Comment les institutions ont fait le lit de Pierre Péan et ouvert la voie à une situation qui fragilise Ali Bongo tout en confortant Jean Ping et Jacques Adiahénot

Capture d’écran d’une page de Google Images, sur la recherche «Pierre Péan-Gabon». © Gabonreview
Capture d’écran d’une page de Google Images, sur la recherche «Pierre Péan-Gabon». © Gabonreview

 
Rien ne lui a été refusé, toute sa vie durant. Rien ne lui a été imposé, tout au long de son mandat : depuis 5 ans, il enjambe les obstacles, surfe sur les événements, prend appui sur les institutions pour imposer sa loi. Cette fois-ci, il semble qu’il soit seul à pouvoir se tirer d’affaire. A moins de 2 ans de la fin de son mandat, alors que les siens échafaudaient déjà des stratégies de campagne, que les plus téméraires allaient même jusqu’à annoncer sa victoire prochaine, le voilà confronté à un débat surréaliste, mélange de droit de politique, portant tantôt sur son éligibilité tantôt sur sa moralité. Une situation qui exhale tant et si bien des effluves d’humiliation qu’Ali Bongo s’est jusque-là muré dans un mutisme éloquent.
En effet, voir, notamment, sa filiation remise en cause, son extrait de naissance querellé, sa scolarité controversée et ses diplômes contestés, se retrouver à observer que ses relations avec son principal collaborateur sont sujettes à interprétations diverses, est quelque chose de pas ordinaire. De toute évidence, le président de la République est face à lui-même et à son devenir. Quelle qu’en soit l’issue, «l’affaire Péan» laissera des traces et des soupçons multiples. Déjà, en privé, certains de ses proches expliquent que la voie judiciaire ouvrirait la porte à un grand déballage alors que le silence ad vitam aeternam finira par donner le sentiment que le contenu de «Nouvelles affaires africaines – Mensonges et pillages au Gabon» est conforme à la vérité. Là réside le piège !
Véritable piège à entrées multiples, la situation actuelle n’est que l’aboutissement d’une succession de fautes. Celle d’un homme qui a tout misé sur sa puissance, celle d’une magistrature qui a abdiqué et celle d’un juge constitutionnel qui s’est laissé politiser. Visiblement, l’homme a tout délégué, y compris la confection de ses pièces d’identité ou de ses actes d’état-civil. Ses mandataires étaient si sûrs d’eux, si convaincus que rien ne peut résister à leur mandant qu’ils ont minimisé tous les écueils, répétant à l’infini leurs phrases préférée : «Il n’y aura rien» ou «Le pays est géré.» Derrière cette arrogance, que de scories, erreurs, fautes et manquements accumulés !
Suspicion
Et pourtant, au plus fort de «l’affaire des Bien mal acquis», une partie de la presse nationale n’avait pas manqué d’attirer l’attention des dirigeants nationaux et des membres de famille d’Omar Bongo Ondimba sur cette tendance à tout traiter par-dessus la jambe, à ne jamais s’encombrer de précautions administratives ou juridiques. Rien n’y fit. «Les vieilles habitudes ont la vie dure», dit un adage bien connu. Aujourd’hui, tout cela crache d’autant plus facilement son venin que le témoignage de la mère du président de la République fut un collector, un modèle rarissime de réaction à l’emporte-pièce, avec des détails et précisons historiques qui ne s’imposaient guère.
Dans ce qui apparaît comme l’épreuve du feu pour Ali Bongo, la magistrature a sa part de responsabilité. Certes, elle pourra toujours dire ne pas être directement concernée. Mais comment l’absoudre de toute responsabilité quand l’un de ses éminents représentants dirige la Commission nationale électorale permanente (Cenap). «René Aboghé Ella, le président de la Cenap, (…), au nom de l’éthique due à son corps de magistrat, se doit (…) de (rendre) public le dossier de candidature mis en cause», assène notre confrère Echos du Nord dans son édition du 3 novembre dernier. Plus que jamais, une suspicion de partialité pèse sur l’organisme en charge de l’organisation des élections. Davantage aujourd’hui qu’hier, des soupons de connivence avec le pouvoir exécutif entachent la crédibilité de l’autorité judiciaire.
Comment croire que nos magistrats sont attachés aux valeurs d’indépendance, d’intégrité, d’impartialité si un doute pèse sur la sincérité d’un des dossiers validés par l’un d’eux à l’occasion de la présidentielle de 2009, échéance majeure dans la vie de tout pays ? Si une interprétation spécieuse de la notion de loyauté peut être brandie en l’espèce, il n’en demeure pas moins vrai que le courage est une vertu cardinale pour tout magistrat. Davantage de courage de la part des responsables de la Cenap aurait sans doute permis d’éviter la situation actuelle. Comment et par quels moyens ? Aux magistrats selon leurs valeurs et qualités personnelles…
Clarification
La responsabilité de la Cour constitutionnelle est aussi engagée dans le vaudeville actuel. Chacun se souvient encore de l’échange vif entre Luc Bengono Nsi et le président de cette juridiction qui, sans réellement battre en brèche la thèse de celui qui était alors candidat du Mouvement de redressement national (Morena), laissait sous-entendre que la contestation de l’éligibilité d’Ali Bongo aurait dû se faire en amont. Quelle image ce spectacle, diffusé en direct à la télévision nationale, avait-il donné de la Cour constitutionnelle ? Comment la haute juridiction a-t-elle pu valider une élection tout en laissant planer le doute sur l’éligibilité du vainqueur désigné ? Les juges constitutionnels croyaient-ils évacuer cette question sans la traiter ? Quelle idée des phrases comme : «La Cour Constitutionnelle n’entend pas se laisser dicter une conduite à tenir» ou «La Cour n’est pas une jungle» avaient-elles donné de notre démocratie et de nos institutions ? Tout cela eut assurément un effet ravageur.
Depuis 1993, année de la première présidentielle validée par ses soins, les populations expriment de sérieux doutes sur l’indépendance et l’impartialité de la Cour constitutionnelle. Désormais, elle n’est plus à l’abri de l’onde de choc de «l’affaire Péan». De Marie-Madeleine Mborantsuo et ses pairs d’alors on est en droit d’exiger clarification. Surenchère? Dramatisation ? Non : juste un appel à la responsabilité et à la cohérence, une invitation au sens républicain et à la conscience historique.
Quel que soit son devenir, son épilogue, il est d’ores et déjà acquis que «l’affaire Péan» est un piège pour le président de la République, la Cenap et la Cour constitutionnelle. Au-delà, elle fragilise tout l’édifice institutionnel. Cette affaire pèsera pendant longtemps sur le jeu politique national. Et, avec l’exploitation qui pourrait en être faite, sur la crédibilité des prochains scrutins. Par le jeu des vases communicants, Jean Ping et Jacques Adiahénot, dont une presse réputée proche de la présidence de la République mettait en doute l’éligibilité, s’en trouvent légitimés, fortifiés, confortés. Comment maintenir la ligne observée jusque-là vis-à-vis d’eux sans atteindre Ali Bongo ? Une fois encore : là réside le piège….
 

 
GR
 

83 Commentaires

  1. jeremy dit :

    Romane bouenguidi très belle analyse. Il ne s agit pas d être pour ou contre mais en effet je retiens de votre article ce qui s apparente à une espèce de conclusion cette phrase bien tournée de votre plume que je qualifierai de l une des meilleures de Gabonreview : cette affaire « fragilise tout l édifice institutionnel. » En tout cas pour tout observateur averti de cette affaire on ne peut que le déplorer . Comment en sortir? That is the question. J entrevois deux ou trois pistes. Mais attendons la suite car les jours à venir pourraient peut être nous réserver des surprises. Pourquoi pas une intervention directe du chef de l État face à la nation.

    • humm dit :

      il ne le fera pas, il sait répondre à Ping, pour des sujets de moindre importance, maintenant qu’il est remis en cause dans le sens même de son existence, il se tait!!où sont ses véritables papiers? un tissu de mensonge, il est né à Brazzaville en pleine guerre civile(mensonges), né après une césarienne (mensonges)!! Le vraiment ça fait pitié

      • Pas Possible dit :

        Une question ki me taraude l’esprit. Pourquoi Bongo père a til gardé Ali au gouvernement pendant près de 20ans et mieux encore au poste de ministre de la defense connaissant ces ambitions et le danger kil representait. Pourquoi le système ne s’est il pas protégé contre cet potentiel danger. Merci de nous éclaircir.

        • mebi me ndzeme dit :

          Bongo a protégé le GABON d’Ali en introduisant l’article 10 dans notre constitution,car lui qui était né vers 1935 avait des papiers en règle et il a tout fait pour qu’Ali n’en possède pas.Voilà qu’en lisant le livre de PP vous comprendrez que tous ceux qui ont voulu le dire clairement ont trouvé la mort:PP cite Mrs RAWIRI et J.RENDJAMBE

    • Pas posssible dit :

      Au fait que fait la photo de Willy Sagnol dans l’affaire PP

    • Francky dit :

      Le principal « fouteur » de merde dans cette affaire est bien Bongo père! S il est confirmé qu’Ali est son fils adoptif venu du Nigéria, Bongo père aurait dû le protéger en l’éloignant du monde politique. Ils sont nombreux, ces chefs d’Etat qui ont eu des enfants adoptifs mais qui n’ont jamais laisser la moindre occasion à ceux là de pointer leurs nez dans le monde politique. Exemple: Houphouet en CI. « Le pouvoir est contraire à la faim ! « . Plus tu exerces, plus tu veux te maintenir. Or pour la faim, plus tu manges, moins tu en veux !

  2. Vert-jaune-bleu dit :

    TEST ADN
    Mes enfants, la solution et la seule qui puisse laver l’honneur d’Ali Ben Bongo est le test ADN fait par un comité scientifique neutre. L’heure n’est plus à la tergiversation; si les « affaires africaines » font tant de bruit c’est qu’il y’a une part de vérité. c’est à vous pédégistes de prouver aux gabonais que votre prince est un descendant divin d’Omar Bongo. Mais c’est impossible de le prouver et vous le savez. Moi Vert-jaune-bleu, je partage votre avis monsieur le journaliste; Ali est bien pris au piège mais ce n’est pas un piège tendu par Pierre Péan, il est pris dans son propre piège; un piège issu de toutes ses tricheries. Quand un enfant triche à l’école, il accumule les tares et oublie qu’un examen l’attend devant; alors il échoue et accuse la sorcellerie. Non, Péan n’est pas un sorcier. Il a juste montrer la voie de sortie à un système qui maintient son peuple dans la pauvreté depuis 47 ans.
    A toutes ces familles qui défilent sur GabonTV: on aura vraiment tout vu dans ce pays. Le passage des enfants Léon Mba ne m’a pas surpris du tout car ce n’est pas la première fois qu’ils salissent l’image de leur père, l’homme à qui ils doivent tout; la statue du carrefour Léon Mba est l’une des plus sales de Libreville;pourtant elle est située juste là où ses propres enfants vivent; parfois vous retrouvez un fou qui se baigne là avec une serviette sale. Et ça ses enfants qui ont vu Ali tout petit ne voient pas ça. Quand les pédégistes se cotisent pour donner de l’argent pour la campagne 2016 alors que des familles gabonaises vivent dans la misère à CICIBA vous familles soutenant Ali ne voyez pas ça. Quand on dit que votre porte-monnaie a le sang biafrais ça,ça vous touche au point de passer à l’écran ridiculiser le nom de vos ancêtres. On aura tout vu dans ce Gabon de moi Vert-jaune-bleu

  3. Orlando dit :

    Pour compléter peut être votre intervention j’ajouterai que face à l’impasse, surtout aux carences notoires de nos institutions constitutionnelles et au discrédit jeté sur la nation toute entière par toutes ces révélations, que l’Armée entre dans la danse en prenant ses responsabilités.

    • Kombila kombila dit :

      que vous etes naifs et ignorants. la garde presidentielle est faites de freres tribaux et de mercenaires marocains. et l’armee gabpnaise est desarmee.

      • Le citoyen libre dit :

        L’armee a l’arme la plus redoutable qui est le peuple, donc que notre armée nous rejoingne pour liberer notre pays aux mains des mercenaires d’ALI Bongo.

      • Orlando dit :

        Kombila kombila,
        Mon frère,soit je suis d’accord d’être naifs et ignorants, mais je voudrais vous poser une question: quelle armée mate la population désarmée à chaque protestation issue d’un mécontentement suite aux résultats des élections truquées? Arrêtez svp, comme par hasard notre Armée a des armes lorsqu’il s’agit de s’en prendre à son propre peuple. Tout simplement pathétique, arrêtez vos excuses à 2 balles.

    • Francky dit :

      le pouvoir n’appartient pas à l’armé, mais au peuple! il ne faut pas calquer ce qui se passe ailleurs bêtement. Blaise était un militaire venu au pouvoir par coup d’état en tuant son meilleur ami le 15 octobre 1987 aux environs de 13hr, heure locale. le peuple doit le sanctionner s il le veut bien !! 2016 n est plus loin!!

  4. OBAME NGOMO Télesphore dit :

    Très belle analyse. Félicitations.
    Ce débat de fond est posé maintenant, parce que la presse proche du palais présidentiel a manqué de modestie et de professionnalisme.
    Je l’avais souligné dans mon journal « Le verbe de NGOMO » en titrant: Et si on parlait d’acte de naissance? », tellement la Griffe et le Scribouillard n’arrêtaient pas de taxer Jean Ping et Jacques Adiahénot d’étranger, d’inéligibilité à la présidentielle de 2016. L’arroseur arrosé.
    Le problème posé est complexe car si Ali Bongo souhaite se présenter en 2016, quel acte de naissance va t-il mettre dans son dossier? Celui donné en 2009 qui a un caractère faux ou un autre?
    S’il présente un acte de naissance différent de celui de 2009, il va lui être demandé, pourquoi l’acte nouveau est différent de celui d’il y a 7 ans, pour la même personne?
    S’il ne présente pas d’acte de naissance à son dossier, il sera forcément rejeté. Dossier irrecevable.
    S’il tente de modifier la Constitution, il peut s’attendre à vivre le syndrome Compaoré.
    Le problème est complexe.
    Par ailleurs, la Cour constitutionnelle et la CENAP pourraient être invités à s’expliquer sur la validation d’un acte de naissance au caractère faux.
    Seule un dialogue national pourrait favoriser un « tabula rasa » où ces questions ou les erreurs du passé de tous pourraient être définitivement enterrées. De cet accord, toutes les institutions n’auront certainement plus le même visage.
    TON.:

    • La Fleur Rose dit :

      Monsieur Télésphore, il n’y aura pas de « tabula rasa » pour enterrer les erreurs du passé tel que vous le souhaitez.
      Ali sera bel et bien candidat à l’élection présidentielle de 2016 et les gabonais auront à choisir entre deux projets de société: le PSGE ou le livre de Pierre Péan pour l’oposition gabonais.
      Qui vivra verra.

