route. Hijo de la gran P***

    Il faut aussi savoir que pour la pêche l’espagnol est pire qu’un chinois…. même dans l’Europe les bateaux espagnols sont interdits partout. Les espagnols sont les japonais européens. sans foi ni loi pour un poisson.

    Un pêcheur espagnol ça ramasse même les algues. Tu viens au Gabon car chez toi tu as vidé ta mer. Dégage.

    Vaya con dios c*brones.

  2. LeGambanais dit :

    «Nous aurons plusieurs impacts avec l’arrivée de Calvo Pesca dans le secteur de la pêche Gabon. Nous aurons une contribution au Produit intérieur brut, la création d’emplois les bateaux, les quais et la distribution»,

    Quel sera l’impacte réel dans le PNB? Nous avons un PNB à faire pâlir plusieurs pays mais nous avons encore en 2019 des populations qui n’arrivent pas à avoir l’eau courante, pourtant il pleut 9 mois sur 12.

    La création d’emploi, je suppose dans le secteur maritime. Mais la question que je me pose, avons nous une école tournée dans les métiers de la mer? Ou se font former les pilotes, les capitaines et autres corps de métiers? Surement la création d’emploi dans la main d’oeuvre moins qualifiée. Évider le poisson.

    Création de quais???? Nom de Dieu!!! Qu’elle sera cette pêche intensive qui permettra de créer des quais et ou?

    On ne peut qu’être critique face à une telle démagogie.

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