Pour ne pas tomber dans un piège comme celui du 15 août dernier, les partis de l’opposition gabonaise ont demandé une autorisation au ministère de l’Intérieur en vue de l’organisation d’un meeting, le 22 septembre, au carrefour Rio.  Le rassemblement a été approuvé, sans l’Union nationale, dissoute.
Gabonreview.com - Une vue du carrefour Rio lors d'un meeting du PDG en octobre 2011 - © Jean-Pierre Rougou
La sortie projetée de l’opposition gabonaise, après les assises de Mouila ayant abouti à la création de l’Union des forces du changement (UFC) et la conférence de presse de samedi dernier à la Chambre de commerce de Libreville, vise à expliquer à la population les préconisations de cette coalition, mais aussi à réaffirmer la nécessité d’une Conférence nationale souveraine dans le pays.
Alors qu’une rumeur faisait état du refus du ministère l’Intérieur pour la tenue du meeting annoncé, l’avenue de Cointet, siège du ministère dirigé par Jean François Ndongou, a rendu public sa décision d’autoriser la manifestation. Le texte, signé par le porte-parole de ce ministère, Jean-Eric Nziengui Mangala, rétabli les faits : «le 17 septembre dernier, par lettre, messieurs Louis Gaston Mayila et Jules Bourdes Ogouliguendé ont saisi le Ministre de l’Intérieur à cet effet, sans préciser quel est le groupe de l’opposition qui organise cette manifestation, l’opposition au Gabon étant plurielle». Le 18 septembre, par courrier, «le ministre de l’Intérieur leur a répondu en disant d’indiquer nommément les partis politiques qui organisent cette manifestation, histoire de responsabilités devant la loi.»
Le 19 septembre 2012, les requérants ont indiqué que la manifestation est organisée par partis de la Coalition des partis politiques pour l’alternance (CPPA) – C.D.J, P.G.P, Morena, Morena Unioniste, l’URDP – et ceux de l’Alliance pour la restauration et le changement (ACR) – U.P.G, UPNR, ANB, RNB, EPI, PDS et FPU.
En réponse de quoi, un autre communiqué du ministre de l’Intérieur invite à «préserver tout au long de cette manifestation, la flamme de l’esprit républicain» et met les organisateurs de ce meeting en garde : «les responsables de l’ex-Union nationale, parti politique dissout, ne doivent pas s’exprimer au cours de ce meeting […] Faute par les organisateurs de cette manifestation politique de se conformer aux présentes directives, ceux-ci s’exposeraient aux affres de la loi relative aux partis politiques.»
Gabonreview.com - Le dernier "meeting" de pierre Mamboundou carrefour Rio, le jour de ses obsèques - © D.R.Place mythique pour l’opposition et lieu d’excellence des grands rassemblements du défunt Pierre Mamboundou de l’Union du peuple gabonais (UPG), le carrefour Rio dans le 3e arrondissement de Libreville devrait certainement faire le plein ce samedi.

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Le citoyen libre dit :

    Le plus important c’est avoir l’autorisation d’organiser un meeting de l’opposition.

  2. Le Vrai Makaya dit :

    Si je comprend bien lorsque j’organise une manifestation je n’ai pas le droit d’inviter qui je veux. ça c’est ce qu’on appelle de la dictature. C’est du MACHIAVELISME. Et si cette opposition suit à la lettre les dires de NDONGOU, c’est pas la peine pour eux de déranger le peuple. Soit on est libre d’inviter qui on veut, quand on veut lorsqu’on a une manifestation, soit on est prisonnier.

    • Le citoyen libre dit :

      @ Le Vrai Makaya
      Le PDG n’aime pas ceux les quitent mais aimes ceux qui les rejoignent, mais c’est pas grave les membres de l’UN sont libres d’assister a une manifestation politique en tant que citoyen gabonais. Donc nous seront tous a ce meeting pour dire au PDG que le pouvoir est aux mains de l’opposition.

  3. Boukoubi Maixeent dit :

    Ndongou est désepérant. Voilà un « ministre » qui dit avoir dissout un parti et qui en parle… Depuis quand on parle de quelque chose de dissout. Que l’on sache quand une chose est dissoute, elle n’existe plus et on en parle plus…. Ndongou parle de l’ex-Union Nationale. On va lui demander quel est le nom actuel de ce qu’il nomme ex-Union Nationale ? Le nom actuel de l’ex-Zaïre c’est république démocratique du Congo. Quel est le nom de l’ex-Union Nationale ? Visiblement Ndongou a un problème de maîtrise du vocabulaire et de la langue française.
    Par aillaurs, jusqu’à preuve du contraire Zacharie Myboto, Paulette Missambo, Casimir Oyé Mba, Jean Ntoutoume Ngoua, Jeran-Pierre Rogou, Eyéghé Ndong, Gérard Ella Nguéma et Mba Obame sont des citoyens gabonais et on le droit de s’exprimer dans leur pays…. Au nom de quoi Ndongou peut-il décider que des citoyens ne peuvent plus s’exprimer dans leur pays ? Avec de tels soutiens, Ali Bongo doit s’inquiéter….

  4. Ayong dit :

    C’est l’UFC qu’ils veulent destabiliser !

  5. bbsa dit :

    je pense que les membres dirigeants et les militants de l’union nationale doivent desormain comprendre que le pouvoir au gabon est desormain dans leurs mains.En effet comment comprendre qu’un ministre de la république sortie d’un parti dit majoritaire au gabon puisse avoir peur d’un autre parti <> pendant que celui-ci ne dispose meme pas d’un élu.On dit souvent que quelque soit la durée de la nuit le soleil apparaitra joutours, celui-ci est entrain d’apparaitre dans notre pays;mes chers freres gabonais c’est desormain le moment de lutter, d’etre beaucoup plus déterminés aujourd’hui plus que hier et demain plus qu’aujourd’hui.j’ai un fils qui a 12 ans,je lui ai demandé ce qu’il fera apres ses études,il m’a répondu: papa je serai medecin et apres je serai président du gabon donc au ministre et à ses alliés sachez que je suis pret à mourir afin que mon fils attingne son objectif.a bon entendeur salut.

  6. L'Ambassadeur Kinguelé dit :

    Je pense que Ndongout mérite d’être interné au cabano de la démocratie. Comment quelqu’un peut être aussi ridicule. Il pense que celui qui donne le droit de parler a des individus,il se comporte finalement comme ce Rais d’Ali,qui devant les DIputés et les SInateurs,s’est comporté comme un chef de parti de gang du PDG,et voici ce roitelet de ndongout qui se comporte maintenant comme un ministre de parti politique et non de la republique. Et lorsqu’on va le traiter d’amateur,il ira encore pleurnicher a la GT-PDG. Comme depuis que l’on contribue aussi dans cette chaine publique,cet argent est écrit Bongo Cfa. Cher Ndongout,on arrête pas le vent du changement avec la main,et sache que tes petites intimidations ne marchent pas avec l’UN et l’UFC. Si la peur te ronge pour sortir de tel bêtise dans une chaine (RFI ) ce que tu as oublié finalement le mot DÉMOCRATIE que prône parait-il le Parti Démagogique du Gabon ( PDG). Mais,je te donne rendez vous ce samedi a Rio,n’oublie pas d’envoyer Vaseline Micheline Ogandaga alias Toki l’enfant malheureux.

  7. nkoumdoum dit :

    Au Gabon, la liberté d’expression et de parole est garantie par la Constitution de la République.
    Ndongou le sait-il au moins ?
    Je l’invite à la relire à chaque fois avant de prendre des décisions qui n’ont pas de sens.

  8. manondzo dit :

    C’est quoi votre problème? Le communiqué est clair: le meeting politique est autorisé, à cet effet les partis politiques reconnus sont libres de s’exprimer. Ceux dont le parti a été dissout peuvent être présents au meeting, mais n’ont pas le droit de prendre la parole, sauf s’ils ont intégré officiellement un des partis politiques reconnus. Ceci dit, il n’y a pas matière à discussion. Mais comme vous aimez discuter de tout et de rien….

    • Le Vrai Makaya dit :

      A manondzo,
      Vous êtes logique dans vos dires? Que signifie LIBERTE D’EXPRESSION? Lorsqu’il y a un meeting, c’est les organisateurs du rendez-vous qui désignent ou qui choisissent qui doit prendre la parole ou pas. C’est pas à un Ministre de le faire. Comme vous pensez que vous êtes dans une République bananière, ou le peuple doit vous suivre dans votre errance, dans votre chaos, il faudrait que tout ce que vous dites s’accomplissent à la règle et à la virgule près, alors vous mentez. Ce pays NOUS appartient TOUS et nous avons de droit et le devoir de revendiquer ce qui nous revient de droit: LA LIBRE EXPRESSION.

    • La Fille de la Veuve dit :

      @ Manondzo,
      Jusque-la tout allait bien. Comme des milliers de personnes vous lisiez quotidiennement http://www.gabonreview.com pour vous tenir informe de ce qui se passe au Gabon et dans le monde et aussi vous instruire des analyses des autres lecteurs.
      Vous avez lu ou que si vous ne vous exprimez pas vous ne pourrez plus avoir acces au site ? Pourquoi vous etes-vous senti oblige de prendre la « parole » aujourd’hui ?
      Jusque-la vous avez ete sage. Continuez ainsi et personne ne vous le repprochera. Pra contre si vous persistez a vouloir intervenir, assurez-vous de la pertinence de votre intervention.
      Toutes les opinions sont ici autorisees, la votre aussi.
      Mais les analyses et commentaires sont critiques, donc aprecies. Souvenez-vous en.

  9. Ella Engonga lionel dit :

    Quelle aberrantion de Ndongou.Comment peut on interdire à une partie des citoyens de s’exprimer librement au cour d’un meeting?Alors que la liberté d’expression est un droit constitutionnel et fondamental.Par ailleurs,aucun ministre ou président ne devrait soumettre l’exerceci des droits civiles et politiques à son autorisation.Car,dans un État de droits,les manifestations publiques se font librement,la seule règle de droit est l’information faite aux autorités compétentes dans le but de venir protéger l’exercice des libertés publiques.À partir de cet instant,Ndongou venez vous même ce samedi à Rio,pour empêcher à EYEGHE,MyBOTO,AMO… de jouir de leur droits civils et poliques

  10. Le citoyen libre dit :

    Je crois que le ministre de l’interieur est entrain de se preparer le depart d’ALI qu’il continue comme ca cela va bien agraver la crise au Gabon.

  11. nababy dit :

    pour une fois que l’opposition fait semblant de respecter les procedures normales d’organisation des meeting et que le Ministere de l’intérieur accepte! mes chers prédecesseurs ferues de la politique partisanne trouve souvent des mots pour exprimés leurs secheresses d’idées! la note est claire, Ndongou autorise le meeting mais n’interdit pas les membres de l’ex-UN d’etre présents juste de ne pas s’exprimé au nom de l’UN car etant dissout! s’il le précise ici c’est parceque les Membre de ‘UN n’on jamais accepté cette dissolution!! d’ailleurs en regardant les parti qui constitue l UFC UN n’existe pas! que MBA OBAME, MYBOTO, EYEGUE NDONG, MISSAMBO ETC…ne prenne pas en otage l’UFC comme il l’on fait pour l’UN! si l’UFC veut vivre n’associer pas ces « briscards »

    • Boukoubi Maixent dit :

      @Nababy. Mais qui vous a dit qu’un parti se dissout ? Vous avez la preuve que cette « dissolution » était une bêtise pure puisque vous continuez à en parler…. Un parti est une association d’individus. Si vous prononcez une diossolution comment faites-vous ensuite pour vous assurer que les individus concernés ne se voient plus, ne réflechissent plus ensemble et ne partagent plus les mêmes vuees ? Ne confondez rien cher ami…. Le récépissé de reconnaissance n’est pas l’acte de création. Ce récépissé est au parti politique ce que l’acte de naissance est à une personne physique. Si vous perdez ou qu’on vous arrache votre acte de naissance, est-ce pour autant que vous cessez d’exister ? On a bien l’exemple d’un célèbre compatriote qui n’a eu sa trascription d’acte de naissance qu’à 50 ans en 2009, non !!!! Est-ce à dire qu’il n’existait pas avant….. ? Vous n’êtes pas obligé de suivre Ndongou jusque dans la fange cher ami…..

