Le mutisme de la Cour constitutionnelle et de la Commission nationale électorale autonome et permanente (Cenap) n’arrangent pas les choses pour le président de la République. Tant s’en faut…

La presse locale revient sur l’argumentation de Marie-Madeleine Mborantsuo en 2009 au plus fort du contentieux électoral. © Présidence de la République/Oct. 2012
La presse locale revient sur l’argumentation de Marie-Madeleine Mborantsuo en 2009 au plus fort du contentieux électoral. © Présidence de la République/Oct. 2012

 
Il aurait pu s’attendre sinon à un soutien en forme d’explications, du moins à un partage des responsabilités à travers des justifications. Mais Ali Bongo ne voit toujours rien venir. Le 13 novembre dernier, au soir du dépôt des plaintes formulées par le Front de l’opposition pour l’alternance et Luc Bengono Nsi pour «inscription de faux en écritures publiques», le président de la République a du se sentir bien seul. Jusque-là, il avait bénéficié de l’appui des institutions ou tout au moins de leur regard bien veillant. Au point que les précédentes requêtes visant à contester son éligibilité furent ou rejetées ou classées sans suite. Avec le recul, tout ceci ressemble davantage à des dérobades qu’à des prises de position. Contrecoup de la publication du livre de Pierre Péan «Nouvelles affaires africaines – Mensonges et pilages au Gabon», l’affaire vient de prendre une autre dimension, plus violente.
N’empêche, la Cour constitutionnelle et la Commission nationale électorale autonome et permanente (Cenap) ont opté pour la stratégie du risque zéro, au point de se murer dans un silence assourdissant, inquiétant voire coupable. Hors de question pour les animateurs de ces institutions de se jeter à l’eau sans une injonction de l’ordre judiciaire. Et qu’importe si tout ceci nourrit la suspicion. Régulièrement mise en cause, accusée de partialité voire de constituer un «obstacle majeur au fonctionnement de la démocratie gabonaise», la haute juridiction fait la sourde oreille. La Cenap aussi feint de ne point entendre les demandes d’explication qui fusent de toutes parts. Du coup, le doute s’installe sur leur sincérité, leur capacité à assumer leurs actes et à se projeter dans l’avenir. Où situer les responsabilités de l’imbroglio actuel ?
Mise en cause par nos confrères Echos du Nord et Ezombolo qui reviennent sur l’argumentation de Marie-Madeleine Mborantsuo en 2009 au plus fort du contentieux électoral, la Cour constitutionnelle se retrouve accusée de fraude à la loi ou tout au moins d’amnésie volontaire. Cet épisode, qui fait état d’un renversement des charges de la preuve en marge de toute base légale, est perçu comme un aveu, la reconnaissance de l’existence d’anomalies dans le dossier de candidature d’Ali Bongo. Ayant clamé à l’époque que «la Cour Constitutionnelle n’entend pas se laisser dicter une conduite à tenir», la présidente de cette institution a reconnu, en mars dernier face à des journalistes, qu’elle est membre de la parentèle d’Omar Bongo Ondimba. Et si elle ne s’est jamais prononcée sur le principe de «suspicion légitime» qui veut qu’«un juge se récuse s’il doit juger une affaire dans laquelle il a des intérêts», elle s’est tout de même interrogée sur les responsabilités du ministère de l’Intérieur et de la Cenap. Tous ces faits donnent un sens particulier, une résonance singulière au mutisme de l’institution qu’elle dirige. Tous ces éléments accréditent l’idée d’une gêne, d’une étroitesse de la marge de manœuvre dont elle dispose dans «l’affaire Péan». Mais, tout ceci ne sert nullement les intérêts du président de la République.
Boulet
Citée par Pierre Péan qui, dans une interview à Radio France internationale, affirme disposer d’«un papier (d’elle) qui rend impossible la victoire d’Ali», la Commission nationale électorale autonome et permanente ne s’est toujours pas exprimée alors que c’est sa capacité à sécuriser ses archives et conserver des données et informations sans risque de les divulguer qui est en cause. En clair, maintenant que le journaliste-écrivain français laisse croire que c’est de cette instance qu’auraient pu partir des fuites, elle ne saurait se taire indéfiniment. Surtout que Luc Bengono Nsi affirme avoir eu connaissance de l’acte de naissance querellé parce qu’il «a été remis à plusieurs administrations dont le Cenap». Si le président de cette instance, fait le dos rond, son mutisme n’en est que plus éloquent.
Et pourtant, loin de souffler sur les braises, il semble évident que «l’affaire Péan» est encore loin, très loin de son épilogue. En cas de procès, la Cour constitutionnelle et la Cenap seront nécessairement invitées à témoigner. Pis, à l’approche de la présidentielle de 2016 elles seront inévitablement surveillées. Pour sûr, cette fois-là, le processus de qualification des candidats fera l’objet d’une attention particulière. Pour se donner les moyens de travailler dans la sérénité, la haute juridiction et l’autorité en charge des élections feraient mieux de vider cette question dès à présent. Autrement, leur silence pourrait avoir valeur d’aveu et devenir un boulet pour le président de la République. Si une objective convergence d’intérêts et sa position institutionnelle actuelle laissent à penser que la reprise en main est en marche, Ali Bongo a quelques questions à se poser quant à ses relations avec les institutions.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Minko dit :

