Le Parti démocratique gabonais vient d’enregistrer une once de sang neuf dans la capitale économique gabonaise, avec l’adhésion de quatre nouveaux membres, anciens leaders des partis politiques de l’opposition, de la majorité et de la société civile.

Donald Indingui, porte-parole des nouveaux PDGistes. © Gabonreview

A Port-Gentil, le Parti démocratique gabonais vient d’enregistrer de nouvelles adhésions, le 7 novembre 2020. Quelques cadres du Centre des libéraux réformateurs (CLR), de l’Alliance démocratique et républicaine (Adere) et du Front d’égalité républicaine (Fer), ont décidé de rejoindre les rangs du parti au pouvoir.

Vue des militants du PDG présents à la cérémonie. Et, (au centre en bas) le membre du Comité permanent et les cadres du PDG à Port-Gentil. © Gabonreview

Ces nouveaux militants accueillis dans la ferveur militante au siège du PDG dans le premier arrondissement, par le membre du comité permanent du bureau politique, Pascal Houangni Ambouroue, qui, sous les instructions d’Eric Dodo Bouguendza, secrétaire général du parti, a rendu possible cette démarche. Il s’agit de Donald Urbain Indingui, leader de la société civile, Emile Moussimbaloba, ancien conseiller municipal du CLR, Guy-Roger Bouassa, ancien président communal de l’Adere, et René Moundziegou, ancien responsable provincial du Fer.

Dans leur déclaration d’adhésion lue par Donald Urbain Indingui, leur porte-parole, en présence des cadres et militants du PDG, ces nouveaux membres ont dit être «convaincus de la politique sociale menée au sommet de l’Etat par le président de la République».  «Nous venons ici au PDG pour intégrer la prospérité partagée, socle du programme politique de l’égalité des chances cher au président de la République».

A ce qui semble, les nombreux efforts consentis par le président de la République pour le développement de la province de l’Ogooué-Maritime, d’une part, et les actions sociales, menées au nom du président de la république par Pascal Houangni Ambouroue au profit des gabonais économiquement faibles, d’autre part, auraient motivés ces adhésions.

Il s’agit, entre autres, à en croire Donald Urbain Indingui, de «la construction de la route Port-Gentil- Omboué, de la construction de l’aéroport international de la capitale économique, de l’installation des panneaux solaires dans les quatre arrondissements de la commune, de la construction du marché de l’égalité des chances.» Loin «des critiques et beaux discours», les nouveaux pédégistes assurent d’être résolus «à accompagner avec force et ténacité, la démarche de l’économie sociale et solidaire comme modèle économique en vue de mieux préparer l’échéance capitale de 2023».

Pour l’élu du premier siège de Port-Gentil, «c’est un moment plein d’espoir pour les pédégistes de conviction. C’est la preuve que le PDG est vraiment un parti de masse».

 

 
GR
 

6 Commentaires

  1. Gayo dit :

    Quand est-ce que les journaux gabonais seront au service de l’instruction des gabonais et non de leur asservissement à une politique de larbin. Parlez nous aussi de nos techniciens , de nos ingenieurs, de nos chercheurs, de nos centres technologiques, de nos entrepreneurs, de nos entreprises, de leurs échecs et difficultés, des initiatives innovants pour transformer notre economies, cela susciter des vocations beaucoup plus utiles au lieu de faire la promotion de bras cassés qui n’ont leur militantisme politique, leur larbinisme opportuniste et improductif. Nous aimerions aussi voir ce qu’il y’a d’initiative et competences pointues dans ce pays et non pas seulement de la politiques de mediocre personnage qui n’ont pas d’autres issus pour être utiles que de faire une politique qui n’a d’idéologie et de conviction que leurs ventres affamés.

  2. Abdallah dit :

    Il est sur et certain que l’auteur de ce fameux article a eu son sandwich, 5000 et un tee-shirt. Vive le journalisme gabonais

  3. guy papé dit :

    partie de makak oui pour envouté le peuple qui vous suis pitié de vous bande de sanguinaire comme vous vous passé votre temps achété les gabonais sancible en moyenent un morceaux de pains et un billet de 5mille l’enfer vous enttent

  4. Paul.Y dit :

    Ils ont faim. Le ventre bouillonne. Cest juste la quête aux postes et argent.

  5. Monmotàdire dit :

    Vive la mendicité, sans DIGNITÉ ! Pauvre GABON, ce n’est pas le début de l’histoire qui compte, mais sa FIN! Aucune valeur ajoutée, aux réalités de la paupérisation accentuée, et misère sociale présente dans notre pays. Des papas !

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