Ancien gouverneur de la BEAC, Philibert Andzembé, Téké de Bongoville dans le Haut-Ogooué comme Ali Bongo, a accordé l’entretien ci-après à l’hebdomadaire «La Loupe». Oprag, BEAC, Ali Bongo, actualité… il exprime, avec détermination, l’urgence d’un changement de régime au Gabon.

Philibert Andzembé, au sortir d’une manifestation du Front uni de l’opposition, le 19 juillet 2014 à Libreville. © Gabonreview
Philibert Andzembé, au sortir d’une manifestation du Front uni de l’opposition, le 19 juillet 2014 à Libreville. © Gabonreview

 
Comment un Téké, de surcroît de Bongoville, devient-il opposant ?
Votre question, si je peux me permettre, est très ambigüe, voire réductrice. En quoi le fait d’être Teke originaire de Bongoville me dispense d’avoir ou d’exprimer mon opinion sur la vie politique de mon pays ? Que les choses soient claires : être de Bongoville ne confère ni plus ni moins de droits en tant que Gabonais. Vous savez, contrairement à certains vieux clichés que l’on véhicule depuis des années, il y a, dans le Haut-Ogooué, beaucoup plus d’opposants que ce que l’on veut bien laisser croire. En tout cas, aux adeptes de ces préjugés d’une autre époque, je voudrais juste rappeler un proverbe bien de chez nous : «la pluie qui provoque grandes crues et inondations est souvent silencieuse».
Votre positionnement actuel a-t-il un lien avec les dernières années de votre parcours professionnel ?
Je dois, à la vérité, de dire que si j’avais été encore en fonction, je n’aurais pas pu afficher publiquement mes opinions comme je le fais maintenant. J’étais tenu par une stricte obligation de réserve. Comme vous le savez, sans doute, j’ai été gouverneur de la BEAC, de juillet 2007 à janvier 2010. J’avais un mandat de sept ans, irrévocable et non renouvelable, qui était censé s’achever en 2014. Quand j’arrive à la tête de la Banque centrale, toute la zone CEMAC est plongée dans une série de réformes visant à la fois, à démocratiser l’ensemble des institutions de la CEMAC, et à leur donner une efficacité notoire. Mais il se trouve que derrière ces réformes, se cachaient certaines velléités politiques. C’est ainsi que la Guinée Equatoriale et le Tchad ont exprimé le désir d’intégrer le gouvernement de la Banque, dès l’instant où ces pays sont devenus producteurs de pétrole. Le Tchad a obtenu le poste de secrétaire général crée pour la circonstance. Quant à la Guinée Equatoriale, elle voulait un poste à partir duquel elle pouvait surveiller ses réserves de change. Il a donc fallu adapter les statuts, le code de gouvernance et tout un ensemble de textes.
C’est dans ce contexte de remise à niveau des instruments de gestion et de fonctionnement de la Banque que l’on a découvert deux problèmes : d’abord celui du détournement de fonds à l’agence de Paris qui avait en fait commencé en 2000, puis le problème d’un placement d’argent auprès de la société générale. Très vite, ces deux affaires vont prendre un tournant politique et fuiter dans la presse. A la suite de cela, les chefs d’Etats vont commanditer deux audits. Mais les choses vont rapidement s’envenimer et prendre une tournure politique. Comme il fallait trouver un bouc émissaire, on est allé jusqu’à me mettre sur le dos des faits qui s’étaient déroulés avant ma prise de fonction. Tout a été dit, le moment venu, je livrerai ma part de vérité. Mais au-delà de ma modeste personne, ce que je regrette le plus c’est qu’Ali Bongo n’ait pas réussi à conserver le poste de gouverneur dans notre pays, quitte à nommer un autre compatriote.