    Il y a manifestement « Faux et Usage de Faux  » n’en déplaise à notre « sommité  » JABO
    Plus grave encore , avec quels documents ce Monsieur a pris part aux différentes élections depuis 1990 ?
    Le peuple Gabonais a légitimement le droit de savoir l’identité réel de son plus haut représentant !
    Le spectre de la guerre brandit par des esprits malsains , ne fait qu’attiser le sentiment d’un « affrontement  » inévitable pour solde de tout compte du clan Bongo-PDG !!!

  2. Le Villageois dit :

    Les liens de parenté entre Madame Mborantsuo et la famille Bongo Ondimba sont bien établis. Sur cette base, cette dame ne peut exercer la fonction qu’elle occupe. Dans le cas d’espèce, on ne peut même plus parler d’apparence de conflit d’intérêt. Le conflit d’intérêt est flagrant et grotesque. Comment peut-on parler d’état de droit au Gabon avec de tels exemples qui n’offusquent pas les gouvernants eux-mêmes ? Comment peut-on exiger les normes d’éthiques élevées aux fonctionnaires lorsqu’on les bafoue dans les plus hautes instances devant pourtant garantir le « droit » et l’ordre dans son sens le plus noble ? Pourquoi au Gabon, ce que même un enfant de 10 ans (pour reprendre la formulation d’un journaliste bien connu) trouve « bidon », semble tout à fait « normal » pour les gouvernants, adultes, majeurs et vaccinés ?

  3. L'Africain dit :

    Forcément, Ali Bongo est dans une mauvaise passe. Je ne sais pas ce qu’il va encore inventer pour nous faire oublier que son acte de naissance est faux. Ah, j’avais oublié, il devenu rappeur, chanteur, cinéaste, au moins il a une nouvelle vocation : aller chanter et danser au Nigéria. N’est-ce pas les amis ?

  4. okoura dit :

    Q’est ce qu’ elle va dire celle là? Elle sait qu’elle n’ a rien à dire qui soit crédible c’est elle qui est la pierre angulaire de tout ce désordre. qu’elle vive tranquille dans son opulence en continuant de dévaliser les Gabonais avec ses structures de luxe. La seule satisfaction pour nous c’est qu’ il y a un jour pour le bon Dieu et qu’elle n’emportera rien dans sa tombe, on a jamais un corbillard suivi d’ un coffre fort. Madame la cours constitutionnelle a fait plus de mal au Gabonais que tout le monde . Elle doit demander les excuses publiques à la Nation.Madame quelle grande responsabilité devant Dieu et devant les hommes!!!!!

  5. moutou dit :

    quelle honte pour mon pays

  6. dubois dit :

    la Cour Constitutionnelle du GABON est comme la Tour de Pise, elle penche toujours du même coté, celui des BONGO ONDIMBA, même avec un acte de naissance falsifier.

  7. sylvie mbadinga dit :

    Ho! un president sans papier!

