Les conclusions des travaux de la commission mise en place dans le cadre de la protection de la marque collective « pierre de Mbigou » sont désormais sur la table du ministre de l’Artisanat.

Le gouvernement veut protéger la marque collective «pierre de Mbigou». © D.R.

 

Le ministre de l’Artisanat, Hugues Mbadinga Madiya a réceptionné le 29 mars, les conclusions des travaux de la commission mise en place dans le cadre de la protection de la marque collective «Pierre de Mbigou», mais également de la protection de la propriété intellectuelle des actifs immatériels de la Coopérative des produits artisanaux de Mbigou (Coopam).

En effet, cette initiative vise à travers des réflexions communes (État acteurs du secteur artisanal) à trouver des pistes de solutions afin d’améliorer le modèle économique de la coopérative des artisans de la pierre de Mbigou. Mais aussi, de parvenir à offrir une protection à la marque collective et matière première «Pierre de Mbigou» auprès de l’organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI).

La pierre de Mbigou est extraite dans la ville de Mbigou, au Gabon, à environ 800 kilomètres de Libreville et à 61 km de Mimongo, sise à 800 mètres d’altitude. Cette pierre à la tonalité grise à reflets verts ou grenat est travaillée de différentes façons, elle est mise en valeur dans des réalisations très diverses qui vont de la décoration murale, du mobilier à l’objet décoratif, telles que statuettes, figurines et autres.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Dzifa NUGLOZE dit :

    les objets de MBIGOU ne doivent pas être que décoratifs. Ces objets doivent etre aussi fonctionnels.

    Les artisans doivent travailler avec les techniciens pour rendre les objets fonctionnels.
    – des lampes de chevets.
    – Des ventilo.
    – des tasses
    – des tables….

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