Philibert Andzembé. © L’Aube
Philibert Andzembé. © L’Aube

Le traitement qui vous a été infligé n’est-il pas lié aux mauvais rapports que vous avez pu entretenir avec Ali Bongo dans le passé, à l’époque où vous étiez DG de l’Oprag, et lui PCA de cette entreprise paraétatique ?
De prime abord, il faut retenir que la différence fondamentale entre Ali Bongo et moi, c’est que l’un a choisi de faire une carrière de manager et de technocrate (avec toute la rigueur), alors que l’autre a opté depuis longtemps pour (sourire moqueur)… la politique.
Cela a-t-il contribué à compliquer, quelques fois, vos rapports ?
J’avoue que je ne me suis jamais posé la question, d’autant plus qu’au moment de ma nomination à la tête de l’Oprag, les choses allaient bien entre lui et moi. Mais plus tard, des tensions – pour lesquelles le président Omar Bongo avait dû parfois rendre des arbitrages – vont survenir entre le DG que j’étais et le PCA Ali Bongo. Ceux qui me connaissent savent que, par tempérament, je n’accepte pas de jouer les lampistes ni de cautionner des actes dont je ne maîtrise pas les contours. Nous étions à la tête d’une entreprise où chacun avait des attributions claires et un champ d’intervention bien défini…
Votre limogeage de l’Oprag…
Après avoir négocié un vendredi jusqu’au soir, avec des experts de la BAD, pour obtenir des financements, pour l’agrandissement du port d’Owendo, j’apprendrai le lendemain, en lisant le journal L’Union que j’étais remplacé à la tête de l’entreprise par l’agent comptable, M. Jean-Pierre Oyiba. Bizarrement, tout cela s’est passé en l’absence du chef de l’Etat, Omar Bongo, qui était en voyage à l’étranger. A propos de cet épisode, on m’a souvent demandé si ma mise à l’écart ne cachait pas des desseins inavoués. A vous, comme à bien d’autres, je dis que c’est à M. Ali Bongo qu’il faut poser cette question.
Selon vous, pourquoi a-t-il demandé, dans des conditions anti-statutaires, votre limogeage de la BEAC ?
Encore une fois, c’est à lui qu’il faudrait poser la question. Ce que je déplore le plus dans cette affaire, ce n’est pas tellement que mon limogeage ait été fait avec beaucoup de légèreté, et de manière cavalière, mais le fait que le Gabon ait perdu le poste de gouverneur, alors qu’un compatriote pouvait ne fut-ce que terminer le mandat. Je refuse de croire que c’est la cristallisation d’une certaine animosité contre ma petite personne qui a conduit à une telle précipitation. A moins qu’on ait cherché à étouffer d’autres affaires. Dans tous les cas, j’ai ma petite idée sur la question, et le moment venu, j’éclairerai l’opinion. Et je le ferai sans aigreur ni rancœur, même si, comme vous, je constate que chaque fois que ma carrière professionnelle prend un coup, c’est sous Ali Bongo : à l’Oprag d’abord, puis à la BEAC ensuite. Mes avocats, en tête desquels William Bourdon, n’ont d’ailleurs pas manqué de le lui rappeler dans la correspondance qu’ils lui ont adressée afin que je sois rétabli dans mes droits.
Pour vous qui l’aviez côtoyé d’assez près, pensez-vous qu’Ali Bongo soit très porté sur l’argent, la luxure, le matériel… comme le prétendent certains de ses détracteurs ?
Vous savez, ce n’est pas tellement mon avis qui compte. Car il peut être, à juste titre, suspect de subjectivité. En revanche, je pense que chacun de nous peut se faire sa propre opinion sur ce sujet en observant le train de vie d’Ali Bongo, surtout que lui et ses amis ne s’en cachent pas. A partir de là, on n’a pas besoin de faire partie de ses «détracteurs» pour le voir. Ceci dit, il faut surtout noter que de manière plus globale, dans bon nombre de régimes africains, particulièrement ceux des Etats pétroliers, il y a deux formes de dictatures qui prospèrent et martyrisent les populations : la dictature du pétrole et la dictature politique. Au centre de ces deux fléaux, les intérêts financiers et l’argent que les dirigeants veulent contrôler et garder pour eux, au lieu d’investir dans l’amélioration des conditions de vie de leurs compatriotes. Est-ce que le dire, c’est forcément s’inscrire dans la liste des «détracteurs» de tel ou tel responsable politique dont la boulimie est de notoriété publique ?
Que pensez-vous de l’atmosphère actuelle du pays ?
Le Gabon est en déshérence à tous les niveaux. Le système est à bout de souffle et nous en avons la preuve tous les jours. Sur le front social et syndical, on observe, depuis des années, une succession de grèves plus ou moins longues chez les enseignants, les personnels de santé, les travailleurs du secteur parapublic, etc. Depuis peu, ce sont les fonctionnaires des régies financières qui font aussi part de leur mécontentement. Nous sommes dans une situation de grande instabilité caractérisée par un Etat affaibli et surendetté, des dirigeants en mal de légitimité, cupides, voraces, immatures, des populations de plus en plus décidées à faire aboutir leurs aspirations sociales et politiques.
Et demain ?
Pour l’avenir de notre pays, la nécessité d’un changement radical s’impose de façon impérieuse. Il n’y a pas que les hommes qu’il faut changer, il y a aussi un changement de méthode et de gouvernance qu’il faut opérer. Les vieilles recettes ne marchent plus, et cela saute aux yeux ! Les nouvelles générations réalisent que leurs aînés ont accepté un pouvoir absolu depuis 1968, mais sans réelle contrepartie en termes de prospérité économique, de respect d’Etat de droit… Et je doute que ce que les Gabonais n’ont pas pu avoir en quasiment 50 ans, qu’ils l’obtiennent d’ici à 2025. Par quelle magie Ali Bongo va-t-il réaliser en une décennie, car 2025 c’est dans 10 ans, ce que ce même système a été incapable de faire en plus de quatre décennies ? Parce que nous le savons tous, il s’agit du même régime, du même parti politique depuis 1968. Il n’y a eu, dans le fond, aucune rupture dans la manière de gérer l’Etat et la société gabonaise dans son ensemble.
Justement, sur le plan économique et financier, pensez-vous que le Gabon est bien géré ?
(Attitude de désolation). Au vu des indices sur la corruption, la pauvreté, l’inflation, la cherté de la vie, le manque d’infrastructures de base, etc., on ne peut pas dire que le Gabon soit bien géré. Ce serait même insultant pour ces populations qui croulent sous le poids de la misère dans un pays pourtant très riche. Notre pays dispose d’énormes ressources, mais l’utilisation qui en est faite par nos dirigeants se passe de tout commentaire. C’est pourquoi, lorsque des livres comme celui de Pierre Péan sortent, certains essaient de nous distraire avec des questions subalternes comme celle relative au parcours scolaire des gens, alors que l’essentiel se trouve ailleurs. Il faut que l’on sache par qui et comment est organisé le pillage de nos richesses communes. Selon certaines données, notre production pétrolière, oscille entre 10 et 13 millions de tonnes, ce qui n’est pas mauvais en soi, mais que fait-on de cette énorme manne financière ? Il y a des questions fondamentales auxquelles les dirigeants du pays devront répondre un jour, car on ne peut pas passer par pertes et profits tous ces scandales qui s’accumulent d’année en année. Le Gabon est notre bien commun, et ceux qui sont chargés de le gérer doivent rendre des comptes à tous les copropriétaires que nous sommes.