    • Le citoyen libre dit :

      Je suis d’accord avec toi, mais ils peuvent prendrent parole au non de l’opposition, le plus important est de ne pas dans la limite nommer UN, mais nous c’est le contenu et non le contenant qui nous interresse.

    • Le Vrai Makaya dit :

      CONSTITUTION
      DE LA REPUBLIQUE GABONAISE: Loi N° 3/91 du 26 mars 1991,
      Modifiée par la loi N° 1/94 du 18 mars 1994,
      La loi N° 18/95 du 29 septembre 1995,
      La loi N° 1/97 du 22 avril 1997,
      La loi N°14/2000 du 11 octobre 2000,
      Et la loi N° 13/2003 du 19 août 2003. TITRE PRELIMINAIRE
      DES PRINCIPES ET DES DROITS FONDAMENTAUX :… 2°) La liberté de conscience, de pensée, d’opinion, d’expression, de communication, la libre pratique de la religion, sont garanties à tous, sous réserve du respect de l’ordre public ;

    • Le citoyen libre dit :

      @ nababy
      L’UN existe et existera tant que l’on aura pas remis le pouvoir au peuple. L’existance d’un parti ne se base pas uniquement sur le papier mais a la capacite d’adhesion d’un peuple, s’il y a un parti en voie de disparution c’est le PDG comme son fondateur.

  12. L'indigné dit :

    « je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire » disait Voltaire.Pauvre Ndongou et dire qu’il a des enfants!

  13. maixent bongo dit :

    «les responsables de l’ex-Union nationale, parti politique dissout, ne doivent pas s’exprimer au cours de ce meeting […] les organisateurs (…) s’exposeraient aux affres de la loi relative aux partis politiques.»
    NDONGOU essai de faire de l’intimidation. il sait très bien qu’au terme des disposition de la loi sur les partis politiques la dissolution d’un parti politique n’emporte pas interdiction de ses fondateurs ou dirrigeants à exercer des activités politiques tout comme elle n’est pas supensive de leurs droits politiques.
    c’est dire que les leaders de l’union nationale (ou ex c’est selon) ont pleinement le droit de s’exprimer samedi au meeting de l’UFC car ils ne tombent sous le coup d’aucune interdiction légale;
    Même dans le cas de MBA OBAME (puisqu’en réalité c’est lui qui est visé par le commiqué) qui est poursuivi pour trouble à l’ordre publique la loi lui reserve la présomption d’innoncence tant que l’affaire n’a pas encore été jugée et n’est donc au stade actuel de procédure judiciare coupable de rien.
    au surplus, la privation prolongée de ses droits à un citoyen ne peut se faire que sur une décision de justice.
    or, à ce jour aucune décision de justice faut-il le rappeler n’a été prononcé à l’encontre de MBA OBAME et encore moins de ses amis de l’UN(ou ex-UN).
    Considérant que le ministre de l’intérieur ne saurait méconnaître les dispositions légales en la matière,
    Il apparait alors que la’avertissement (la ménace?) du ministre de l’intérieur adréssée aux autres leaders de l’UFC est sinon un coup de bluff, sinon de la pure intimidation.
    en conséquence, les leaders de par lui incriminés ont tout à fait le droit non seulement de participer mais aussi de s’exprimer en prenant la parole au cours du meeting.
    aussi nous invitons tous les citoyens gabonais de se lever comme un seul homme particper massivement au grand meeting de l’UFC ce samedi au carrefour Rio