  8. eternite dit :

    Marie Mado et Luc Aboghe Ella, voila simplement des juristes qui ont bafoué la constitution qu’ils avaient juré de faire respecter.
    Tous ceux qui défendent le PDG et qui viennent nous dire ou faire croire que les élections dans notre pays ont été régulières, je vous renvoi juste au conflit d’intéret et à la partialité de la Cour Constitutionnelle qui n’est plus a démontrer.
    Voilà une dame, qui est femme de président, mere de fils de président et belle mere du président actuel, cela en 23 ans… comment peut elle dire le droit en faveur du peuple, alors que les interets de sa famille et de ses enfants sont de maintenir « ses parents » au pouvoir !!!
    Vous etes comptables Marie Mado du malheur de notre pays et l’histoire ne vous jugera pas en bien malgré le pardon qu’un jour vous demanderez à cette nation

    • Observateur dit :

      A quel moment est-on dans la politique et à quel moment est-on dans la haine et calomnie? A quel Président a t-elle été mariée? Ça m’intéresse… Mais bon, comme ça sort de votre bouche, ou plutôt de votre clavier, c’est forcément vrai. Vous êtes sûrement officier d’Etat-civil…

      • eternite dit :

        @Observateur, relisez mes propos et dites moi lesquels vous laissent présager que je suis dans la haine et sans vouloir vous vexer, ou suis je dans la calomnie?
        Cette dame a donné 2 enfants à feu OBO ( dans notre culture Bantou, l’enfant est ce qui vous lie un homme et une femme, et il est coutume de d’utiliser le terme « femme » pour definir les relations des lors qu’il y a enfant), ou voyez vous de la calomnie et de la haine?
        simplement la vérité.autant dans ses rapports avec l’executif et dans le détournement qu’elle a fait de la cour Constitutionnelle au profit des Bongo.
        Monsieur l’Observateur, je n’ai aucune haine envers qui que ce soit, vous voulez etre interessant, faites évoluer le débat par une critique objective et non en me pretant des comportements que mon education et ma morale reprouve.

    • Makaya dit :

      vraiment, un sans-papier devenu president de la republique. Qui l’aurait meme imaginer ?

  9. témoin occulaire dit :

    j’ai la triste impression que nous passons à coté de l’essentiel car beaucoup ne cernent pas la gravité de la situation.
    De forts soupçons pensent sur notre président de n’être qu’un usurpateur. Et après avoir tout tenté il n’a pas réussi à inverser la tendance au contraire les dénégations de ses proches n’ont fait que renforcer les soupçons qui pèsent sur lui.
    Le mutisme dans lequel ali s’est muré n’a pour but que laisser couler la montre dans l’espoir de nous endormir, et force est de reconnaître que ça a l’air de bien marcher.
    1- Commment peut-on attendre des reponses de la cour constitutionnelle et de la cenap alors qu’elles sont complices de cet usurpateur? Mais votre raisonnement n’a de sens que si nous sommes dans un pays sérieux or au gabon nous avons à faire à des voyous qui ne connaissent que le discours de la force.
    2-Certains disent qu’on attend 2016 pour voir l’acte de naissance qu’il va déposer. Mais là encore nous faisons preuve de naïveté parce que ça laisee le temps aux voyous de se préparer. Et d’ailleurs comment accepter d’être dirigé pendant 21 mois par un usurpateur?
    L’inégibilité d’ali n’est pas une affaire de choix politiques pour que seuls les opposants s’emmêlent, mais plutôt une affaire d’état, qui concerne donc tous les gabonais au nombre desquels la société civile. Il faut donc que les politiques de tous bords, les acteurs de la société civile, en somme tous les gabonais donnent un délai à ali pour prouver qu’il est né gabonais, et passé ce délai, et en cas d’impossibilité pour lui de le faire, le peuple gabonais ne le reconnaitra plus comme président.
    C’est maintenant que ce problème doit être réglé, après il sera trop tard.
    Au burkina, cest la société civile et l’opposition, tous unies, qui sont venues à bout de compaoré!!!!!!!

  10. le gabonais d'en bas dit :

    Que peut on attendre de plus de cette dame.

  11. manondzo dit :

    Vous n’avez pas de choix que d’attendre 2016 pour vous présenter contre Ali, c’est ça la REALITE!

