Les étudiants de l’Université Omar Bongo frappés par la limite d’âge de 27 ans, s’estimant lèsés après la publication par l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG), de la liste des 1 000 noms retenus sur les 1941 dossiers examinés, ont choisi d’empêcher la reprise des cours au sein de cette institution en mettant le feu à l’entrée du portail principal pour mieux manifester leur mécontentement.
Le processus d’enregistrement des candidatures pour l’élection des membres du futur Conseil économique social pour le mandat 2012-2017 a débuté le 14 mai dernier du côté de la primature conformément au calendrier communiqué par le Premier ministre, Raymond Ndong Sima le 7 mai dernier.
Pourtant lancés en grande pompe, dans le cadre des projets du cinquantenaire de l’indépendance du Gabon, mais aussi en prélude à la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football, les travaux devant viabiliser et embellir le rond-point de Nzeng-Ayong, dans le 6e arrondissement de Libreville, ont carrément été abandonnés, au grand dam de la population de ce quartier qui manque de manière criarde des lieux de villégiature.
Après le succès enregistré par la première édition qui va permettre à deux jeunes Gabonais d’aller en stage à Manchester United, Airtel a lancé, le 14 mai 2012, la deuxième édition d’Airtel jeunes talents, une initiative pour détecter des prodiges du football.
Face au retour au calme au sein de l’Université Omar Bongo (UOB), le Syndicat national des enseignants et chercheurs (SNEC-UOB) a décidé de reprendre les cours le 14 mai prochain, après les avoir suspendu pendant deux semaines.
Le personnel de la Société industrielle et frigorifique du Gabon (Sifrigab) est entré en grève, depuis le jeudi 10 mai dernier, pour réclamer le paiement du salaire du mois d’avril et de meilleures conditions de travail.
Au regard de la précarité dans laquelle ils vivent, 45 agents de la société Gabon fret sont entrés en grève de la faim illimitée depuis le 8 mai dernier au siège du ministère de l’Économie et du Budget pour réclamer le payement de 17 mois d’arriérés de salaires et la régularisation du plan social négocié avec les autorités.
Après un bon moment de silence, l’association de lutte contre les crimes rituels (ALCR) et les ONG partenaires ont décidé de s’inviter dans l’actualité nationale qui fait état d’une montée vertigineuse des crimes rituels au Gabon.
Les responsables de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) ont relevé, ce mercredi 9 mai à Libreville, que des assurés percevraient, en même temps, des cotisations dans cette institution et à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).
Au regard de la recrudescence des crimes rituels au Gabon et après la montée au créneau du président Ali Bongo Ondimba, la commission « Justice et Paix » de l’archidiocèse de Libreville, se lève pour refuser cette pratique.