  14. La Fille de la Veuve dit :

    Jean Francois Ndongou dit :
    «les responsables de l’ex-Union nationale, parti politique dissout, ne doivent pas s’exprimer au cours de ce meeting […] Faute par les organisateurs de cette manifestation politique de se conformer aux présentes directives, ceux-ci s’exposeraient aux affres de la loi relative aux partis politiques.»
    D’abord il reconnait donc l’existence actuelle de responsables de l’Ex-Union Nationale. Ce qui veut dire que le Parti dissous Union Nationale s’appelle desormais Ex-Union Nationale et le Ministre de l’Interieur reconnais l’existence de ses responsables.
    Ensuit il menace les Partis politiques de l’UFC des affres de la loi relatives aux Partis politiques. C’est le meme raisonnement qui a conduit Ndongou a prononcer la dissolution de l’Union Nationale par Arrete ministeriel. Donc si les « Responsables de l’Ex-Union Nationale » venaient a s’exprimer au meeting du 22 septembre 2012 a Rio, Jean Francois Ndongou menace de dissolution les partis politiques membres de l’UFC.
    A cela je dis CHICHE a Jean-Francois Ndongou. Qu’il le fasse et nous saurons comme disent les Ivoiriens qu’il est « Garcon ». Parce que demain a Rio, Zacharie Myboto, President de l’Union Nationale prendra la parole.

    • Le citoyen libre dit :

      Que Ndongou essait de de nous faire le coup de l’UN est nous saurons comment lui repondre cette fois-ci.
      S’il veut interdire la prise de parole a les citoyens qui ne sont plus au PDG qu’il les enferme c’est tout aulieu de jouer au ministre de l’interieur de son PDG.

  15. Michelle dit :

    Pourquoi pas une Loi sur « le casier Judiciaire Politique » qui autorise à un citoyen de Prendre la parole dans un rassemblement Public autorisé ou non?
    C’est ce qui reste à faire pour M. Ndongou ;
    Vous êtes le Ministre de l’Intérieur le plus partisan et le plus répressif que le Gabon n’est jamais eu franchement !!
    Dans un Etat libre et Démocratique, un Citoyen Libre détenteur de droits civiques et politiques est libres d »être invité à tout rassemblement même s’il fait partie d’un partie politique Dissout.
    C’est Pourquoi votre révision du code électoral a interdit aux membres d’un parti politique Dissout d’être d’adhérer comme Responsable dans un autre parti, ça s’appelle l’Apartheid simplement !!

  16. Augustine mazoka dit :

    Apres lecture de toutes ces interventions,une question me vient a l’esprit: l’opposition gabonaise peut elle survivre sans l’Union Nationale?

  17. demain un jour nouveau dit :

    Pathetique…le pouvoir est aux abois…et maintenant on accepte l’idee d’un dialogue national sous la houlette du Conseil National de la Democratie… C’est tristement honteux pour notre pays tous ces errements, voir un ministre qui ne connaît même pas la Constitution de son pays, il n’a pas de conseiller juridique??? Ou tous sont devenus fous? C’est vous qui detenez tous les pouvoirs et un parti « dissout » vous fait trembler.. Chapeau bas Mr Mba Obame…franchement même sans ouvrir la bouche vous faites trembler tout ces amateurs…

  18. Mba Obame dit :

    Merci « demain un jour nouveau »,continue a me soutenir.

  19. demain un jour nouveau dit :

    Mr Mba Obame (si il s’agit bien ici de la meme personnalité dont je fais etat dans mon intervention), nonobstant le combat pour la democratie que vous menez par vos moyens et vos strategies, je ne suis qu’un simple observateur de la vie politique gabonaise qui n’est affilie a aucun parti politique. Je constate simplement les errances du systeme en place et espere que votre lutte apportera au peuple gabonais un peu plus de democratie, de bonne gouvernance et de liberte..

    • Boukoubi Maixent dit :

      @Demain un jour nouveau. Ne vous faites pas plus naïf que vous ne l’etes cher ami. croyez-vous vraiement que ce post vient de André Mba Obame ? Ce post vient forcément de quelqu’un qui s’amuse à prendre cette identité…

  20. demain un jour nouveau dit :

    @maixent boukoubi: ayant pris toutes les mesures de precautions en m adressant au soit disant mr Mba obame. Je constate que comme bon nombre d’intervenant sur ce blog votre aversion a l’insulte et aux mepris est identique a ceux de nos gouvernants..je vous souhaite un bon dimanche a vous et a votre famille…

    • Boukoubi Maixent dit :

      àemain un jour nouveau. Mais, je ne vous ai pas insulté cher ami….. Vous n »‘arriverez pas à me faire croire que votre maîtrise du français, des figures de style et de l’humour est comparable à celle de Ndongou et Nziengui Mangala…. Merci

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