Le président du parti Ensemble pour la République (EPR) a réagi, le 3 octobre, à la recrudescence des cas de violences en milieu scolaire. Dieudonné Minlama a notamment invité les autorités à prendre les mesures adéquates pour tordre définitivement le cou à ce phénomène.

Dieudonné Minlama demande aux autorités de prendre leurs responsabilités pour enrayer la violence en milieu scolaire. © D.R.

 

Réagissant à circulation sur les réseaux sociaux de vidéos montrant de cas typique de violences en milieu scolaire, Dieudonné Minlama s’est montré très ferme. Dans un communiqué publié le 3 octobre, le président du parti Ensemble pour la République (EPR) a condamné ces actes, qui n’ont pas leur place au sein d’un établissement scolaire. «Ces actes de barbarie ne peuvent être acceptés. Je les condamne avec la plus grande énergie», a-t-il déclaré.

Selon Dieudonné Minlama, en effet, rien ne peut justifier de tels comportements. «Il est urgent que ce phénomène prenne fin dans l’immédiat ! Il est clair, à mes yeux, que les responsables de tels actes n’ont pas leur place au sein des établissements scolaires. Aussi je demande aux autorités gouvernementales chargées de l’éducation, de la justice et de la sécurité de prendre des mesures urgentes et adéquates afin que de tels actes ne se reproduisent plus jamais», a-t-il conclu.

S’agissant la dernière vidéo en date ayant défrayé la chronique, mettant en scène des élèves du lycée Paul Emane-Eyeghe d’Oloumi, le 28 septembre dernier, on y voit l’un des apprenants se défouler sur un plus jeune que lui. L’agresseur, âgé de 16 ans et en classe de 5e n’a été exclu que pour trois jours. Toutefois, le ministère public, notamment juridiction des mineurs, se serait saisi du dossier, a rapporté L’Union du 4 octobre.

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Paul Mikouma dit :

    En République gabonaise, la scolarisation est obligatoire jusqu’à 16 ans.

    Alors cher monsieur tolérance zéro, il faut commencer par scolariser tous les enfants dans des classes à moins de 40 élèves et avec des enseignants.

Poster un commentaire