La place des femmes et des jeunes dans le tissu économique a rythmé les débats du Global Entrepreneurship Summit, organisé au Maroc et qui a vu la participation du président de la République.

Ali Bongo Ondimba et Joe Biden au GES de Marrakech, au Maroc. © DCP-Gabon
Ali Bongo Ondimba et Joe Biden au GES de Marrakech, au Maroc. © DCP-Gabon

 

La cinquième édition du Global Entrepreneurship Summit (GES) s’est tenue du 19 au 21 novembre à Marrakech, au Maroc, sous le thème «Explorer la puissance de la technologie en faveur de l’innovation et de l’entreprenariat». Cet événement qui a réuni plus de 6000 personnes dont des chefs d’État, ministres, investisseurs, experts, étudiants, vise à doter les entrepreneurs des compétences et ressources nécessaires pour affronter la concurrence et prospérer dans le 21e siècle.

Prenant part à cette rencontre, le président de la République a insisté sur le rôle de la femme et des jeunes dans le processus de développement du continent. «Dans notre stratégie, nous inscrivons la femme au cœur du développement. Il en est de même pour la jeunesse dont l’ouverture au monde, le dynamisme et la propension aux nouvelles technologies, sont des atouts indéniables à prendre en compte à travers une éducation entrepreneuriale, des stages professionnalisant et des mesures publiques incitatives», a déclaré Ali Bongo.

Le GES de Marrakech a été l’occasion pour le vice-président américain de faire quelques cadeaux au Maroc. Joe Biden a ainsi annoncé la poursuite du programme Millenium Challenge Account, «qui sera d’une enveloppe supplémentaire de 50 millions de dollars, consacrée à la formation professionnelle». Il a annoncé la mise en place dans le royaume chérifien de «l’Académie Volvo» pour la formation en équipement industriel lourd et véhicules commerciaux, en partenariat avec le producteur d’engrais marocain OCP, le constructeur suédois Volvo et l’USAID.

Plusieurs hommes d’affaires ont également apporté leur soutien à l’entreprenariat sur le continent. Ainsi, le P-DG du groupe financeCom a annoncé la mise en place par sa banque, BMCE Bank, d’un prix pour l’entrepreneuriat africain doté d’une enveloppe de 1 million de dollars. «Ce sera un prix qui récompensera chaque année la meilleure entreprise innovante d’Afrique», a expliqué Othman Benjelloun.

Après cette première édition en terre africaine, le Global Entrepreneurship Summit se tiendra de nouveau sur le continent l’année prochaine. D’ores et déjà, on évoque des pays du sud du Sahara. Beaucoup parient sur le Gabon du fait de la participation d’Ali Bongo à l’édition 2014, quand d’autres avancent l’hypothèse de la Tanzanie pour son dynamisme économique.

 

 
GR
 

10 Commentaires

  1. marc dit :

    Mr Ndjimbi,

    pourquoi aussi ne pas preciser que les conclusions du NYFA on été la base de travail du GES. et que le president a voyagé avec les jeunes du prix de l’excellence que vous apprecié personellement.

    on compte vraiment sur vous, Gabonreview est un acteur important de notre pays, faux aussi dire quand c’est bien. Ne dites pas ceux que les gens veulent entendre.

  2. GABOMA dit :

    Bravo, Mr le president. l’entrepreunarial est la clef, du succes de notre tres cher pays. mais je me pose une questions, si quelqu’un faire des cours de leadership ou travailera t-il? ou encore que deviendra t-il?

  3. tara dit :

    Voila qui est bien on doit renforcer les compétences des entrepreneurs l’innovation joue un rôle essentiel dans l’entreprenariat les jeunes doivent entreprendre pour créer des richesses de l’emploi, etc.mais ça, ça n’intéresse pas les congosseurs opposant du net ils aiment réagir sur ALI biafrai pierre péan l’opposition…
    les sujets qui devraient nous intéresser et qui peuvent booster notre économie et donc la vie de nombreux gabonais on s’en fou on s’en branle juste le débat politique politicienne et donc on fait du surplace.

