Le ministre de la Communication prend part à l’atelier multipartite sur la réduction de la fracture numérique, dont les travaux se ouverts le 14 octobre à Brazzaville. Cette rencontre vise notamment à renforcer les capacités et les compétences régionales et nationales en matière de développement des écosystèmes numériques.

Les ministres gabonais et congolais présidant la réunion de Brazzaville, le 14 octobre 2019. © DIG

 

Instantanées du séminaire «Accélérer la transformation digitale vers la 4e révolution industrielle» à Brazzaville, le 14 octobre 2019. © DIG

«Accélérer la transformation digitale vers la 4e révolution industrielle». C’est le thème de l’atelier multipartite sur la réduction de la fracture numérique en matière d’innovation, dont les travaux ce sont ouverts le 14 octobre à Brazzaville. Une rencontre à laquelle prend part le Gabon, à travers son ministre de la Communication.

Cette rencontre de la capitale congolaise vise à renforcer les capacités et les compétences régionales et nationales en matière de développement des écosystèmes numériques, y compris la conception des politiques, des programmes et des projets de mise en œuvre.

Organisé par le Bureau de développement des télécommunications (BDT) de l’Union internationale des télécommunications (UIT), ce rendez-vous contribue également à l’intégration numérique. Celui-ci est présent comme un des piliers des pays de la région africaine, à travers la promotion de l’adoption des technologies intelligentes et l’accélération de la transformation numérique. Mais aussi, par le développement des compétences, l’accès aux talents numériques et aux technologies numériques appropriées.

En marge de cet atelier, Rigobert Ikambouayat Ndeka a fait une communication lors d’une réunion de haut niveau des ministres de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC). Le membre du gouvernement a présenté les réalisations du Gabon sur le suivi des recommandations et décisions de la Conférence ministérielle de Brazzaville.

Rigobert Ikambouayat Ndeka a également mis en évidence les résultats des récentes études de faisabilité pour la deuxième phase du projet CAB-Gabon comprenant la pose d’un linéaire de 2 185 km de fibre optique, la mise en place de deux Datacenter et d’un Centre d’alerte et de réaction aux attaques informatiques.

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire