Le ministre de la Santé a eu une séance de travail avec les différents acteurs de la chaîne d’approvisionnement en médicaments, pour améliorer la qualité du circuit et assécher les ruptures de stocks.

Guy Patrick Obiang présidant la séance de travail. © D.R.

 

Le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong, a présidé une séance de travail, le 20 mai, à laquelle participaient le directeur général de l’Office pharmaceutique national (OPN), le directeur général de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), le directeur de l’Agence du médicament (DAM) et la présidente de l’Ordre national des pharmaciens.

Cette rencontre inscrite dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’accélération de la transformation (PAT), avait pour objectif «de trouver des pistes de solutions nécessaires à la redynamisation des pharmacies hospitalières». L’OPN a donc été invité à accélérer les actions urgentes inscrites dans le cadre de la réforme du secteur pharmaceutique et dont «la pharmacie hospitalière constitue un des piliers de l’amélioration de l’offre de soins proposée aux populations».

L’acquisition des produits de santé par les hôpitaux pose encore problème. Censé constituer une activité à part entière d’un hôpital, l’approvisionnement semble soumis à de nombreuses contraintes provoquant dans la plupart des cas des ruptures de stocks. Il a donc été demandé au directeur général de l’OPN de «faire des propositions concrètes afin que les pharmacies hospitalières des structures sanitaires soient approvisionnées dans les meilleurs délais».

Ce dernier a soumis à la tutelle un programme d’action à valider ainsi qu’un projet de convention tripartite OPN-Formation sanitaires-CNAMGS. Selon le communiqué du ministère de la Santé, ce programme «permettra de manière pérenne d’assurer l’approvisionnement des pharmacies hospitalières et la prise charge  par la CNAMGS des factures de ses assurés».

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire