La nomination d’Alexandre Désiré Tapoyo à la présidence du conseil d’administration de Clean Africa a été accueillie avec enthousiasme lors de la cérémonie de passation de charges. Entouré de représentants du gouvernement et des collectivités locales, le nouveau PCA a prononcé un discours résolument tourné vers l’action et l’innovation.

Alexandre Désiré Tapoyo installé dans ses fonctions de PCS de Clean Africa. © D.R.

 

Nommé en Conseil des ministres le 22 janvier dernier, le nouveau président du conseil d’administration (PCA) de la société Clean Africa, Alexandre Désiré Tapoyo, qui succède à David Mboussou à ce poste, a pris ses fonctions le jeudi 25 janvier 2024, en présence de nombreuses personnalités. Cette passation de pouvoirs présidée par le représentant du ministre de l’Intérieur a été l’occasion pour le promu de présenter sa vision ambitieuse pour l’avenir de cette entreprise qu’il souhaite voir devenir un outil performant dans la restauration des villes de la capitale gabonaise, en la transformant en outil de production et de développement durable.

Dans son discours, Alexandre Désiré Tapoyo a exprimé sa gratitude pour cette nomination inattendue et a souligné son engagement envers la transformation de Clean Africa en acteur clé du développement durable des villes gabonaises. Il a insisté sur l’importance de changer les mentalités et de promouvoir une culture de responsabilité et d’innovation au sein de cette entreprise. «Clean Africa est plus que jamais, appelée à prendre toute sa part dans cette bataille difficile de la restauration du Gabon et de ses villes », a-t-il souligné.

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«Pour y parvenir, il me paraît urgent de nous consacrer à la restauration de la toute première institution dont dépend à mes yeux la mise à jour pérenne des autres, à savoir nos mentalités. Car quels que soient les changements structurels que nous pourrions apporter, si le citoyen conserve les mêmes habitudes nocives, au rang desquelles l’incivisme, l’amour des raccourcis permanents et médiocres, et bien d’autres, notre combat commun de la restauration, pour un développement harmonieux et durable de nos villes, est voué à l’échec», ajouté le nouveau PCA qui a également appelé à une approche collaborative.

Celle-ci implique l’ensemble des membres du conseil, les collectivités locales partenaires et les autorités ministérielles, pour élaborer un plan de redynamisation ambitieux. «Nous avons tous ici les capacités de faire différemment et mieux. Pour cela, nous devrons œuvrer en équipe, nantis de la volonté sacrificielle et permanente nécessaire, dans la discipline, pour la réussite de ce challenge», a rappelé Alexandre Désiré Tapoyo. Cette passation de charges marque le début d’une nouvelle ère pour Clean Africa, avec à sa tête un manager résolument tourné vers l’avenir et déterminé à faire de cette structure un moteur pour le développement durable des villes gabonaises.

 
GR
 

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