Vol à la Cnamgs : un disque dur contenant les données de salaires dérobé

Un vol pour le moins suspect s’est produit le vendredi 12 septembre 2025 à la direction des Ressources humaines de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs), à La Sablière, dans la commune d’Akanda. Des individus non identifiés ont dérobé un disque dur contenant des informations sensibles sur les salaires des employés.

Le siège social de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs) à Libreville. © GabonReview
La direction des Ressources humaines de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs), sise à la Sablière, dans la commune d’Akanda, a été victime d’un cambriolage, le vendredi 12 septembre dernier. Au cours de ce cambriolage, l’entreprise s’est fait dérober un disque dur contenant les données des salaires. Ce qui rend ce cambriolage particulièrement étrange, c’est l’absence de toute trace d’effraction. Ni la porte du bureau ni le reste du bâtiment, pourtant réputé sécurisé, n’ont été forcés. Une source interne a même suggéré que le vol pourrait être le résultat d’une «manipulation interne», renforçant l’idée que le coupable pourrait être l’un des employés.
Par conséquent, les officiers de police judiciaire (OPJ) ont ouvert une enquête afin de mettre la lumière sur cette affaire. Plusieurs agents de la Cnamgs sont actuellement interrogés, rapporte l’Union dans sa parution du mercredi 17 septembre 2025. Le quotidien souligne également que les motivations du vol restent inconnues et que les conséquences de ce vol pourraient sérieusement perturber le fonctionnement de l’organisation. La direction générale espère que les auteurs seront rapidement identifiés et traduits en justice.
Thécia Nyomba (Stagiaire)

1 Commentaire
Bjr. C’est comment avec cette cnamgs là. D’abord un bâtiment presque brulé au bord de mer, maintenant du matos électronique en cavale et pas des moindres à Akanda (les salaires) qu’est ce qui se passe ? .
Comme pour dire que lors de la première enquête surement les vrais coupables n’ont pas été arrêtés. Cette fois ci chers OPJ faite nous la lumière. Amen.