  5. olivier dit :

    Meme, l intervention D ali sur le sujet ne peut pas changer grand chose,son acte de naissance présentée a l élection 2009 est si faux que ça saute a l’œil. La plus grosse erreur du système PDG et de la famille Bongo, c est de ne pas lire les signes des temps, les époques ont changées, les peuples aspirent a plus de liberté, avec le développement des NTIC rien n est plus secret alors dans un tel contexte il faut s’adapter mais non, on nous sort des truc comme on vous connait, laisse nous avancer ou pire le chien aboi… un moment ou a un autre ça va exploser c est sur.

    • Le citoyen libre dit :

      Pascaline Bongo dit que la caravane ne passe plus elle s’arrete pour voir les chiens qui abois(Le peuple) mais nous lui repondons que nous n’allons plus aboyé mais nous allons mordre toutes ces personnes qui sont dans la caravane des malheurs des gabonains.

  6. stop la dit :

    Merci monsieur pean, sauveur du gabon, l’avocat des oprimes.

  7. KDA dit :

    les pedegistess sont au pied du mure! l’heure est la vérité, on a plus besoin de vos slongant ni vos discours de politicienn.ns voulons votre plainte contr pierre si vous n vous reproché de rien!
    personnellement j suis sûre qu’il ne porterons pas cette plainte car ils sont si malin qu’ils ont déjà vue la défaite et la chute de leur grand émergeant.mais comme ls habitudes sont têtu, ils vont continué dans les temoingnes qui n’ont pa de sens, ni tête ni queu […].
    un seul conseil gratui:appelle à une concertation politique ou vs allé demander pardon au peuple gabonais pr tous ses mensonges.et vs démissionner trankilemn.le plus tôt sera le mieux car il faut éviter la colère du peuple.
    Attention la fièvre j’allai dire l’épidémie 《compaore》n’est pa totalement éradiqué en Afrique..

  8. PIP dit :

    Il est mal vu d’ecrire long ici. Aussi j m’en excuse auprès des admi et des lecteurs car le sujet en vaut la peine.Si tu es aveugle, entoure toi d’hommes qui voient et observent…si tu es muet, entoure toi de ceux qui parlent. Si tu es sourd, prends ceux qui entendent et écoutent… Au fil de la constitution des différentes équipes ministérielles, le mauvais casting était perpétuellement si criard que mm dans les bars de makongogno le dernier villageois niveau « -beaucoup » pensait pouvoir mieux faire. Pourtant, les débuts semblaient prometteurs. Le nettoyage de l’administration à soulévé tant d’anthousiasme (mais hélas pas de résultats jusqu’alors), l’émission télévision pluriel qui était l’œil et les oreilles nationaux du président a simplement était silencieusement mais efficacement éclatée par des proches dont les révélations mettaient en mal. Le smig n’a pas augmenté. Les 5000 maisons ne sont pas sortis de la terre. La corruption et le vol inquiétants ayant atteint le dernier niveau le plus critique ont fait apparaître une nouvelle classe de hauts fonctionnaires puissants et multimilliardaires en moins de 5 ans. Quant à la moralité qui est en alerte rouge, elle fragilise et détruit le noyau familial. Il est devenu de plus en plus fréquent que les pères ou les mères prennent possession de la virginité de leurs rejetons pour s’assurer une promotion qui les mettrait à l’abri du besoin. Quand il ne s’agit pas de leurs propres rejetons, les prédateurs lancent leurs appâts devant les lycées et collèges pour attirer nos jeunes enfants que les parents envoient à l’école au prix de lourds efforts quand on sait combien coûtent la scolarité et le transport. Un réseau de prostitution inter lycée -collèges de la capitale avait été démantelé et la liste des clients établis par les filles en tête du réseau était composée en majorité de ceux qui se targuent du titre de ministre et à qui on fait déférence. Le mal est profond…les maux nombreux. L’avenir est un flou total. Ceux qui entourent le président semblent maintenant être les seuls à voir clair et nous rassurent d’un futur prometteur et émergent d’ici 2025 à l’issue d’une gouvernance aujourd’hui farouchement rejeté par un peuple à qui le tsounAli initial avait fini par tuer le mauvais goût des événements ayant suivis les élections présidentiels.
    Au finish, Ali saura t-il sortir indemne de tous ces scandales sont l’accumulation a atteint son paroxysme? Pas si sur. Car premièrement, l’homme lui même d’abord s’est revélé et ne montre pas vraiment des qualités à la hauteur de sa mission. Deuxièmement son casting est composé des individus qui n’ont pas pour ambition de parer ses défauts. Au contraire leur préoccupation est de consolider une place autour de lui pour mieux le contrôler à leurs propres fins grâce à sa naïveté. Et à côté, ceux qui l’ont fait roi (les institutions déjà teintes en noir et désormais apeurés et fragilisés par des hommes indignes de les diriger) ne sont pas pour le redresser. Quant au PDG, il est devenu un groupe d’esclaves apeurés et incapables de traduire la moindre pensée constructive.
    Le problème c n’est pas donc seulement Ali. Mais aussi les hommes qu’il a choisis. L’un d’eux, puissant manager du budget et multimilliardaire en quelques années disait : « on a le pouvoir et l’argent, et on contrôle les institutions. Donc on s’en fout de l’opposition et cela vaut pour tous les gabonais »…On raconte aussi la joie du très puissant multimultimilliardaire qui avait sauté à l’annonce de la victoire d’Ali en criant « à nous les milliards ». Les autres quant ils n’insultent pas se font appeler « nouveaux rois des teke » et autres…la légion étrangère dont avait loué les compétences assiste au spectacle non sans se servir pour suivre l’exemple. Quant aux institutions, elles sont nues sous les toges. Et tout ça on connait car le peuple est désormais mieux éclairé et plus exigeant à la capitale (qui compte plus de la moitié de la population du pays). Il attend impatiemment de les sanctionner et demander des comptes à un groupe qui n’a pas su prendre en main la destinée d’un pays qui leur a offert toutes les facilités….

  9. obagome dit :

    Une très belle analyse. Voilà le vrai débat de fond est lancé. En 2016, avec quel acte de naissance fournira t-il au dossier? Dans tous les cas et au regard de la tournure que prennent des évènements, il ne nous pourra plus briguer un second mandat . c’est juste une question de temps maintenant quelque soit ce qu’il pourra prononcé comme discours, la seule qu’il devra lui permettre de se présenter c’est bel et bien l’acte de naissance.

  10. Victor Mabe dit :

    Je suis désolé si je mets fin à l avalanche des félicitations concernant l article de Roxanne Bouenguindi que je trouve fait de bric et de broc. Oser prétendre que l ouvrage du truand et nostalgique de la Francafrique Péan renforce les positions de Ping et Adiahenot c est ne pas connaître le Gabon et ses réalités.
    Dites moi est ce que refuser la République des mallettes c est être arrogant?
    Est ce que renforcer la bonne gouvernance c est être arrogant?
    Est ce qu accepter de se faire insulter par les journaux sans réagir c est être arrogant?
    Est ce qu exiger la compétence chez les gabonais c est être arrogant?
    Eh ben moi Victor Mabe je suis fier de mon pays de mon Président et de son ambition.

