L’Organisation non gouvernementale Sambas-Labs organise, du 5 au 10 juillet 2021, la septième édition des rencontres professionnelles dénommées «Samba professionnels». Baptisées : «Hommage à Pape Diouf et Manu Dibango», ce challenge se déroulera en présentiel et en ligne.

Les membres du laboratoire Samba Labs. © SambaLabs

 

Au terme d’une année de break due à la première vague de la crise sanitaire du Covid-19, les membres de l’organisation non gouvernementale Sambas-Labs se sont lancés dans les préparatifs du tout prochain cru des «Samba professionnels». En hommage à deux de leurs parrains décédés, cette septième édition dite de l’espoir offrira, du 5 au 10 juillet prochain, neuf ateliers en présentiel et en ligne.

«Malgré les restrictions et les difficultés liées à la Covid-19, nous voulons donner la possibilité aux jeunes d’apprendre autre chose et croire qu’avec cette maladie, il est possible de continuer à vivre», a souligné la promotrice de l’événement, Josiane Maténé De Longueur, assurant que la pose observée l’an dernier a permis à la structure organisatrice de réfléchir sur une réadaptation par rapport à la situation sanitaire actuelle, et à trouver des thèmes d’ateliers intéressants et accrocheurs pour la jeunesse.

Cette tribune d’échange et de partage d’expériences offrira à ses participants l’opportunité de se familiariser avec les thématiques de la responsabilité sociétale des entreprises, levier de performance des entreprises ; le développement web/mobile et marketing digital ; l’entrepreneuriat à travers le développement d’«une source de revenus avec les crypto monnaies ou un business en ligne» ; le journalisme et la communication.

Les participants pourront également découvrir le monde de la culture et les enjeux du développement ; les métiers du sport (agent et organisation de compétions) ; le cinéma (jeu d’acteur), le développement personnel à travers le thème «découvre la source de ta vision pour briller» ; et le Pacte vert (culture écotourisme et diversification de l’économie). «Nous espérons qu’avec cette édition, certains participants pourront apprendre comment se reconvertir, apprendre d’autres métiers», a conclu Josiane Maténé De Longueur.

 
GR
 

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