Il y a actuellement un débat sur les origines d’Ali Bongo. Pour vous qui êtes de Bongoville…
(Réponse directe). Là vous vous adressez à la mauvaise personne, car ce n’est pas une affaire qui concerne Bongoville ou même le Haut-Ogooué. C’est à sa mère qu’il faut poser la question de sa filiation et de ses origines (sourire en coin). Vous savez, chez nous on dit qu’il n’y a que la mère qui connaisse le vrai père de son enfant. Mais, si je peux me permettre une comparaison. Il y a quelques années, le président américain Barack Obama avait fait l’objet, de la part de ses adversaires politiques, d’insinuations similaires à propos de son lieu de naissance. Lui, il n’a pas eu besoin de remuer terre et ciel, d’organiser des débats télévisés ou autres conférences de presse alambiqués. Il a tout simplement produit l’original de son acte de naissance et cela a définitivement éteint la polémique. En Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara avait dû, lui aussi, faire face à ce genre de débat sur ses origines. Il a réglé la question en présentant ses papiers.
Oui ou non, Ali Bongo est-il un enfant adopté ?
Oui, si….
Si, quoi?
Ali Bongo devrait mettre à la disposition du peuple gabonais l’original de son acte de naissance. Mieux, puisque Patience Dabany vit, faire un test ADN pour prouver la filiation de mère à fils. Dans le cas contraire, il faudra alors s’assurer que le peuple gabonais n’a pas été abusé sur l’identité réelle de l’actuel président. Et là, c’est aux compatriotes, qui avaient la charge de contrôler l’identité des candidats à la présidence de la République, de prendre leurs responsabilités, à défaut d’assumer, (à vie) devant l’histoire, cette haute trahison. J’ai profondément honte de constater qu’un chef de l’Etat soit aussi «trouble» quant à ses origines. Chaque peuple a son identité. Or, si le Gabon est gouverné par un nigérian, alors-là, nos enfants ne nous le pardonneront jamais.
Si Omar Bongo était encore vivant, seriez-vous dans l’opposition ?
C’est une question difficile, d’autant plus que sous Omar Bongo, j’occupais des fonctions qui m’obligeaient à beaucoup de réserve. On ne va donc pas réécrire l’Histoire, car ce qui est important, de mon point de vue, c’est qu’aujourd’hui, être opposant, c’est une démarche à la fois patriotique, progressiste et démocratique. Le Gabon est en péril. Progressiste, patriote, démocrate, je l’ai toujours été, même du vivant d’Omar Bongo. Après, le reste est une question de circonstances qui peuvent être personnelles ou collectives. Il arrive que les deux se confondent. Dans des circonstances normales, nous n’avons pas tous vocation à faire de la politique, mais quand on voit que la nation est en train d’être détruite, on ne peut pas rester dans son coin et attendre que d’autres s’engagent. Du vivant d’Omar Bongo, si j’avais observé le même péril pour mon pays, j’aurais sans doute exprimé ouvertement ma différence.
Comment voyez-vous l’avenir du Haut-Ogooué sans les Bongo au pouvoir ?
Je suis membre-fondateur de l’Association des Altogovéens pour l’Alternance. Ce simple fait devrait être une indication : le Gabon a besoin urgemment d’une alternance politique et démocratique. Donc, l’avenir du Haut-Ogooué, avec ou sans les Bongo au pouvoir n’est pas un problème en soi, étant donné que cette province gabonaise n’est la propriété de personne. Il est vrai que la politique du PDG a pris le Haut-Ogooué en otage, mais cela n’est qu’une péripétie qui va se régler très rapidement. Je n’ai aucun doute là-dessus. Le Haut-Ogooué est une province comme toutes les autres. Il a son histoire, qui ne doit pas être confondue avec celle d’une famille. Cette province a reçu plusieurs peuples et groupes ethniques qui se côtoient, se parlent, vivent en bonne intelligence et ce, malgré le fait que le pouvoir politique de la famille Bongo l’ait transformée en base électorale captive. De tout temps, les intellectuels et acteurs politiques du Haut-Ogooué, à l’image d’Eugène Amogho, ont lutté avec les autres et n’ont jamais été pour un seul parti.
Si vous deviez, pour conclure, adresser un message à vos frères et sœurs du Haut-Ogooué se trouvant un peu partout au Gabon, quel serait-il ?
Il faut que les ressortissants du Haut-Ogooué aient conscience que nous sommes tous des Gabonais. Notre province d’origine a reçu plusieurs compatriotes issus de tous les coins du pays, certains sont mêmes, à mes yeux, d’authentiques Altogovéens. Maintenant, il faut que le Haut-Ogooué sorte de l’emprise du pouvoir Bongo/PDG : «émergent» ou «rénové», le PDG reste le PDG ! Les peuples du Haut-Ogooué doivent s’émanciper et s’affranchir d’une sombre et humiliante servitude qui n’a que trop duré. Il faut que les Altogovéens refusent d’assumer la responsabilité de la gestion du Gabon par la famille Bongo et leurs amis. Il ne faut pas que l’on nous demande, à l’heure du changement qui est inéluctable, pourquoi êtes-vous toujours comme ça, pourquoi ne vous êtes-vous pas émancipés ?
J’invite donc mes frères et sœurs du Haut-Ogooué à travailler pour l’alternance politique sans laquelle le Gabon ne pourra pas se développer. Je pense que l’alternance, telle qu’elle est en train de se mettre en place avec toutes les forces politiques de l’opposition qui veulent arriver à une candidature unique, est une chance pour notre province et pour notre pays. Cela fera en sorte que la politique soit mise au service du bien commun, pas au service du bien d’une famille ou d’une poignée d’initiés. Mes chers sœurs et frères Altogovéens, de quel drame avez-vous encore besoin pour comprendre qu’Ali Bongo est un cruel qui n’est heureux qu’à travers le prisme de la misère du Gabonais, de son humiliation, de sa privation au festin national au profit de ses amis étrangers.
Pour terminer, je voudrais que les Altogovéens observent bien ce qui se passe dans d’autres pays africains, notamment au Burkina Faso. Lorsqu’un modèle a échoué, il faut le laisser partir avec son échec !
Zogo Laroma.  Avec l’aimable autorisation de l’hebdomadaire « La Loupe ».
 

 
GR
 

38 Commentaires

  1. Le citoyen libre dit :

    A l’attention de: Secrétaire général des Nations unies
    Cette pétition est très importante et nécessite notre aide. Clique ici pour en savoir plus et signer:
    http://www.avaaz.org/fr/petition/Secretaire_general_des_Nations_unies/?kCGlHib
    18/11/2014
    91 signatures. Atteignons 200

  2. mebi me ndzeme dit :

    La messe est dite.Je souhaite que les émergents portent plainte contre Mr ANDZEMBE qui est autochtone de BONGO-VILLE donc qui doit connaitre la vérité vraie.Qui dit mieux?

    • Rudiger dit :

      Contre productif. On n’a pas de besoin de témoignage à ce stade. On en a d’ailleurs suffisamment eu pour comprendre qu’Ali n’est pas originaire du Gabon. Qu’il produise les éléments de preuve qui lui sont demandées, et c’est tout. Le fait qu’elle tarde tant à être fournies, est même la preuve qu’elles n’existent pas. On nous distrait alors avec des témoignages aussi inutiles qu’inconsistants…

  3. boutala dit :

    Eheheh la vérité rien que la vérité. Je retiendrai ceci: nos enfants ne nous le pardoneront pas .n est ce pas jean Jacques et manondzo? ? J ai aimé l allusion à Obama et Ouatara. C est le minimum de clarté qui s impose. Le folklore de ceci l amateurisme de cela les photos de X ou de y ne sont pas des preuves. Tiens moi je suis né sur la planète Mars demandez aux martiens aux ovnis et aux pilotes qui me croisent dans le ciel ils vous le diront tous M avoir vu traversant la galaxie et jouant aux étoiles filantes.

  4. kild dit :

    Quand on a plus de poste on devient opposant n’importe quoi.

  5. OROUNGOU dit :

    Vraiment courageux ce Monsieur, Respect d’un OROUNGOU!

  6. Trop c'est trop dit :

    Les défendeurs de Mr ANDJEMBE, vous avez bien compris qu’il est dans l’opposition parce qu’il n’a plus de poste. Comprenez bien nous n’avons pas d’opposants au Gabon, nous n’avons que les aigris pitié. Pendant que vous perdez le temps à passer les nuits blanches à réfléchir sur le problème de la filiation d’Ali, nous préparons nos bases pour 2016. L’histoire de cigale et la fourmi continuez à chanter, nous travaillons.

    • gabonais dit :

      Mon petit retien ceci, tout a une fin. Ne l oublie jamais. Même toi tu as une fin.

    • Eltansuis dit :

      Le fait que Mr Andjembe n’ait plus de poste et qu’il passe à l’opposition annule-t-il la véracité de ce qu’il dit ? C’est dommage que beaucoup ont du mal a accepter que le PDG doit partir pour sauver le Gabon. Tout gabonais et homme de bonne foi peut juger que le système PDG est un échec total, on a pas besoin d’être un intéllo. pour le constater.

  7. ALLEZLESBURKINABE dit :

    Tout ce qu’un régime de dictature aurait réalisé pourrait être détruit quand le peuple se soulève. C’est pourquoi peuples africains, disons non à la dictature et la monarchie. Ce n’est pas contre une ethnie ou une famille c’est un système, qu’il faut combattre à jamais sur le continent africain. L’alternance démocratique doit être la règle. La dictature, la monarchie ont toujours échoué partout en France, au RU … Pourquoi nous en Afrique on les garderait???

  8. Tara dit :

    ça c’est l’histoire du Gabon c’est en ça que se résume notre opposition voilà quelqu’un qui dit ouvertement que si OMAR BONGO vivait encore il serait très certainement encore au PDG comme si OMAR avait bien gérer le Gabon comme si les problèmes que nous connaissons aujourd’hui datent de 2009. donc quand il était grand directeur, grand gouverneur il pouvait pas parler de peur de perdre son poste maintenant qu’il ne l’a plus il peut maintenant parler comme il le veut et dire qu’il est opposant c’est ça qui caractérise notre pays le GABON quand tout va bien chez vous vous n’avez rien à foutre de ce qui se passe chez les autres.
    Quel crédibilité donner à ce monsieur? s’il devait avoir un poste aujourd’hui que fera t-il? De qui se moque-t-on?
    Nos compatriotes ont toujours eu la mémoire courte aujourd’hui chaque fois qu’un dignitaire est remplacé il devient automatiquement opposant comme quoi ils ont tous la meme mentlité mourir DG, Ministre etc la performance on connait pas si le président pense qu’il peut mettre un autre individu qui pourra certainement avoir un meilleur rendement vous allez à l’opposition triste histoire. demain BILLI BI NZE dont on dit de tout aujourd’hui viendra dire qu’il est redevenu opposant on aura oublié tous ce qu’il a raconté pendant 7 ans Mapangou, ONA ONDO, JACKI mil diplômes et j’en passe et y’en a qui vous diront Rupture oui rupture mais de leurs ventres.

    • Rudiger dit :

      C’est pas faux. Mais il ne faut ignorer qu’en rejoignant les rangs de l’opposition, ces personnalités donnent de plus en plus de poids à cette dernière. Ils ont l’expérience de la façon dont le pouvoir actuel conçoit la politique, et peuvent à ce titre, proposer des solutions pour faire basculer la Maison PDG-Bongo. Pour l’instant, je préfère m’en contenter…

  9. le crabe dit :

    c’est plutôt contre Ali que vous vous remonté très chers ainé; c’est bien dommage de faire l’opposition en ce moment vous êtes tous confondus. pas de poste c’est l’opposition le point de chute.

    • Berlusconi dit :

      Ce qui est plutot regrettable c’est le fait que tous ces grands économistes et anciens nouveaux opposants ne proposent rien en terme de projet de développement du Gabon à court moyen et long terme.
      C’est bizzare, j’ai rarement entendu un opposant critiquer le PSGE ou proposer une alternative à la vision du chef de l’Etat.
      Ciao.

      • FORCE 21 dit :

        faut comprendre une chose un programme de société se decline lors d’une compagne électoral;ce qui n’est pas le cas en ce moment. mais si monsieur silvio berlusconi avait pris la peine de consulter les mémoires de ces grands économistes il se rendrait compte que les projet de dévéloppement pour le gabon n’y manque pas. le PSGE dont vous parlait est en effet un très bon ouvrage de gestion et dévéloppement bien élaborer, mais a vous entendre y faire reference je conclu que vous ne l’avez meme pas lu vous meme. Ce PSGE donne une directive sur la réalisation des projets or nous remarquons que c’est le contraire qui se fait aucune réalisation majeur, aucun dévéloppement concret.
        le PSGE demande de construire de nouveau établissemnt plublique or sur le terrain on remarque que ces de nouveau table de banc ou de nouvelle salle que l on ajoute dans les etablissemnt deja existant.ou se trouve la coherence ????
        Monsieur berlusconi je vous invite plustot faire des commentaire sur la vie des prostituer comme le temoigne les nombreux scandale dont vous avez fait l objet en Itali.
        celui qui s’identifie a un connard accepte alors d’etre lui meme un connard.

        • Berlusconi dit :

          Je comprends que vous soyez aveuglés par la mauvaise foi au point de perdre le sens de la réalité.
          Dans quel Gabon vivez-vous pour ne remarquer aucune réalisation ni développement concret?
          Enfin, pour votre information, sachez que ma virilité ne sert pas qu’a fare codere les prostituées. Je suis un exemple de réussite dans le domaine du business.
          Qu’avez vous fait de votre force 21? Une grande gueule au service de l’invective.
          Arrivederci

        • Bouka Rabenkogo dit :

          Le plan stratégique Gabon émergent (PSGE) n’est qu’une pale et mauvaise copie du Plan stratégique à long terme Gabon 2025 que nous avons élaboré en 1996.

  10. Don Corleone dit :

    Sais ce qu’on appelle opposant? Mais lis au moins entre deux lignes au lieu de venir ici dire n’importe quoi, c’est drôle que vous les émergents vous ne parler que les postes à occuper dans notre administration, mais mon Dieu le pays va mal

  11. philippe vouette dit :

    A la différence de plusieurs personnes j’interviens non pas avec un pseudo mais plutôt avec mon nom de famille et mon prénom …
    Hier j’ai suivi l’intervention de Mr Laurent BAGBO ….et une phrase a retenue particulièrement mon attention ….
    Il a dit je cite : « Qui ne respecte pas la constitution n’est pas démocrate. »
    ALI n’est pas démocrate….car il ne respecte pas la constitution …
    HIER J’AI RECUS 3 COUPS DE TELEPHONE A 22 :27 ; 23 :10 ; 23 :43
    Il y-avait écrit lors de l’appel numéro inconnu ….l’individu qui m’a appelé hier ma simplement dit :
    On va te massacrer ta famille et toi !!!! Espèce de fils de pute…
    1) Ma mère n’est pas une pute (un peu de respect)
    2) Je n’ai peur que de DIEU
    Un jeune homme d’une vingtaine d’année freluquet est mort en 2009 A POG près de moi, des militaires lui demandait de dire que ALI BEN est sont père et il a refusé…
    Il a dit que sont père s’appelait MOUNDOUNGA …il s lui ont enfoncé la baïonnette (Ils étaient tous vêtu en noir avec des cagoules) sur le coté il est tombé et jusqu’à son dernier souffle il a appelé son père MOUNDOUNGA …….
    Je répète …trop de choses trop de vies sont enlevées par ce régime incognito….assassinats, empoisonnements, enlèvements….mensonges …. …Calomnies …..
    Nous avons le devoir de dire les choses comme elles sont non pas pour tout enflammer ou détruire ou appeler A la révolte car nous allons être tous perdant… mais plutôt pour sensibiliser la population , attirer son attention ….sur les pratiques de notre régime ….
    Par des marches pacifiques, en paralysant petit A petit le pays nous allons devoir emmener le régime actuel a déposer le bilan …car il faut que cela s’arrête …
    Cordialement,
    Philippe Vouette

  12. Bangando du mapane dit :

    Comme toujours on rigole beaucoup avec ces opposants là

  13. lpandy dit :

    Au delá du fait que ces anciens barons devenus opposants, se fachent pour les postes et les honneurs perdus, il y’a que le peuple est édifié sur un certains nombre de choses: malversation à la Beac, comment un ministre et fils du president pouvait nommé des Dg etc. Il faut dire qu’il faut une opposition dure et radical
    Si Bongo père avait eu ce type d’opposants: nantis,.ayant travaillé avc lui, ayant des contact á l’étrangers, radical etc, ce pays serait surement different. Je pense aujourd’hui qu’il faut louer le courage des opposants et écouter leurs analyses de la vie du Gabon.

  14. c’est triste à dire mais pourtant c’est la vérité aucun de ses opposants du moins ces néo-opposants ne changerons pas leur train de vie passé une fois arrivée au pouvoir et d’ailleurs qui qui vous à dit qu’ils ont changé?

  15. charly dit :

    MISE EN CAUSE sur plusieurs points fondamentaux de sa personne et de la fonction qu’il a usurper, Ali Bongo, sans aucun respect pour les gabonais, ne daigne s’expliquer, mieux, il continu, comme si de rien n’ était ? a « jouer au président » , entre communication et diversion, il fait mine ( sans conviction, plus personne n’y croit, même pas lui même ) d’orienter, d’ordonner, et même d’admonester, pitoyable spectacle, LE ROI EST NU.