    • OBAME NGOMO Télesphore dit :

      Tu as le droit de t’exprimer librement comme nous d’ailleurs.
      Ton intervention a été lue. Mais hélas, tu es hors sujet.
      La question n’est pas de faire dans l’émotionnelle. Il faut apporter sur la table « arguments » contre « arguments », « preuves » contre « preuves » afin de clore ce débat.
      Pour l’instant, je ne prends aucune position mais je relève le débat de fond qui devait être posé en 2016 mais « heureusement » ou « malheureusement » il arrive maintenant sur la table.
      Que Pierre Péan ait voulu marchander son livre ou pas, en quoi cela répond ou contredit les affirmations énoncées?
      TON.:

    • tu reves dit :

      c’est quoi pour toi la bonne gouvernance?, c’est l’organisation selon toi, de carnaval? de courses de moto, de New York Forum? de marathon, d’avoir une première dame qui vit à Londres au frais de l’Etat? de s’acheter des voitures de luxe rivalisant avec les émirat… c’est selon toi, faire du bruit de facette pour tromper les gabonais comme toi? avait -on besoin de la marina? Quel compétence parler? sont-ils compétent eux même? car si cela ne marche pas, un chef doit d’abord se remettre en cause avant de traiter les autres d’incompétents

      • La Fleur Rose dit :

        Tu reves, de quoi revez vous au point de ne pas voir la réalité.
        C’est plutot vous qui devriez vous remettre en cause.
        Dans tous les cas, Ali a un rêve éveillé et une ambition pour le Gabon.
        Attention, si le livre de Pean vous fait rêver, vous êtes sur un nuage.

  11. charly dit :

    C’est un fait, ALI BONGO n’a plus aucune crédibilité, en plus de sa gestion chaotique du pays( Libreville est devenue une décharges a ciel ouvert, ou les populations vivent au milieu des poubelles, l’éclairage publique disparaît, une administration partout bloquée, une population affamées,une jeunesse a qui on ne propose que la dépravation ET L’abandon… bref un bilan catastrophique. Ce monsieur détruit le gabon, il faut que cela cesse le plus vite possible, comment :En laissant MR ping prendre le sénat, avant que ALI BONGO ne démissionne ( avec l’assurance pour lui et sa famille d’éviter un procès)MR PING présidera une période de transition( deux a trois ans,le temps de bâtir des institutions véritablement au service du peuple,avant des élections d’abord locales, jusqu’à la présidentielle a laquelle il s’ engage a ne pas etre candidat pour favoriser l’éclosion d’une nouvelle génération d’hommes et de femmes politique.LE GABON NE VEUT PLUS DE CE ALI BONGO.

  12. charly dit :

    Dans aucun pays du monde, de telles accusations grave ne peuvent laisser un « président » sans réactions, sauf dans le Gabon D’ALI BONGO, pourquoi ne réagit t’il pas ?

  13. FILO dit :

    Combien de gabonais ont un vrai acte de naissance? s’il faut vraiment bien le vérifier, nous donnerons le pouvoir a un enfant qui serait né le jour de dépôt des candidatures au moins son acte de naissance serait vrai. Vous dérangez les gabonais qui n’ont rien a voir avec la conservation ou la prise du pouvoir; c’est une honte pour notre pays et sa classe politique.
    il y a d’autres sujets qui peuvent convaincre vos futurs électeurs. l’acte de naissance d’ALI n’est pas le futur que vous promettez aux GABONAIS. ALI est déjà président. que son acte de naissance soit vrai ou faux on ne peut plus rien changer. il reviens maintenant a ceux qui veulent prendre le pouvoir de chercher le discours et le bon discours. Cela montre que vous et péan n’êtes pas tous GABONAIS. vous subirez tous le même sort pour avoir avec les autres pillez et insulter le GABON. (je m’adresse a nos petits politiciens affairistes et tous ceux qui inspirent ces articles qui détruisent le GABON et divisent les GABONAIS au delà de la politique.)

    • LE MEDIATEUR dit :

      You are very strange!!!…Vraiment excusez moi mais à vous lire vous êtes bizarre vous ne savez pas de quoi vous parlez nous sommes sur une toile ou il s’agit d’un débat d’idée le coma des mortels dira AGORA suivez mon regard mais ce que vous débitez la est HS c.à.d 0.25/5 ne prenez pas ça mal je vous prie respectueusement la prochaine fois si vous voulez intervenir prenez la peine de suivre l’orientation du débat SVP merci Que Dieu sauve le GABON notre Pays en proie aux malfaiteurs de tous genre décriés ici et là… Amen!

  14. Le Miroir de la petite émergence. dit :

    Romane BOUENGUIDI nous a planté le décor actuel de la situation politique et sociale de notre pays.
    Le clan BONGO est aujourd’hui fragilisé,il appartient désormais au peuple de demander des comptes à la CENAP et à la cour constitutionnelle de Marie-Madeleine MBORANTSUO.
    Il y aura le moment venu des dommages collatéraux,c’est inéluctable. Ce jour là, la présidente MBORANTSUO se souviendra des paroles dites par Luc BENGONE NSI après l’annonce de la victoire usurpée de sa petite majesté. Les actes que nous posons nous rattrape un jour (à tort ou à raison ). Ceux qui ont fait le lit du tyran devront être courageux le moment venu. Dans la vie, nous avons toujours le choix… Surtout lorsque le choix porte sur le devenir d’une Nation.
    Pour l’heure : Wait and see.
    J’ai dit.

    • OBAME NGOMO Télesphore dit :

      Pourquoi dire la Cour Constitutionnelle de Marie Madeleine Mborantsuo?
      As tu lu la loi organique régissant le fonctionnement de la Cour constitutionnelle?
      Elle ne prend aucune décision sans l’avis et l’aval de ses pairs. Sa voix n’est pas prépondérante à celle d’un autre juge constitutionnel. Donc, il faut arrêter de flouter le débat.
      C’est l’institution qui aura à répondre et non un individu, fut elle présidente de cette institution.
      Idem pour la CENAP. On ne pourra entendre uniquement René Aboghe Ella. Mais tous les responsables. Il faut arrêter de stigmatiser les gens.

      • anoicu dit :

        Juste une parenthese dans ce debat , quelle institution gabonaise fonctionne vraiment selon ses textes ? A mon avis aucune , je pense donc que ce sont les individus qui representent le plus ces institutions qui sont pris pour cibles de leurs defaillances

    • mouthou12 dit :

      Dans le suite de ec que tu dis, mon frère, je retiens qu’un homme a dit: » On ne peut as te faire faire ce que tu ne veux pas faire ». A partir de ce moment, chacun est responsable de ses actes. MBORANTSUO, ELLA, ROGOMBE, NZOUBA NDAMA et les autres.Toutes ces personnes en répondront un jour devant le peuple souverain.Mais surtout qu’il ne viennent pas nous brandir le fameux:  » je n’avais pas le choix ». Car, on a toujours le choix….!

  15. NDEME SOLEIL dit :

    Le problème de l’acte de naissance d’Ali remet en cause tout son cursus scolaire. Nous savons que depuis la nuit des temps, pour inscrire un enfant à l’école, on exige son acte de naissance qui reste dans les archives de cette école. Pour participer aux différents examens (CEP, ENTREE EN SIXIEME, BEPC, BAC,etc.) le dossier doit comporter un acte de naissance qui reste dans les archives de cet examen. Alors ceux qui savent qu’Ali a appris, qu’ils nous indiquent les écoles on va fouiller!!! Il parait qu’il a eu son bac au Gabon, qu’en dit l’office du bac puisqu’il n’y avait qu’un seul centre à l’époque, celui du lycée Léon Mba.

  16. NDEME SOLEIL dit :

    Ce sont les actuels amis d’Ali qui alimentent le débat sur l’acte de naissance. Pierre Péan insiste sur les détournement de fonds qui rendent le trésor gabonais sans liquidité aujourd’hui. Personne n’ose en parler. Pourquoi?
    Foutaise le peuple saura réagir à sa manière et en son heure!!

  17. Bouka Rabenkogo dit :

    Peuple gabonais mercredi 29 octobre 2014 paraissait en France « Les nouvelles affaires africaines », le dernier livre du journaliste d’investigation français Pierre Péan, connu entre autres pour avoir écrit un premier livre intitulé « Affaires Africaines » en 1983, lequel avait été interdit de vente au Gabon. C’est le même Pierre Péan qui avait dévoilé le passé pétainiste du président François Mitterrand dans un autre livre sous le titre de « une jeunesse française ».
    Monsieur Pierre Péan, quelque soit la nature de ses intentions, révèle des informations graves sur la personne garante aujourd’hui des institutions de la République et qui occupe la noble fonction de Président Chef de l’Etat Gabonais.
    Une information aussi grave, qui terni l’image de notre pays et souille la fonction de Président de la République, nécessite une clarification totale du concerné sur sa véritable identité.
    Le peuple souverain gabonais ne peut plus souffrir de voir à la tête de son pays un inconnu à l’identité douteuse.
    Nous demandons à monsieur Ali Bongo Omdimba suite à tout ce qui précède de suspendre son activité en tant que Président de la République Chef de l’Etat, jusqu’à ce que le doute soit totalement levé sur son identité.
    Que les institutions de la République, garantes de la Loi, des textes constitutionnels et réglementaires informées, assument leur responsabilité dans le cadre de la vacance de pouvoir ainsi constatée.
    Le peuple gabonais tout entier appel Ali Bongo Ondimba au sens de l’honneur, au respect de l’éthique et de la morale Gabonaise.
    J’appel le peuple gabonais à l’organisation comme nos ancêtres nous l’on toujours indiqué en pareille circonstance de la « Grande Palabre Gabonaise ». Celle-ci nous permettra de faire le Bilan de parcoure du millénaire qui s’est achevé en 2000 et fixer le Cap du nouveau du millénaire.
    L’Afrique en général et le Gabon en particulier, ne peuvent plus se permettre de rater ce nouveau millénaire par l’inobjectivité des querelles et de la distraction de la politique politicienne orchestrée par des blancs à la peau noire pour l’intérêt de l’occident et pour la perpétuation de l’ordre colonial.
    Ce nouveau millénaire, nous impose de nous distinguer du modèle illusoire de la société occidentale, qui a prouvé ses limites quand au respect de l’Humain pour privilégier et imposer la mystique de la « matière », élaboré par de soi-disant éclairé dans des laboratoires qualifiés par eux « ateliers ».
    L’Africain et le Gabonais en particulier a pu à la fin du dernier millénaire se réapproprier, tous les outils spirituels, scientifiques et technologiques autrefois embrigadés par l’occident pour leur seul intérêt. N’ayons plus peur. Cessons de nous faire distraire. Nous sommes le « Berceau de l’Humanité », le « Flambeau des nation » et la « Lumière des civilisations ». Sans complexes, ce Millénaire est Africain. Mettons nous au travail.
    La « Grande Palabre Gabonaise » est un impératif.
    Michel Bouka Rabenkogo
    Membre de la Conférence Nationale de 1990;
    Membre de la commission des institutions;
    Membre créateur d’EKAMA;
    Membre de la FESYPAG;
    Ancien membre du Comité central PDG;
    Ancien candidat à l’élection Présidentielle 2005;
    Commissaire CENAP Election présidentielle 2009.

  18. OKOSS dit :

    Des membres de la communautés IBO clament avec fierté que le président gabonais est un des leurs.
    https://www.youtube.com/watch?v=QEn_E3X14Ks

  19. moreau dit :

    Ai je perdu la mémoire ? Lorsque je suis arrivé au Gabon, je suis également un gabonais d’adoption,on m’a toujours présenté Alain Bongo comme étant le fils adopté du président ajoutant à ce dernier une aura de générosité. On m’aurait menti toutes ses années? Ou est ce aujourd’hui ? Je suis confus ! Quand au rôle de la cour constitutionnelle, nous avons tous vu sont rôle : depuis les accords de Paris qui garantissaient une paix civile, elle n’a eu de cesse de raturer, biffer, escamoter en un mot trahir l’esprit et la lettre de ses accords qui me semblent encore aujourd’hui une bonne base améliorable sans doute…Mais ce débat politicien cache l’énorme étendue des dégâts économiques, les détournements massifs et répétés(les caisses de l’état sont vides à l’heure actuelle sans que personne ne soit inquiété, il y a même un ministère qui lutte contre l’enrichissement illicite…Sans succès, les enfants de l’école primaire en savent plus long sur le train de vie aberrant de certains de nos concitoyens )Merci à mme Bouenguidi pour ses articles tout en finesse qui me rappelle certain article de « la clé » malheureusement disparue

  20. Soi-Même dit :

    Au plus fort de la dernière campagne des crimes rituels, mon âme était fortement abattue. Mon âme était d’autant plus abattue qu’étant à Libreville, j’avais du mal à accepter que pendant que je dormais avec les miens, de jeunes filles étaient exécutées chaque semaines dans la forêt du cap estérias. C’est ainsi que j’en avais pleuré et crié à l’Eternel.
    L’Eternel me rassura qu’IL allait mettre fin bientôt à ce système de choses. Comment ?En envoyant l’Etranger anéantir le régime actuel.Chers amis, ce que vous voyez maintenant n’est que l’ombre éloignée de la bourrasque à venir. Le Gabon de par son histoire est intimement lié à la notion d’étranger. C’est de l’étranger que vient le joug dur qui assujettit le gabon, et c’est par l’étranger que le gabon sera libéré de ses chaînes. Ainsi m’avait parlé le Seigneur.
    J’avais dit au fondateur blanc de ce site, peu avant son décès, sous le pseudo DIBAAL DI PITE, en débattant sur l’homosexualité que la france des années 2020 sera méconnaissable (il en sera d’ailleurs de même pour les états-unis).
    La fragilisation de ces deux grands ennemis du gabon aura une conséquence directe sur notre affranchissement.
    L’étranger a commencé à attaquer de manière acerbe ce régime sous la forme d’un journaliste, sous peu, il reviendra sous la forme militaire achever le travail.

  21. eternite dit :

    Une concertation nationale pour en arriver à quel résulatT? des accords de Paris bis ou de Libreville?
    Nous avons vu ce que la Conférence nationale a donné, elle a conforté le rôle de OBO en lui permettant de conserver et d’user de l’artcile 26 ( celui qui nomme aux emplois et compétences )…
    Si concertation nationale il doit y avoir, elle doit réduire significativement les rôles et attributions du PR actuel et créer un comité se « sages » pour organiser la transition dans les 6 mois à venir.
    Les membres de ce comité de « sages » ne devraient pas se présenter à cette élection présidentielle, ainsi que l’actuel PR; les présidents des institutions parlementaires et judiciaires actuelles devraient également etres demis, traduit devant les tribunaux ( sauf si ils reconnaissent explicitement avoir dupé et failli à leurs fonctions ).
    L’armée gabonaise doit pour l’instant rester dans les caserne, c’est aux peuple de sortir et manifester son desir de changement et ensuite, si l’armée voit le peuple en danger ( et non la république ) elle se devra alors d’etre garante de la protection des plus faibles.
    L’histoire est en marche, monsieur Bongo, n’a qu’une option, se retirer en demandant la garantie et l’immunité pour sa famille uniquement ( pour celle de ses collarateurs, chacun portera sa croix ).

