Le président de la République a reçu en audience, le 7 septembre à Libreville, la cheffe du gouvernement qu’accompagnait la ministre de la Justice. A cette occasion, Ali Bongo a donné des instructions fermes pour que les missions de la Garde des sceaux, en tête desquelles la bonne marche du fonctionnement des tribunaux et une meilleure gestion de la sécurité pénitentiaire, soient remplies d’ici à la fin de l’année.

Instantané de l’audience de Rose Christiane Ossouka Raponda et Erlyne Antonela Ndembet-Damas à la présidence de la République, le 7 septembre 2021 à Libreville. © Capture d’écran I Gabonreview

 

La réalisation des missions du ministère de la Justice était au centre de l’audience accordée par Ali Bongo à la Première ministre, le 7 septembre à Libreville. Le président de la République a donné des instructions fermes à Rose Christiane Ossouka Raponda, qu’accompagnait le ministre de la Justice, pour remplir ces charges avant la fin de l’année.

En effet, Erlyne Antonela Ndembet-Damas a la lourde mission d’œuvrer à la bonne marche du fonctionnement des tribunaux ; mieux gérer la sécurité pénitentiaire et soigner la situation des droits de l’Homme au Gabon. «Nous avons été effectivement reçues par le chef de l’État. J’étais accompagnée du ministre de la Justice. Il était important pour nous de faire un bilan d’étape de toutes les missions qui ont été assignées au ministère de la Justice», a déclaré la cheffe du gouvernement sur Gabon 1re.

«Nous avons reçu des instructions fermes du chef de l’État afin que toutes ces missions soient remplies avant la fin de l’année. Parce qu’il y a un bilan d’étape qui concerne tous les départements ministériels. Nous sommes en train de mettre en œuvre le Plan d’accélération de la transformation (PAT), et le ministère de la Justice n’est pas en reste», a ajouté Christiane Ossouka Raponda. Le gouvernement pourra-t-il œuvrer à la bonne marche du fonctionnement des tribunaux, mieux gérer la sécurité pénitentiaire et améliorer la situation des droits de l’Homme au Gabon, d’ici à la fin de l’année ? On le saura au prochain bilan d’étape avec Ali Bongo.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Julien dit :

    Un président qui a éloigné ses proches (famille) ? Non, ce n’est pas Ali Bongo. Ali Bongo ne se serait jamais séparé de son si cher garde de corps coréen. Ali Bongo n’aurait jamais mis à la porte Frédéric Bongo ou Pascaline Bongo. Ali Bongo n’aurait jamais éloigné de lui sa mère, fut-elle adoptive…

    NON et NON. Cet homme là n’est et ne sera jamais Ali Bongo qui est bien décédé à Riyad en octobre 2018. Ouvrez les yeux, peuple Gabonais.

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