La Fédération gabonaise de football (Fégafoot) convoque, les 24 et 25 juillet courant à Libreville, son organe délibérant.

Pierre-Alain Mounguengui, président de la Fégafoot. © footafrica365.fr

Pierre-Alain Mounguengui, président de la Fégafoot. © footafrica365.fr

 

A la veille de son 54e congrès ordinaire qui se tient les 24 et 25 juillet à Libreville, le président de la Fédération gabonaise de football (Fégafoot) a animé un point-presse au cours duquel il est revenu sur les enjeux de ces assises. «Il est simplement question de respecter nos statuts en organisant cet événement. Nous attendons la forte présence des ligues provinciales, des clubs de première et deuxième divisions, des associations affiliées», a affirmé Pierre-Alain Mounguengui, relayé par L’Union. Selon lui, l’Union des fédérations de football d’Afrique centrale (Uniffac) a également été invitée à prendre part aux travaux, au même titre que d’autres instances. «Les fédérations du Burkina Faso et du Rwanda, avec qui nous voulons établir un partenariat, seront parmi nous», a-t-il annoncé. Des partenariats qui seront concrétisés par la signature de conventions, notamment en matière de formation. «De trois signataires, nous comptons augmenter ce nombre en intégrant d’autres associations», a-t-il laissé entendre.

Le président de la Fégafoot a, par ailleurs, tenu à faire le point de la première année de son mandat, marquée notamment par le rétablissement de bons rapports avec la Fédération internationale de football association (Fifa), la Confédération africaine de football et les instances nationales. A cela s’ajoutent la relance du football féminin – un championnat national a été mis en place -, ou encore l’équipement des ligues nationales en sièges. Pierre-Alain Mounguengui a également exprimé sa satisfaction par rapport au programme de formation des cadres (entraineurs, arbitres, administratifs). Il se félicite, en outre, de la relance et de la dynamisation de certaines compétitions (U20 et U17). «Nous nous sommes aperçus que beaucoup de choses ne fonctionnaient pas lorsque nous participé aux compétitions dans ces catégories d’âge. Pour mettre un terme à certaines irrégularités, nous nous sommes fixés un cap : il faut, dans quatre ans, avoir un pourcentage élevé de jeunes qui ont l’âge adéquat. Nous pensons que nous sommes aujourd’hui sur la bonne voie».

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Sabrina dit :

    Faire un pas en arrière pour pouvoir mieux avancer

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