  22. philippe vouette dit :

    Ceux qui ont été à l’école primaire de Port-Gentil (St Louis) comme moi ont due chanter :
    OU SONT PASSE LES BEAUX JOURS DE L’AMITIE …. !!!!!
    ALI 2009 va te poursuivre ….toute ta vie ….les gabonais qui sont morts ce jour la (Election 2009 A Pog) vont te poursuivre ……jusqu’à ce que tu demandes pardon…….
    Comment une seule famille peut-elle mettre au sol tout un pays….toute une nation …..Je parle D’une seule Famille….. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! des gens viennent applaudir A se rompre les doigts en disant que des routes, des écoles, des ponts sont fait …comme si cela mérite d’être un événement.
    50 ans et vous dites que des réalisations ont été faites lorsque 70% du budget d’investissement se volatilise …on me parle de route , de ponts…que le champion en faux et usage de faux en tout genre dit avoir eu A faire……
    Mais Mon DIEU !!!!Nous sommes surendetté…..et nous ne connaissons pas toutes les histoires…..lorsque le GABONAIS va ouvrir la boite de pandore et découvrir jusqu’ou vous nous avez impliqué dans la chute de notre pays ….cela va devenir intenable …..
    Que les institutions Gabonaises éclaboussées par l’affaire pean réagissent des maintenant pour l’honneur de la nation ….POUR L’HONNEUR DE LA NATION….
    ALI BEN EST QUI POUR TRAITER LE GABONAIS DE PARESSEUX …lui qui passe sont temps A jouer !!!!!
    FAUSSAIRE !!!!!
    Il faut vraiment être viscéralement méchant pour accepter de faire ce que vous faites A notre pays ….car vous hypothéqué le devenir de notre nation ….
    Cordialement,
    Philippe Vouette

  23. La Fille de la Veuve dit :

    Gabon – Code Pénal
    Article 121 : – Quiconque aura fabriqué un faux passeport, une fausse carte d’identité ou tout autre document délivré par les administrations publiques en vue de constater un droit, une identité ou une qualité, ou d’accorder une autorisation, ou aura falsifié l’un de ces documents originairement véritable, ou aura fait sciemment usage de l’une de ces pièces fausses ou falsifiées, sera puni d’un emprisonnement de un à cinq ans.

    • le_kap dit :

      La Fille de la Veuve, j’admire toujours votre objectivité.
      Ce qui m’inquiète, c’est qu’a ce jour aucune action juridique n’a été entreprise a l’encontre de celui qui a enfreint les fameux articles que vous citez.
      Disons que si. Luc Bengone Nsi avait porté plainte contre X pour usage faux, mais sa plainte n’a pas été reçu, soi-disant que «La Cour Constitutionnelle n’entend pas se laisser dicter une conduite à tenir».
      Finalement, que faire si tous les gabonais prennent leurs plumes pour réitérer cette plainte et que cette plainte est toujours irrecevable?

  24. Victor Mabe dit :

    Mon cher Telesphore quelle crédibilité donner à quelqu’un qui écrit un bouquin du fait de l échec de sa tentative d escroquerie?
    J aimerais d ailleurs que Gabonreview puisse nous faire un article sur les révélations de Mediapart. Je tiens à preciser que le journal en ligne Mediapart est très credible.
    Quelle crédibilité donner à quelqu un qui n a présenté aucune preuve dans bouquin?
    Pour qu il y ait un débat preuves contre preuves, il faut que l intéressé ait présenté des preuves au départ. Mais malheureusement c est pas le cas on a droit à un assemblage de kongossas et d affirmations gratuites de quelques journaux Gabonais et hommes politiques gabonais en quête de repentence pour tout le mal qu ils ont fait au peuple gabonais.
    Pour terminer je tiens à remercier Gabonreview de laisser des opinions contraires s exprimer.

    • mouthou12 dit :

      A vouloir noyer le poisson, on finit par boire la tasse…..!
      Une vraie trouvaille que d’utiliser Mediapart pour discréditer M. Péan. Mais, encore une fois, il n’y aura que des incrédules pour croire à de telles balivernes. Mediaprt ne publie que des informations venant de toute part qui lui sont envoyées et annoncées comme vraies. Si nous nous souvenons tous, le même Mediapart avait publié que Ali n’était pas vainqueur de l’élection présidentielle d’Août 2009……

    • PIP dit :

      Le Kongossa est volatile, sans preuve, sans référence, sans origine fixe, qui prend souvent naissance dans le bar, fait le tour de lbv et de la toile puis finit emporté par le vent dans la nature…Pour Pean, s’il s’agit d’un Kongossa, alors il convient de parler d’une autre forme de Kongossa : le kongossa ecrit, qui cite les sources et analyse, qui revisite l’histoire et nous amèene à nous interroger…C’est un Kongossa de livres, plus dangereux, parceque pas du tout emportable par le vent… La partie adverse repond d,ailleurs par un Kongossa selon lequel elle n’aurait pas cédé à la tentative d’escroquerie de la part de Pean qui reclamait des milliards contre l’annulation de la parution de son Livre. Moi, de mon point de vue, le regime a bien fait de ne pas ceder, car ce faisant, il a permis à Pean de publier son Livre et de livrer les resultats de ses investigations au gabonais. Mais ils se connaissent en haut lieu. Le regime n’avait peut être pas assez confiance à Pean quant à l’annulation de ce livre s’il avait cédé à la demande de Pean. A la fin, pean aurait peut être raconté dans son livre comment il aurait encaisser des milliards de la part du regime pour pas que son livre apparaisse…Il aurait ainsi achevé une fois pour toutes le regime…. C’est un argument qu’il pourrait apporter s’il sort du silence si jamais les accusations s’avèrent excates…

    • okoura dit :

      vous êtes vraiment courageux à défendre l’indéfendable. Heureux êtes vous qui avez les comptes bourrés d’argent pendant que 99% de Gabonais tirent le diable par la queue pendant que l’argent de leur pays va du benin dans les paradis fiscaux en passant par le Mali.J’ai une seule chose à vous dire il y a un seul jour pour le bon Dieu et sachez que le rayon de Dieu n’ a pas de gomme

  25. Mabenda dit :

    Très bon papier. Problématiques bien posées. Un chef d’oeuvre à enseigner dans les écoles de journalisme. Félicitations à l’auteur et à la Rédaction.

  26. manondzo dit :

    Je dis et je répète, tant qu’une instance légale n’aura pas demandé à Ali tout ce que vous aboyez là, Ali, étant déjà Président, ce qui suppose qu’il a remplit tous les critères, va allègrement continuer à se représenter comme l’admet la constitution gabonaise et gagnera toujours tant que l’opposition ne se limitera qu’à ce genre de querelles!

