Le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), Éric Dodo Bounguendza a procédé, le 1er août à Akanda, au lancement des travaux d’élaboration du Plan de développement local (PDL) du département de Bayi Brikolo et de la commune d’Aboumi, dans la province du Haut-Ogooué.

Le secrétaire général du PDG, Éric Dodo Bounguendza procédant au lancement des travaux d’élaboration du Plan de développement local (PDL) du département de Bayi Brikolo. © Gabonreview

 

Les fils et filles du département de la Bayi Brikolo et de la commune d’Aboumi dans la province du Haut-Ogooué, se sont réunis le week-end dernier dans la commune d’Akanda, pour proposer un nouveau modèle de gestion de cette localité.

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Porté par le membre du bureau politique de cette localité, Jean Bosco Ndjounga, par ailleurs élu national et les cadres militants du parti au pouvoir de ce département, ce projet vise un objectif précis : doter le département de la Bayi Brikolo d’un outil formel et cohérent de programmation du développement afin de mobiliser davantage de partenaires pour le financement des projets prioritaires au profil des populations.

«C’est un avenir, il faut le finaliser. Nous obtiendrons des résultats pragmatiques et réalisables» a déclaré le secrétaire général du PDG, Éric Dodo Bounguendza, à l’ouverture des travaux, assurant sa disponibilité à accompagner les populations du département de Bayi Brikolo dans la réalisation de ce projet qui cadrerait avec les ambitions de développement impulsées par le président de la République, Ali Bongo Ondimba.

Selon ses initiateurs, ce projet repose sur une approche intersectorielle, proposant une intervention directe à la fois, dans la gouvernance locale, le développement de la dynamique communautaire et la promotion des activités de développement intégré, à l’instar de la formation, la santé, la sécurité, l’éducation, l’agriculture. Pour sa mise en conformité, le comité de pilotage s’appuiera sur l’expertise du programme ART-Gold Gabon.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Serge Makaya dit :

    Comme certains ont l’habitude de le faire désormais, moi aussi je profite de toute occasion pour rappeler au gabonais que Mr Ali Bongo est décédé à Riyad en octobre 2018.

    Nous sommes en mi-2020 déjà. 2023 approche à grand pas. Le peuple gabonais ne se rend toujours pas COMPTE qu’il lui sera encore imposé un Bongo (Valentin plus précisément). A moins que ce soit un Sassou (Junior).

    Question: le Gabon est il un royaume ? Ou devient-on président de père en fils ? Les deux fils Bongo qui projettent se présenter pour une élection truquée d’avance en 2023, n’ont-ils pas une stratégie commune qui fera PASSER l’un des deux et au final ce sera encore et toujours un Bongo à la tête du Gabon ?

    Que nous cache la France et le Maroc en ce qui concerne réellement l’avenir politique du pays ? Quelle magouille se trame actuellement ? Pourquoi les frères et sœurs d’Ali Bongo sont silencieux à ce point, sachant pourtant que ce dernier est bien MORT ? Pourquoi veut-on ENCORE nous imposer la même famille à la tête du pays ? TOTAL nous cache quoi de ses liens avec cette famille Bongo au point de remettre à cette famille 18% des recettes pétrolières du Gabon ? Bref, pour conclure, c’est QUOI le délire avec ces Bongo-Valentin ?

    • Serge Makaya dit :

      Au sujet des 18% des recettes pétrolières versées à la famille Bongo, est-ce en tant que chef d’État ? Si c’est le cas, pourquoi la famille de feu Léon Mba, premier président du Gabon, n’a pas eu les mêmes avantages ? Que TOTAL vienne éclairer ka lanterne des gabonais SVP.

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