  16. jules Obiang dit :

    Mr Adjembé,chez nous les Fangs.on dirait O ne Fame  » Tu es un HOMME » digne de respect…des idées claires, vous êtes une intelligence de ce pays…encore Bravo. et je sais que las bas beaucoup d’Atogovéens sont des garçons…à ceux la je dis respects..mes chers frères et compatriotes…

  17. La Force dit :

    Je crois pas qu’il s’agisse de ça. Il faut tout lire. Ce Monsieur dénonce l’incompétence et la haine à l’égard de notre pays de la part de notre cher présidada si je peux l’appeler comme ça. Car il ne l’est pas. Sa rancune du fait de notre mise en cause de sa nationalité en 2009, a créé une sorte de xénophobie intérieure qui justifie la présence de cette légion étrangère à la présidence. Faire souffrir le gabonais au max pour se venger. Si certains ne comprennent pas parce que ils ramassent les miettes qui tombent des malettes d’argent sortant de notre pays à chaque fois. Et sont aveuglés. Sortez un peu de votre cupidité et regardez les choses en face …
    A propos, allez lui dire que tout le monde ne dort pas la nuit. Qu’il arrête de nous ensorceler avec des poudres indiènnes et les produits vendus par ces gens là.

  18. le puant dit :

    Respect à Mr Philibert ANDZEMBE .

  19. Gabarone dit :

    Ça c’est vrai , Ali a de la haine vis à vis des gabonais qui le traitent (et c’est vrai) de biafrai. Mais Ali Bongo, ce sont tes origines ! Obama n’a jamais eu honte d’avoir des origines kenyanes! Tu te venges en faisant payer les gabonais mais rira bien qui rira le dernier. Le pouvoir ne t’appartient pas, il appartient au peuple gabonais , déjà que tu es illégitime et faussaire. Bien tu n’aimes pas les gabonais ? Les gabonais te tiennent en horreur également et non seulement tu dégageras avec ta clique mais en plus tu devras t’expliquer…

  20. Ekang dit :

    Est-ce Dieu qui vous a dit que vous arriverez en 2016?

  21. eternite dit :

    Monsieur Andzembé ( quoi qu’on peut en dire sur son passé et sa réelle volonté d’opposant ) a soulevé bien des lievres à ne pas négliger.
    – Tous les habitants de Bongoville, ne sont pas des Pro OBO et ABO, car allez demander aux habitants de Lekaï, si ils ont bénéficié des retombées des 47 ans de pouvoir des Bongo.
    – Depuis 2009, la Gabon a perdu toute souveraineté et toute préeminence au sein de la CEMAC,BEAC; pour preuve, la place de Gouverneur qui jadis était toujours réservé au Gabon, est maintenant dévolue à un autre Etat !!
    – La perte de présidence du Gabon à l’UA ( 1 seul mandat ) est le reflet même de la perte d’influence de notre pays, d’ou le fait qu’ABO a interdit a tous gabonais occupant des postes de direction dans les grandes entreprises, ou organismes, ne pourront etre candidats à l election presidentiel.
    Il ne souhaite plus qu’un Gabonais en dehors de lui, ne brille pas ses compétences à l exterieur, d’ou le fait que le gabon se porte sur des manifestations sans importances mondiales et sociales pour le peuple.

  22. Gabarone dit :

    @monandzo, mort de rire! Pour ne pas dire MDR! Taux de popularité d’Ali? Zéro pointé et tu le sais très bien mais comme il est bon de se voiler la face au Gabon je te laisse de faire mal dans tes arguments alambiqués.

  23. nayina maureen dit :

    en 2009, certainement des milliers de gabonais auraient pris la defense d’Ali, aujourd’hui qqs Monandzo, sortent du bois pour venir
    le soutenir, eh bien grand bien lui fasse, moi je suis gabonaise
    et j’aurais souhaité que le president présente son acte de naissance c’est tout, question de salubrité publique

  24. Vert-jaune-bleu dit :

    VIVE LE GABON LIBRE!!!
    QUE CEUX QUI N’ONT RIEN A DIRE SE TAISENT!!!
    Je vous en prie nous parlons de vie ou de mort non pas d’un seul individu mais de toute une nation, de tout un pays, de tout un peuple qui vit dans la misère car une famille, un petit groupe confisque à lui seul toutes les richesses du Gabon. c’est de cela que nous parlons! Les témoignages bidons, le gabonais qui a faim n’en a rien à faire. Ali et le PDG sont désormais pris dans leur propre piège celui de la tricherie, du vol, des crimes rituels , des assassinats de Port-gentil, d’usage de faux documents. C’est de cela dont il est question. La révolution ne fait qu’annoncer ses couleurs;rassurez vous il n’y aura pas d’effusion de sang les gabonais ont compris la méthode de revendication; nous les chassons en douceur dans le respect de la constitution qu’ils ont tant manipulée, la constitution qu’ils ont taillé à leurs mesures. Si vous êtes menacé de mort comme Philippe Vouette, considérez que c’est un signe de faiblesse de la part de nos ennemis; ils se sentent faibles et n’ont pas d’autres arguments que l’usage de la force. La marche vers la liberté est en progression. Lorsque chacun pourra s’exprimer sur ce forum avec son identité réelle, alors nous aurons atteint notre but; à ceux qui sont menacés de mort comme Philippe Vouette, ne fléchissez pas et garder votre conviction de gabonais libre; car seule cette liberté nous mènera au déguerpissement des imposteurs. VIVE LA LIBERTÉ, VIVE LE GABON LIBRE