    • PIP dit :

      Si tu es de ceux qui entourent Ali, évite de venir faire des commentaires ici. C’est un sage conseil. OBO disait « Quand le chien aboie, la caravane passe ». Il avait les moyens de sa politique. En toute règle il y a une exception toujours. Il y a donc des aboiements face auxquels la caravane ne peut passer. Des accusations graves visent notre première institution. Elles ne viennent pas d’un journaliste en herbes. Il s’agit de Pean qui connait les couloirs du pouvoir gabonais mieux que les gabonais lamda que nous sommes. Ce livre que tous les gabonais sont entrain de lire a fini par semer le doute dans l’esprit des citoyens et les amènent désormais à percevoir le régime d’un tout autre oeil jusqu’à ce que ce dernier réagisse de la manière qu’il faut. Des ministres, des DG, des présidents ont demissionnent en plein exercice de leur fonction suites aux revelations des scandales…Si comme toi, ceux qui entourent le président continuent à venir se pavaner sur la toile en traitant de haut ces faits de « querelles », pour moi, ça prouve encore qu’il est mal entouré…Donc vaut mieux se taire plutot que de pourrir encore la situation deja delicate…

    • PIP dit :

      Le porte parole a d’abord planté le decors en traitant vulgairement ces faits de « Kongossa ». C’est dans son habitude de traiter avec légèreté des problèmes sérieux…Ensuite Pascaline est venue enfoncer le clou dans un interview en différé qu’elle aurait pu modifier pourtant à temps si dans le groupe qui l’accompagnanit quelqu’un avait eu la capacité d’anticiper sur ces comparaisons insultantes envers la nation…Les enfants MBA sont venus achever le tous dans un recit totalement confus…C’est trop de maladresse. Au final, avec un entourage pareil, Ali trimballe comme une gros caillou dans sa chaussure déjà si lourde au pas…

  27. jupiter dit :

    un lien intéressant, un article paru dans Mediapart
    http://www.gabonactu.com/ressources_g/actualites-gabonactu-2013.php?Article=3668#.VF4TRMnz3IV
    Un article assez édifiant. Nous ne sommes pas au bout des révélations.
    Ah Gabon mon pays que de convoitise!!!!! Tes fils et filles qui te pillent, te vendent et ces pourfendeurs de la françafrique qui attisent le feu pour mieux profiter.
    A qui profite toutes ces révélations qui franchement n’en sont pas? Juste parce que c’est estampillé Pierre Péan?

  28. jeremy dit :

    Victor mabe il n y a pas que cette affaire dans le livre. Que pensez vous de l évaporation de nos devises vers des pays inconnus? On peut quand même s interroger sur la gestion des finances su pays sans être contre Ali. On peur s interroger sur la mise à l écart des gabonais dans la gestion de leur pays. On peut s interroger sur le fait que les secrets du pays soient gérés par un compatriote ayant acquis de fraîche date sa nationalité. Monsieur je n ai jamais vu ça dans aucun pays. Savez vous que plusieurs étrangers sont en train de fuir le gabon avec leur passeport gabonais? Oui tôt ou tard ce sont les gabonais qui vont se retrouver seuls devant leur destinée mais plus pauvre que jamais car on nous aura tout pris. Réfléchissez y

  29. borouz dit :

    Bassé , qel dossié fournira t-il en 2016? Les autres candidats. Ainsi que la cenap auront un regard ,. Deux phrases ont atirés mon attention : sens republicain et conscience historique.tous ceux qui ont fait des faux temoignages laissent des traces indelibiles pour l’histoire .on parlera d’eux vraiment negativement que leurs progenitures ne seront pas fiers d’eux

  30. Ocimus## dit :

    Pierre le puant a éclaboussé!!!!,ça sent mauvais du côté de la présidence et du pouvoir en place:
    -Diplômes contestés?
    -Originalité douteuse
    -Mauvaise Gestion
    -Copinage et pratique mafieuses
    Alors quel image le président donne du Gabon????lui même étant douteux??
    Yobé na Yobé????
    Il faut que le président ou ses collaborateurs nous publient :
    -Les Copies Conformes et Certifiés de tous les Diplômes du Président
    -L’Original de l’acte de naissance ,sinon les résultats du Test d’ADN
    Mr Le président Ya Ali le Peuple attend ……..Ökioooooôoooo

  31. ziza dit :

    Vous avez du temp a perdre à parler des choses qui non pas d’importance j’aurai souhaité vous s’avoir réfléchir de comment aider notre gouvernement à rehausser notre pays et le peuple Gabonais.Vous ignorez qu’a force de raconter des bêtises sur l’acte de naissance de notre président de la république et autre bêtises nous ne pourrions jamais avancer tenons nous la main et avançons ensemble pour faire du peuple Gabonais un peuple fort et unis et travailleur pas l’image que les autres nation qui nous colle à la peau de fainéant et beau parleur.

    • Léa dit :

      @ Ziza. Tu n’as vraiment rien compris à la gestion d’un pays. Le president donne les orientations au gouvernement qui execute. Ceux qui sont au pouvoir sont chargés de trouver des voies et moyens pour sortir le pays du marasme dans lequel il se trouve. Si le president et son gouvernement en sont incapable, aux prochaines élections on change. Ce n’est pas a nous et encore moins à l’opposition de faire le travail des dirigents. Et on changera le prochain s’il n’est pas a la hauteur. Les PDGistes le Gabon nest pas une épicerie’ arrêter de le gérer comme tel.

    • okoura dit :

      il faut bâtir le Gabon avec d’autres personnes que l’équipe actuelle donc vous faîtes partie

  32. DISSA dit :

    Je voudrais me permettre de savoir pourquoi BONGO père ni Mme mère d’Ali qu’il soit adoptif ou naturel n’ont pas entrepris la simple démarche administrative soit déclarer la naissance de cet enfant pour le cas d’un enfant naturel ou faire une adoption légale en tout cas ils en avaient la possibilité ou encore les moyens. Si Alain BONGO de son nom connu par tous les gabonais des années soixante et soixante dix n’est pas le fils naturel ou légitime pourquoi a-t-il très tôt fait lui le plus jeune membre du bureau politique du PDG et haut représentant personnel vers les années quatre vingt? Il s’arrête là il lui confit le Ministère de souveraineté en 1990, Député pour le compte de Bongo- ville pendant plus de deux législatures, quelle dossier présentait-il pour que sa candidature soit valider? Sachant qu’Alain n’étant pas son fils naturel ou légitime il le prépare à sa succession en le premier vice président du PDG, et après seul vice présidence, lui confie une fois un autre le Ministère de souveraineté et créer une situation sournoise sachant qu’après sa disparition le Gabon va disparaître aussi en introduisant le fameux article 10 dans la constitution qu’il savait que ça posera problème un sérieux lorsqu’il s’agira de l’élection de son successeur car le Gabon est écumés d’étrangers naturalisés gabonais. La grande question que je me pose depuis l’affaire du livre de PEAN, est celle de chercher à savoir si BONGO n’était pas dans la même logique que le Père de Ivory coste… NDE BENYE. Soyons vigilant car le spectre de la côte d’ivoire plane sur le Gabon car je me souviens d’un article de jeune qui avait prédit déjà

    • Le citoyen libre dit :

      Le Père Bongo n’a jamais voulu qu’un étranger gère le Gabon, c’est pour cette raison qu’il avait introduit l’article 10 parce qu’il savait qu’avec cette article que les gabonais auront la possibilité d’empêcher un étranger d’être président par la voie l’égale. En 2009, Big Papa(ALI) n’ayant la possibilité de prouver qu’il est gabonais d’origine et n’ayant même pas un acte de naissance depuis 1959 était obligé d’établir un faux acte de naissance qui est interdit pas la loi, par Asselé et sa Belle-mère la présidente de la cour constitutionnelle qui avait validé cet acte de naissance de force ou volontairement pour protéger leurs acquis ont trahis le nation et doivent être également traduits devant la haute cour de sureté conformément à la constitution.

  33. sven markus dit :

    Votre président est un FAUSSAIRE il est par conséquant hors de question de baisser la pression sans que la lumière soit faite
    sur ses véritable origines .Ce que nous lui demandons en tant que citoyen de ce pays c’ est qui apporte son acte de naissance original lui ayant permis de se faire établir un FAUX acte de naissance à la mairie du 3ieme arrondissement de libreville en 2009. La constitution gabonaise ne doit pas être un chiffon pour Ali Bongo et ses complices .

