Le ministre des Infrastructures, des Travaux publics et de l’Aménagement a effectué, le 16 juillet dernier, une visite d’inspection et d’évaluation des chantiers de réhabilitation des voiries de la province de l’Estuaire.

Jean-Pierre Oyiba, le 16 juillet 2016, sur ses chantiers. © Gabonreview

Jean-Pierre Oyiba, le 16 juillet 2016, sur ses chantiers. © Gabonreview

 

Quelques étapes de la visite d’inspection du ministre des Infrastructures, le 16 juillet 2016. © Gabonreview

Quelques étapes de la visite d’inspection du ministre des Infrastructures, le 16 juillet 2016. © Gabonreview

Le ministre des Infrastructures, des Travaux publics et de l’Aménagement du territoire a mis à profit sa journée du 16 juillet dernier pour l’évaluation des infrastructures en cours de construction et de réhabilitation dans plusieurs villes de l’Estuaire. Tour à tour, Jean Pierre Oyiba s’est rendu à Ntoum-Donguila ; Ntoum-Cocobeach ; Kougouleu Meba, PK5-PK12 et à Plein-ciel.

«Cette visite a consisté à s’assurer que les chantiers qui étaient arrêtés et qui ont été relancés suivent leur cours normalement. Les chantiers qui viennent d’être lancés et qui ont fait l’objet des travaux consistant à la réhabilitation et la construction des voies sur l’ensemble du territoire connaissent un début effectif et suivent leur cours normal », a-t-il indiqué.

Mécontent de certaines incohérences, Jean Pierre Oyiba a précisé aux entreprises adjudicataires que les «faux-fuyants» et les justificatifs liés à l’environnement doivent être bannis. «Nous avons noté, avec beaucoup d’insatisfaction, le tronçon Ntoum-Kougouleu confié à l’entreprise Socoba. Sur ce linéaire, il existe encore de sérieux problèmes qui constituent pour moi des points noirs parce que la circulation sur ce linéaire n’est pas fluide. J’ai donné instructions à Socoba pour que tout le linéaire soit praticable en toute saison et que les nid-de-poule soient traités», a-t-il confié.

Le ministre des Infrastructures, des Travaux publics et de l’Aménagement du territoire s’est élevé contre l’incivisme des populations, les garages anarchiques, l’obstruction des caniveaux… A ces obstacles, s’ajoutent l’augmentation considérable des habitants, l’absence d’urbanisation et l’installation anarchique des populations. «Nous faisons le nécessaire. Nous faisons tout ce qui est de notre compétence pour que la circulation des populations soit améliorée. C’est un vaste programme que nous avons lancé. Il nous incombe de nous assurer de la qualité des travaux effectués, ainsi que du respect du cahier de charges. Tout cela dans l’optique d’accélérer la cadence », a-t-il assuré.

 

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire