La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) et l’Ecole polytechnique de Masuku (EP-USTM) ont signé, le 1er juillet dernier, une convention de collaboration aux termes de laquelle les licences et masters professionnels seront hébergés au Centre des métiers Jean Violas d’Owendo.

Échange de parafeurs, après la signature de la convention, entre Jean Paul Camus (SEEG) et Gaston N’Tchayi Mbourou (Ecole polytechnique de Masuku). © Gabonreview

Échange de parafeurs, après la signature de la convention, entre Jean Paul Camus (SEEG) et Gaston N’Tchayi Mbourou (Ecole polytechnique de Masuku). © Gabonreview

 

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) va mettre une partie des locaux de son centre des métiers à la disposition de l’Ecole polytechnique de Masuku.  À cet effet, une convention a été signée, le 1er juillet dernier. «Depuis fort longtemps, nous avons toujours espéré que notre occupation de ces locaux devait revêtir un caractère formalisé. Il faut dire que depuis quelque temps, sous la férule du gouvernement, nous essayons de travailler avec des partenaires, notamment les industriels de manière à ce que nous puissions renforcer notre performance, étant entendu que notre métier est de former des hommes indispensables au secteur de la production et du transport de l’eau et de l’électricité», a déclaré Gaston N’tchayi Mbourou, le directeur général de l’EP-USTM.

Selon les termes de ce partenariat, l’EP-USTM s’engage, en contrepartie, à accueillir et former gracieusement deux agents de la SEEG jusqu’à l’obtention du diplôme de master II. «C’est important pour nous d’avoir l’Ecole polytechnique de Masuku comme partenaire, où nous pouvons avoir chez nous des stagiaires ou des étudiants qui se côtoient, qui partagent des choses. On renforce ici le lien entre le public et le privé pour une formation qui soit la plus efficiente possible. J’espère que cette collaboration durera très longtemps», a souligné le directeur général de la SEEG, Jean Paul Camus.

En s’affirmant comme un lieu d’apprentissage permanent et en favorisant les échanges avec le système éducatif dont elle est un complément, la SEEG répond également à son propre besoin de main-d’œuvre qualifiée tout en multipliant les facultés de créativité nécessaires à son évolution.

 

 
GR
 

3 Commentaires

  1. NGOMA dit :

    Pourquoi énoncer lourdement,difficilement ce qui est simple,Mr Gaston N’tchayi Mbourou?

    Voulez vous dire, l’EPM se met à la disposition des besoins en formation de la SEEG?
    Le simple n’est pas pauvre!!!!

  2. Pharel MEZUI dit :

    C’est déjà une excellente chose cette formalisation

  3. Mayimba dit :

    Dans le CDM il y a un département de l EPM, je cite ici DIES, des étudiants près à être sur le terrain et servir leur État. Alors pourquoi ne pa mettre l’accent sur ces étudiants. Moi je pense que la SEEG doit prendre des engagement sur eux, si, ils sont vraiment à la recherche des techniciens.
    Merci.!!

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