La Fédération gabonaise de football a dévoilé le 23 avril le nombre de dossiers de candidature reçus pour les postes de sélectionneur et directeur technique national dont l’appel à candidatures a expiré vingt-quatre heures plus tôt.

82 candidatures pour succéder à Daniel Cousin à la tête de la sélection nationale des Panthères du Gabon. © Darama/CORBIS

 

Au terme de la campagne d’appel à candidatures lancée le 2 avril par la Fédération gabonaise de football (Fegafoot), l’instance dirigeante du football national a enregistré 82 dossiers pour le poste de sélectionneur national et 19 pour le poste de directeur technique national.

Selon la Fegafoot, sur les 82 dossiers de candidature réceptionnés pour le poste du sélectionneur national, 14 sont d’extraction africaine dont 4 gabonais, 62 Européens, 5 sud-américains et 1 américain. Si les noms des postulants n’ont pas été révélés, le poste de sélectionneur national a suscité un engouement à l’international.

Le poste de directeur technique national a eu le même intérêt. À la clôture de la campagne, 19 candidatures ont été enregistrées : 10 sont africaines, dont 8 gabonaises et 9 européennes.

En attendant la publication du calendrier de travail de la commission d’évaluation des candidatures, la Fegafoot transmettra officiellement le 25 avril, devant huissier de justice l’ensemble des dossiers reçus aux membres de ladite commission pour examen.

 
GR
 

3 Commentaires

  1. SERGE MAKAYA dit :

    Ce n’est pas en VOMISSANT sur l’actuel responsable du Gabon (Daniel Cousin), que vous allez résoudre ce problème de l’équipe nationale du Gabon.

    Pour moi, Daniel Cousin n’a pas montré ses TALENTS d’ENTRAÎNEURS. Il faut encore qu’il RESTE pour au moins deux ans… Vous êtes bien pressés… Et vous serrez bien déçus avec un autre entraîneur… PAUVRE GABON !!!

  2. Lavue dit :

    C’est bien de rechercher les sélectionneurs. Tout ça à l’air d’une comédie gabonaise très souvent jouée. Combien d’entraîneurs et sélectionneurs sont passés à la tête de la sélection nationale de football depuis GIRESSE, qui est le seul a avoir sorti le football gabonais de la torpeur dans laquelle il se morfondait? Et pour quels résultats obtenus? L’appellation AZINGO NATIONAL a été reconnue comme la cause des échecs répétés de l’équipe nationale, il fallait éloigner ce mauvais sort et changer le nom de l’enfant, il a été rebaptisé les Panthères du Gabon pour faire comme le grand voisin du nord qui brille et remporte des coupes d’Afrique mêmes avec une équipe B (victoire au Gabon en 2017). Si après toutes ces actions les résultats ne sont pas là, il faut affronter la vérité. Les choses sont mal gérées. Le ministère des sports et la fédération gabonaise ne peuvent pas être une exception dans un pays où l’on pense depuis longtemps que le progrès ne peut se faire qu’avec des forces extérieures. Les nationaux sont des « chefs » qui confient du travail aux autres.Ils n’aiment pas mettre la main à la patte, mai plus grave, ils n’apprécient pas qu’un compatriote le fasse et réussisse. Le gabonais est d’abord fondamentalement jaloux de son frère. Ca se voit dans les familles et à plus forte raison en dehors. On veut bien profiter du succès de l’autre mais on ne fait rien pour l’aider à y parvenir. On est très peu fier d’un gabonais qui réussi. C’est la triste réalité gabonaise. Chez nos voisins du Nord (Cameroun), le football de base est géré par les nationaux à qui l’on fait confiance et à qui on donne les moyens nécessaires (ils sont présents dans toutes les catégories inférieures et remportent des titres; et pourtant les Camerounais n’ont pas plus de moyens que le gabonais).Il faut créer un cadre attractif pour les joueurs et après c’est facile pour le sélectionneur. Si les mêmes, avec leurs habitudes et leurs incompétences notoires restent à la tête de la gestion du football gabonais (pour des raisons qui leur sont propres), toute cette comédie du recrutement ne serait que de l’enfumage, un leurre de plus. En tous cas les émergents, tels que BILLIE-BY- NZE, excellent tellement dans la bêtise que plus rien ne surprend.

    Je préfère que vous pensiez déjà au prochain nom de l’équipe nationale (tigres, chats, chat-huant, mambas verts), car je ne crois pas au succès du football gabonais dans un avenir proche, avec ou sans nouveau sélectionneur et avec les dirigeants actuels. On doit apprendre à remercier les gens qui ont échoué. La politique à la gabonaise et la raison ne font pas bon ménage.

  3. IBOGAÏNE La Plante Sacrée dit :

    Bjr Mr Billie-By-Nze si tu malin prière de reconduire Daniel Cousin au comme coach des panthères du Gabon car ses résultats ne son pas mauvais Ainsi la majorité des Gabonais croie en lui pour la reconstruction de notre équipe national ce n’est pas en faisant forcément arriver un expatrié que vous aurez des résultats non même avec un Gabonais à la tête de cette équipe nous pouvons obtenir des bons résultats comme nous avons tous bien pu l’observer en au sénégal en côte d’ivoir j’en passe.

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