Initié par les entreprises Gabon Affaires Plus et CBI-Groupe, un salon de l’emploi et de la formation s’est ouvert le 21 mai à Libreville. Organisé sous le thème «Gabon, formation, emploi et réinsertion», cette manifestation vise à renforcer les liens entre les demandeurs et offreurs d’emplois.

Travailleurs du pétrole Gabon

«Le salon de l’emploi a une histoire et des circonstances et est le résultat d’une rencontre d’intérêt et de partage. Le salon de l’emploi et de la formation est donc un instrument qui vise à accompagner les politiques gouvernementales et l’action de l’État», a expliqué Éric Allogho, président du salon, dans des propos rapportés par Gabon Matin.

Lors des trois premières journées, cette rencontre a enregistré une participation assez importante avec les étudiants des universités et grandes écoles et autres demandeurs d’emplois. D’autant plus que cette manifestation propose une plateforme de contacts, rencontres, échanges et autres mises en relation entre demandeurs, offreurs et demandeurs d’emploi, administrations et autres institutions, fussent-elles publiques ou privées.

Plateforme qui permettra par ailleurs d’orienter les apprenants sur les métiers d’avenir, de proposer des formations pour être en adéquation entre les formations et les métiers d’avenir, d’échanger des expériences entres différentes parties, et aussi de recruter séance tenante des demandeurs d’emploi. L’objectif étant de «créer une synergie» entre les différentes parties concernées. De fait, les organisateurs du salon de l’emploi et de la formation espèrent que cette synergie ainsi créée «entraine sans restriction une stimulation des métiers et une appréciation des différentes offres que proposent les entreprises venues pour les expositions».

En dépit de l’échec de ses prédécesseurs à l’issue de ce genre d’initiatives, Éric Allogho espère que ce salon, qui s’achève le 25 mai prochain, produira des résultats considérables, car, a-t-il conclu, «c’est parce que la question de l’emploi se pose comme une épine sous les pieds des autorités gabonaises et des partenaires sociaux qu’il est important que ce type d’initiative soit capitalisé par tous en vue d’offrir aux Gabonais un avenir serein».

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Oui, mais kels metiers mis en evidences? Les plus demande’s et ceux de demains? Parceque si je viens avec un diplome en GRH international ou en pantheologie je taffe ou?

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