Olam Palm a offert, le 27 septembre, un important don de matériel agricole à cinq coopératives du village Rembo 1, dans le département de Tsamba-Magotsi (Ngounié). Cette dotation permettra notamment aux bénéficiaires de développer des Activités génératrices de revenus (AGR).

Olam Palm souhaite développer les AGR dans le département de Tsamba-Magotsi. © D.R.

 

Encore un joli geste d’Olam Palm Gabon. Dans le cadre de sa politique sociétale, l’industriel a offert un important don de matériel agricole aux communautés du village Rembo 1, le 27 septembre dernier, dans le département de Tsamba-Magotsi (Ngounié). Composé de brouettes, machettes, limes, houes, bêches et pèles, le don a été réceptionné par cinq coopératives agricoles (Dimangue, Diranda, Dilanda, Moukoutsi, Yatsimbe). Celles-ci ont également reçu des enveloppes, en guise de soutien pour la mise en place des Activités génératrices de revenus (AGR).

«L’un des piliers que nous avons identifiés dans le cadre de nos activités et de nos interventions avec les communautés locales, c’est effectivement celui de l’accompagnement dans la mise en place des AGR. Cela afin de promouvoir au niveau des communautés un développement inclusif porté par elles-mêmes» , a déclaré la cheffe du département Développement durable du lot 1 à Olam Palm. «Car, les relations entre Olam et les communautés sont régies par le contrat social que nous avons signé lors de la mise en place de la plantation. Dans ce contrat social, les populations ont fait un certain nombre de doléances. Nous avons travaillé pour la réalisation de ces doléances. Aujourd’hui s’agissant du village Rembo, toutes les doléances ont été réalisées par Olam», a ajouté Tatiana Prudence Eboua.

Selon elle, cette action n’est pas inscrite à la base dans le contrat social signé par Olam Palm. Elle découle plutôt de l’évolution des besoins des communautés. «Notre objectif, c’est effectivement de capturer aussi ces nouveaux besoins et de voir comment on pourra y répondre. Mais, cela ne fait pas partie des doléances qui ont été faites en 2012 lors de la mise en place de la plantation. Ce sont de nouvelles doléances qui naissent nécessairement avec de nouvelles dynamiques, des nouvelles populations. C’est normal ! Nous avons capturé cela et nous allons discuter avec elles pour voir comment réaliser ça», a conclu Tatiana Prudence Eboua.

 
GR
 

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