  12. LE PEUPLE GABONAIS dit :

    Je suis d’accord avec témoin occulaire.

  13. manami dit :

    Je souhaite vivement qu’un jour, nos cinéates reprennent l’histoire du Gabon sous la presidence des BONGO,car elle sera non seulement stupide et hilarante , mais surtout cela nous fera école disons une epèce de garde-fou,disons de protection contre les comportements déviants que nous avons observé tout au long de leur règne pour les génération d’après. La presidente de la cour constitutionnelle et sa bande on brillé par leur népotisme avéré, elle étant la maîtresse du president defunt, aujourd’hui belle mère de l’actuel president qui se retrouve coincé dans un imbroglio juridico-administratif sans issue.Sous d’autres cieux, si ce n’est la démission c’est la prison pour haute trahison .TOUS autant qu’ils sont,ils savent qu’ils ont engendré un monstre, et maintenant qu’il faut le nourir Amen. En tout cas eux nous disent souvent »NUL N’EST SENSE IGNORE LA LOI ».Donc force reste à la loi. A nous revoir en 2016 tchaooo!!!!!

  14. keller dit :

    Les documents confidentiels entre les mains des individus, il y a un reseau et c’est la prevue certaine que le chef de l’Etat est mal accompagne.

  15. luc dit :

    un président de la république en fonction soupçonnée de faux et usage de faux, comme un vulgaire délinquant. ça dépasse l’entendement. Aidez moi à comprendre

  16. gabin dit :

    l’Eta gabonais au nom duquel une plainte à minima, a été déposé contre Pierre Péan serait bien inspiré à laver l’honneur bafoué de son Président en présentant son acte de naissance original, celui daté de 1959.
    l’Etat

  17. le puant dit :

    On ne le dira jamais assez , tous les présidents de nos institutione sont complices . C’est plutot à eux que le peuple gabonais doit s’emprendre d’abord et ensuite chasser Les Etrangés qui écument le palais de bord de mer . C’est une question de souveraineté !

  18. catin dit :

    quelle humiliation pour le peuple gabonais, avoir un Président coupable de faux et usage de faux

  19. kelly dit :

    En république, le titre de Président de la République incarne la légalité, le respect des valeurs républicaine, le sens de l’honneur et la fierté de toute une nation.
    au GABON , Président de la République se confond avec le mot faussaire

  20. Bouka Rabenkogo dit :

    Ali Bongo Ondimba et Jean Pierre Oyiba, selon les informations contenues dans cette vidéo doivent démissionner de leurs fonctions de Président de la République Chef de l’Etat et de Ministre, arrêtés et emprisonnés pour recèle et détournement de biens de l’Etat. Si dans les 48 heures, aucune action par le Pouvoir Judiciaire n’est entamée, alors le Peuple souverain et le Mouvement Patriote appellera au soulèvement populaire pour rétablir la dignité souillée du Gabon. Au constat, d’un Pouvoir Judiciaire corrompu, confirmant l’absence dans notre pays d’un état de droit.
    « Le Patriote »
    Michel Bouka Rabenkogo
    Membre de la Conférence Nationale de 1990;
    Membre de la commission des institutions;
    Membre créateur d’EKAMA;
    Membre de la FESYPAG;
    Ancien membre du Comité central PDG;
    Ancien candidat à l’élection Présidentielle 2005;
    Commissaire CENAP Election présidentielle 2009.
    En réaction à la vidéo diffusée ce jour sur Facebook : https://www.youtube.com/watch?v=ON5oS6yafOI&feature=youtu.be

    • laverité dit :

      le problème c’est le peuple.c’est dure a entendre mais sachez que le peuple gabonais se reposent sur des fausses espérances il est conformiste et lacheSACHONS RECONNAÎTRE LE TEMPS DE DIEU.LE PEUPLE D’ISRAËL N’A pas EU PLUSIEURS AUTRES OPPORTUNITÉS POUR SORTIR DU JOUG EGYPTIENS.QUAND CE FUT LE TEMPS,ILS ONT DÉCIDER DE S’EN ECARTER.ATTENTION LA LACHETE EST PIRE QUE LA TRAITRISE.mais je reste persuadé qu’avec ou sans le peuple,le seigneur accomplira sa justice car le processus est deja declenché par lui-meme,le DIEU DE JUSTICE ET DE VERITE;

  21. Gabarone dit :

    Faux et usage de faux! Un point c’est tout. Notre beau Ibo national doit finir en tôle , ses complices avec.

  22. LE PEUPLE GABONAIS dit :

    Sa place est au gros bouquet.

  23. manondzo dit :

    La presidente de la cour constitutionnelle fait du tres bon travail. En ce qui concerne la maitrise de la loi constitutionnelle au Gabon,elle n’a pas son egale. Prouvez moi les cas de fraude si vous avez des preuves.

  24. Le citoyen Libre dit :

    En signant cette petition notre constitution sera respectée
    http://www.avaaz.org/fr/petition/Secretaire_general_des_Nations_unies/?cCGlHib
    160 signatures. Atteignons 300
    Faites-la circuler la victoire est proche..!

  25. L'emir de Melen dit :

    Observateur, tu as l’air de ne pas etre d’accord avc le doute que laisse ce problème , l’acte de naissance depose ar celui que tu soutiens est faux et a ete valide par des institutions, tt le monde a reconnu que ct un faux document…..ils sont mieux places que quiqonque pr eclaircir la situation, mais ils restent muets…selon toi ca signifie quoi?

    • eternite dit :

      L’émir de Melen, ne t’evertue pas discuter avec cet observateur qui doit etre des services secrets ou un de ces affidés qui sans le régime en place, ne serait rien d’autre qu’un gabonais lamda…
      Le problème de l’impartialité et de la collusion entre l’executif et la Cour Constitutionnelle est avéré et prouvé… faut etre soit un sôt pour dire le contraire.. ou juste un torpilleur comme disait la chanson de Gadji Celi

  26. Mobilisons nous en 2016 pour soutenir notre président ya ALI

  27. nayina maureen dit :

    Ali n’est pas un sans papier
    son tonton, a promis nous montrer son acte de naissance
    juré promis. Par contre je ne comprends pas que le general conserve
    l’acte de naissance de son neveu, ce dernier a quand mème dépassé
    les 18 ans, ce n’est pas un mineur, il devrait quand mème avoir des
    documents relatifs à sa naissance non? Qui a son permis DE CONDUIRE, son passeport sa carte de credit?

  28. philippe vouette dit :

    Bonjour A Tous…,
    Prenez le temps de regarder la vidéo accusant Votre président et son soit disant cousin Oyiba de prendre les 49% que le groupe PROGOSA (qui s’occupait de L’OPRAG) devait rétrocéder A l’état GABONAIS….
    Vous verrez alors ce que je vous disais au départ…. :
    Lorsque l’on sera capable de voir jusqu’ou ALI et entourage nous ont spoliés il sera trop tard….
    Vous voulez attendre jusqu’en 2016 ????
    Regarder la vidéo s’il vous plait ….nous parlons ici de la totalité du revenu que l’état devait percevoir (49%) disparait dans un compte appartenant a OYIBA , c’est Votre président qui a tout manigancé….
    Nous parlons ici d’une seule histoire qui vient d’être dévoilée…et la totalité de l’argent est détourné…
    Imaginons les histoires qui nous sont inconnues……..
    Il FAUT QUE CE GOUVERNEMENT DEPOSE MAINTENANT LE BILAN ……IL VOUS FAUT ENCORE QUOI POUR COMPRENDRE QUE CES GENS SE FOUTE PAS MAL DE NOTRE CONDITION ….DE NOTRE DEVENIR …..CE PAYS , NOTRE PAYS , PEUT NOURRIR , BLANCHIR , EDUQUER ET PAYER CORRECTEMENT CHACUN DE NOUS ….POUR VOULEZ VOUS VIVRE DE MIETTES…OU DE DETRITUS DANS NOS DECHARGES …….
    ARRETONS CE GOUVERNEMENT …..
    ARRETONS CE GOUVERNEMENT ….
    https://www.youtube.com/watch?v=ON5oS6yafOI&feature=youtu.be
    D’autre d’iront que c’est une mise en scène …un coup des opposants….
    Mais c’est simple a vérifier…
    Regardez,
    Cordialement,
    Philippe Vouette

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