Dette intérieure : Les entreprises aux créances inférieures à 70 millions de FCFA à la caisse
Plusieurs créanciers de l’Etat vont passer à la caisse dès le 15 octobre, dans le cadre du règlement de la dette intérieure. Il s’agit précisément des entreprises dont les créances sont inférieures à 70 millions de francs CFA, et ayant été validées par la Task Force sur le règlement de la dette intérieure.
Après plusieurs mois d’attente, plusieurs créanciers de l’Etat vont retrouver le sourire. Dans le cadre du règlement de la dette intérieure, en effet, certaines entreprises vont passer à la caisse à partir du 15 octobre. Telle est l’annonce faite par le ministère du Budget dans L’Union du 12 octobre.
«Le ministère du Budget informe les entreprises dont les créances sont inférieures à 70 millions de francs CFA qui ont été validées (par les conclusions des travaux de la Task Force sur le règlement de la dette intérieure, ndlr), que le Trésor public procèdera au paiement des sommes dues à partir du 15 octobre 2020», a annoncé l’administration dirigée par Sosthène Ossoungou Ndibangoye.
A cet effet, les entreprises concernées ont été orientées vers le site Internet de la direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor (tresorpulic.ga), «pour toute information complémentaire». Visiblement, le gouvernement poursuit inlassablement ses efforts entamés depuis le début de l’année, visant à apurer la dette intérieure. Au terme des six premiers mois de 2020, en effet, l’Etat gabonais a procédé au règlement cumulé de la dette à hauteur de 832,3 milliards de francs CFA.
2 Commentaires
Bonjour,
Ce qu’il faut c’est que lorsqu’on fait de pareilles annonces. Ilfaut respecter les chefs d’entreprises qui ont bien effectuer leurs contrats. Il faut aller sur le terrain avec des vérificateurs non corrompus. Car autrement, c’est usant d’être assis dans des bureaux et prétexter toujours autres choses pour ne pas payer les gens . L’économie ne peut pas marcher de cette façon. C’est impossible. Il faut appliquer et respecter les règles dans chaque camp.
Et à quand les créanciers de PosteBank?