  25. Jupiter dit :

    Ah là là là!!!!!!!!!!!! On va où comme ça? D’abord pourquoi l’interviewer tient-il a spécifier que ce monsieur est téké de bongoville? ça lui donne quelle légitimité? Ce n’est pas parce qu’on est du Haut-ogoouée que ce que l’on dit contre Ali est frappé du sceau du bon sens. Le H.O est une province du Gabon comme les autres, rien de plus. Elle n’a pas plus bénéficié que les autres du pouvoir.
    Alors il nous dit que le pays n’a jamais été dans un situation aussi catastrophique que ces 5 dernières années. C’est à peine s’il nous dit pas qu’il est à la dérive. Balivernes!!! Avec la découverte du gisement de rabi kounga l’un des gisements de pétrole jamais découvert en Afrique,le Gabon n’a jamais été si riche! Rien n’a été fait pour les gabonais: santé, éducation, pouvoir d’achat, logement, route, diversification de l’économie etc. Rien n’ a été fait. Qu’on ne vienne pas nous faire croire que ce sont ces 5 dernières années qui nous ont conduit au bord du précipice. Sottises!!!!!!
    On se découvre une âme d’opposant quand on a plus accès à la pompe à fric! Et on se dit patriote et progressiste. Hallucinant!!!!!
    Avec un peu plus d’un million cinq mille habitants, le Gabon aurait pu un pays prospère et les gabonais vivre dans des conditions plus que décente. Mais voilà, plus de 50 ans de gabegie nous ont conduit dans le gouffre. La faute à qui? Au pdg. Que veut -on nous faire croire? La faute à Ali? foutage de gueulle!!! Et tous ces opposants? Ils ont fait, construit, enraciné ce système pdg. Puis ils en ont pleinement profité. Ah la belle époque pour tous ces pontes: les vaches grasses pour eux et pour nous les vaches maigres. Après on vient nous parler de patriotisme. Le poids des mots se perd!!!
    Le Gabon territoire pillé sous la colonisation, pays indépendant(?) vendu à la françafrique, dévalisé, ravagé, mis à sac économiquement par ses propres enfants qui n’ont été et ne sont finalement qu’au service de l’étranger: la France.
    Tout le reste n’est qu’une querelle de pdgistes. Basta!!!!!!!!

  26. GABONBENI dit :

    La force d’un peuple reside dans: 1/sa capacite a rester uni 2/resiter a l’oppression 3/rendre la justice equitablement 4/respecter ses valeurs culturelles positives 5/defendre ses interets collectifs 6/choisir librement(democratiquement) ses dirigeants…
    Pierre Pean ressort un sujet que d’aucuns ont toujours traite dans les coulisses.Cette question est une problematique dont il(le suspect)devra repondre car elle fait referance a l’article 10 de la constitution.
    Il s’agit la,de la loi fondamentale de la republique Gabonaise; elle est soumise a tous les citoyens sans distinctions de classes sociales.
    Si le chef de l’executif actuel est un Gabonais, il devra en outre suite au scandale de presse(du au livre de Pierre Pean recemment sorti) donner des explications objectives au peuple qu’il gouverne.
    Ainsi vu le context actuel une exibition ne suffirait plus…il faut une preuve formelle d’acte de naissance en cas de recevabilte par la cour constitutionnelle des plaintes a ce sujet. Or en depi de ce qui est di, du fait qu’un acte de naissance du candidat a la magistrature suppreme est ete etabli a Libreville et non a Brazzaville constituerait une premiere tache. Que celui la ne possederait pas les noms et prenoms au moment de la naissance (copie originale), serait une seconde tache.
    Le fait qu’il n’y aurait pas d’acte de naissance du tout serait « UN ACTE DE GUERRE » contre le peuple Gabonais.
    Nous savons que la cour constitutionnelle avait deja valide deliberement cet acte de naissance.
    L’invalidera t-elle pour demontrer la neutralite de la justice?
    Aujourd’huit on peut conclure qu’il ny aura plus de paix objective car malgres un eventuel retour au calme les futures elections tournerons en n’en point douter sur ce debat qui certainement demandera collectivemet un test ADN pour 2016 avec les scientifiques et la presse en direct.
    La solution paliative serais soit une demission, l’abstention a la prochaine election ou le passage en force qui va emmener le Gabon dans un KO sans precedent car souvenez vous ils ont disparu les sages qui ont preserve la Paix.
    DE GRASSE LA SAGESSE DIT QU’IL EST TOUJOURS MIEUX DE DECANILLER LES CHOSES AVANT QUE SE SOIENT ELLES QUI ENTRAINEnt NOTRE PERIL.

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