  34. DISSA dit :

    Je voudrais me permettre de savoir pourquoi BONGO père ni Mme mère d’Alain qu’il soit adoptif ou naturel n’ont pas entrepris la simple démarche administrative soit déclarer la naissance de cet enfant pour le cas d’un enfant naturel ou faire une adoption légale en tout cas ils en avaient la possibilité ou encore les moyens. Si Alain BONGO de son nom connu par tous les gabonais d’avant les années quatre vingt n’est pas le fils naturel ou légitime pourquoi a-t-il très tôt fait de lui le plus jeune membre du bureau politique du PDG et haut représentant personnel vers les années quatre vingt? Il ne s’arrête pas là, il ira plus loin en lui confiant le Ministère de souveraineté en 1990, Député pour le compte de Bongo-ville pendant plus de deux législatures, quelle dossier présentait-il pour que sa candidature soit valider? Sachant qu’Alain n’étant pas son fils naturel ou légitime il le prépare à sa succession en le nommant d’abord premier vice président du PDG, et après seul vice présidence, lui confie une fois encore un autre le Ministère de souveraineté et créer une situation sournoise sachant qu’après sa disparition le Gabon va disparaître aussi en introduisant le fameux article 10 dans la constitution qu’il savait que ça posera un sérieux problème un jour lorsqu’il s’agira de l’élection de son successeur car le Gabon est écumés d’étrangers naturalisés gabonais. La grande question que je me pose depuis l’affaire du livre de PEAN, est celle de chercher à savoir si BONGO n’était pas dans la même logique que le Père de Ivory coste… NDE BENYE. Soyons vigilant car le spectre de la côte d’ivoire plane sur le Gabon.Je me souviens d’un article de jeune qui avait prédit déjà la situation de la cote d’ivoire pour le Gabon, après la disparition d’ Albert Bernard MBONGO. Mais comment faire?…

    • Vert-jaune-bleu dit :

      LE RESPECT DE LA CONSTITUTION C’EST TOUT
      DISSA, Bongo a réalisé au fil de tous ses mandats truqués que les fonctions qu’il offrait à son fils adoptif était de grosses erreurs de sa part; et d’ailleurs ces nominations dont bénéficiait le prince Ali Bongo n’étaient pas la seule erreur du vieux. A la fin de ses jours il a reconnu que Dieu ne lui avait pas donné le droit de tuer le Gabon; quand on commet une faute on tente de se rectifier d’où le fameux article 10 pour barrer la route au prince qui voulait déjà devenir roi.
      Il n’y aura pas de feu au Gabon malgré les menaces que murmure Ali; le peuple restera souverain car les vrais gabonais feront respecter la constitution. Ali ne peut pas se présenter à l’élection avec de faux documents; ce n’est pas Mborantsouo qui rejettera son dossier mais c’est le peuple et cela sans effusion de sang

    • Le citoyen libre dit :

      Big Papa (ALI) va partir calmement, le vent de son depart est en marche , nous allons eviter le scenario de la Cote d’Ivoire parce que le probleme est totalement different,celui du Gabon repose simplement sur l’article 10 qui interdit à Big Papa(ALI) d’etre candidat parce qu’il est un fils adoptif, nous n’avons pas un probleme avec tous les gabonais adoptifs notre constitution est tres claire. Le Gabon etant un pays democratique, le PDG a le devoir et meme l’obligation de trouver un autre candidat pour ne pas etre absent en 2016.

    • okoura dit :

      ils n’avaient pas vu plus loin que le bout de leur nez puisque la logique était qu’il mourra au pouvoir et que personne ne leur demandera les comptes puisque le Gabon est leur propriété

  35. cave canem dit :

    Et voilà l’effronté Ibo enfin prit au piège comme un rat ayant causé tant de dégâts. Son entourage, ses complices, tous dénudés et sans doute déjà enclin à la méditation pour la suite. Et voilà les GABONAIS encore une fois humiliés et honnis aux yeux du monde entier, par un président ténébreux qui n’a pu avoir son baccalauréat que par le biais d’espèces sonnantes et trébuchantes, tout comme son Doctorat rédigé par un tiers,nous dit l’auteur de l’ouvrage… Sans doute acquis à l’ idée suivant laquelle, avec l’ argent on peut tout faire et tout obtenir, notre Ibo national n’ avait hélas pas intégré dans ses desseins pervers,les mutations du monde, l’évolution des esprits et surtout la force du droit… Et nous y voilà! Les faits sont là, la loi a été gravement violée.Sanction ou pas sanction? Monsieur le Président, en sa qualité de docteur en droit ne peut ignorer les effets attachés à la filiation ! La filiation d’un individu par rapport à ses parents s’établit par l’ acte de naissance ou tout au plus un jugement supplétif. De meme que la personnalité juridique d’un individu est subordonnée à un acte de naissance.En d’autres termes , pas de personnalité juridique possible en l’absence d’acte de naissance. Chers tous, nous voici donc dans un Etat dirigé par quelqu’un qui pourrait ne pas avoir d’existence juridique! Vous rendez- vous compte? Monsieur le Président, revisitez vos cours de droit de première année sur la filiation, au besoin,interrrogez Mme AKOLI née AYO, Magistrat de son état, elle vous édifiera et vous expliquera qu’à défaut d’acte de naissance régulier, vous n’ avez juridiquement pas le droit d’etre à ce poste. Prenez donc vos responsabilités,montez au créneau au lieu de vous murer dans un mutisme coupable ou alors débarrassez le pancher! La République y gagnera…

  36. Mandela dit :

    Arrêtez les Débats, au lieu d’une Plainte contre X,
    Il faut une Plainte Contre Serge William AKASSAGA !!!
    Ali Bongo étant protégé par ses fonction, l’ancien maire qui a signé cet acte de naissance doit rendre compte et se justifier devant la justice dès qu’il y a une présumé falsification sur un des acte d’état civil qu’il a signé prend ses fonctions.
    Même si la justice n’est pas libre, si ce problème est posé ainsi on aura au moins un débat et des éléments de réponses !!!
    La société civile Gabonaise peut donc porter plaine à M. AKASSAGA pour présumé falsification d’un acte d’Etat civil mettant en doute l’éligibilité en 2009 de celui qui dirige la première Institution du pays.

    • Le citoyen libre dit :

      Non Monsieur un Chef d’état n’est pas au-dessus de la loi, si durant l’exercice de ses fonctions il viole les lois fondamentales du pays il doit destitué de ses fonctions et poursuivi en justice, ne croyez pas que lorsqu’on est président on est tout permis. Dans le cas d’ALI Bongo il avait violé l’article 10 de la constitution sur laquelle il avait prêté serment en 2009, donc il n’est plus garant de celle-ci; Si le garant de la constitution ne respecte plus celle-ci, qui doit la dans ce cas la respecter je vous demande ?
      L’exemple doit venir de la haut et c’est pas le cas c’est un dictateur qui vous gouverne par dans le faux.
      Arrêtons de crois que la justice gabonaise ne doit pas être au service du peuple. Le pouvoir appartient au people.

  37. Le Monarque dit :

    Ce Jeudi 13 nous marcherons aux cotes du FRONT Uni qui doit déposer plainte aux tribunaux et demander par là meme la destitution d’Ali Bongo le faussaire. Plus rien ne nous arretera, meme pas les forces de l’ordre!

  38. BODO-BODO dit :

    chers freres cheres soeurs si vous avez le contact de pascaline rapelez la pour moi dites lui qu’elle a oubliée de nous edifier sur les couleurs du drapeau de leurs famille le vert represente la couleur du slip de qui ?le jaune represente la couleur du tricot de qui ? et le bleu c’est la couleur du colan de qui ? pardon appelez la pour moi vous qui avez son numero de téléphone.

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