La Zone économique spéciale (ZES) de Nkok a reçu la visite du président de la COP26, le 30 janvier. Alok Sharma s’est notamment imprégné du processus de transformation durable de bois à travers la société Star Ply et le centre d’exposition de GSEZ.

Alok Sharma, en compagnie de Lee White (ministre des Forêts) et Igor Simar (DG Arise IPP&IS) et Anne Nkene Biyo’o, lors de sa visite à la ZES de Nkok, le 30 janvier 2021. © Facebook

 

Le président de la COP26 a mis à profit son séjour en terre gabonaise pour visiter le 30 janvier, la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok. Accompagné du ministre gabonais en charge des Forêt, Alok Sharma a surtout découvert le processus de transformation durable de bois à travers la société Star Ply et le centre d’exposition de GSEZ.

«Nous sommes fiers de vous recevoir, une semaine après la signature à la Zerp de Nkok du protocole d’accord de mise en œuvre du cadre de gestion environnementale et sociale pour une gestion et suivi rigoureux des enjeux environnementaux et sociaux des entreprises au sein de la zone économique», a rappelé l’administratrice générale de l’autorité administrative de la ZES Nkok.

Selon Anne Nkene Biyo’o, le réchauffement climatique dont les manifestations sont multiples, représente aujourd’hui non seulement l’une des menaces les plus importantes pour l’environnement et la biodiversité, mais entraine également de lourdes conséquences sur les plans social et économique. «C’est pourquoi au sein de la ZES nous accordons une importance singulière aux questions d’environnement et climat», a insisté l’administratrice générale de l’autorité administrative de la ZES Nkok.

Durant son déplacement au sein de cet espace économique, Alok Sharma a également découvert le système de surveillance satellitaire de l’Agence gabonaise d’études et d’observations spatiales (Ageos), qui permet notamment de cartographier les risques et dommages climatiques. Alok Sharma est arrivé au Gabon en prélude à la 26e conférence des Parties sur les changements climatiques, en novembre prochain à Glasgow (Ecosse). Il a notamment échangé avec le président Ali Bongo sur la «nécessité d’assurer aux générations futures des progrès dans la lutte contre les changements climatiques».

 
GR
 

1 Commentaire

  1. diogene dit :

    Le climat change, soit ! Les dictatures non !
    S’il est certain que l’activité humaine (inhumaine en l’occurrence puisque contraire à sa survie)accélère le réchauffement climatique, qui abdique devant les empires économiques ?
    Les bouffons qui usurpent leur trône pétant dans la soie tandis que les populations peinent à survivre…

    Ce sont les faibles redistributions, l’absence de justice sociale, la perte de la notion de « bonheur » pour le plus grand nombre qui plombent la planète !

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