  4. okoura dit :

    Fichez nous la paix avec votre Nyfa c’est vous seuls qui savez ce que çà rapporte pour nous les Gabonais de base rien du tout on veut voir le champ triomphal finir et on pourra mieux apprécier Nyfa c’est une affaire de gros sous qui ne profite qu à vous les gens du sérail

  5. COMBATTANT dit :

    ces sommet ne servent a rien pour les gabonais, car les marches revions au béninois et apatrides !lui biafrei bongo lui c est de voyagé a l oeil meme un congrés!sommet de merde vous voyez ce biafrei bongo faussaires partir! il faut qu il dégage car il n y aura de 2016 il n a pas d acte naissance hollande a bloqué tout faux acte naissance a nantes!

  6. vil dit :

    Qu’est ce que cela rapporte au pays? la traduction concrète au Gabon, c’est ce que nous voulons, nous n’avons pas besoin de trop de chose en même temps, il faut les recenser et voir où se situe nos priorité et cela par domaine!!!

    il faut que le petit de Kinguelé comprenne, le paysan aussi, ainsi que la petite secrétaire dans l’administration!!
    C’est quoi les résultats??? mamooooooo

  7. nnomdzi dit :

    du folklore tout ça,on est toujours dans les abîmes du sous développement.

  8. Minvoul ossou dit :

    Le Gabon aux portes des enfers avec les BONGO

    I. Sur l’héritage familial des BONGO : l’envers du décor

    En 2009, alors que le peuple Gabonais pleurait son Président Omar Bongo Ondimba, un diplomate Français lançait ceci à un ami Gabonais à Port-Gentil « Je ne comprendrai finalement pas les africains et surtout pas ce pays. Comment tant de gens peuvent ainsi pleurer un homme qui leur a tant fait de mal … un homme qui a tant pillé le Gabon. Ce pays aurait dû être la Suisse d’Afrique. Au lieu de cela, c’est une misère incroyable. Regarde comment vivent les gens ici à Port-Gentil. On appelle ça Capitale économique ». Son ami Gabonais lui répondit : « Les gens aiment Omar BONGO. C’est l’homme tout simplement. Ils ont conscience qu’il a ruiné le pays pendant 42 ans, mais on l’aime. Un point c’est tout ». Oui, Omar BONGO était aimé des Gabonais parce que malgré tous ses déboires, il savait les respecter. On peut même dire que lui aussi avait aimé ce pays même si sa présidence s’est révélée catastrophique pour le développement du pays. Pourtant, il avait, lui aussi, sa légion étrangère, des DOSSOU et compagnie … Mais ces gens-là étaient discrets. Ils avaient compris que le Gabon appartient aux vrais Gabonais et que pour réussir dans ce pays, il fallait être derrière le mur.
    Aujourd’hui, c’est tout le contraire. Certes, c’est toujours les BONGO, mais le président autoproclamé c’est dorénavant Alain BONGO. Voilà un homme qui aurait dû être le digne d’Omar BONGO quelles que soient ses origines réelles ou supposés, vraies ou fausses (je m’astiens de rentrer dans l’actualité mise à nu par pierre péan et dont on sait la pertinence). Voilà un homme, le fils à papa, qui est aux affaires depuis quarante longues années à différentes fonctions et qui passe pour être un homme nouveau, son slogan de campagne en 2009 « Ali 9 », sous entendu « Ali le neuf ». Voilà un homme qui a clairement volé l’élection de 2009 avec les 52.000 voix du Haut-Ogooué qui lui ont toutes été attribuées par René Aboghe Ella et Jean François Ndongou. Que dire, même les parents et amis des autres candidats résidents de cette province au moment du vote avaient tous voté pour Ali. Que dire, entre l’inscription sur les listes électorales et l’élection elle-même, aucun Altogovéen n’était tombé malade ou n’avait décédé. Tous avaient répondu présents pour voter Ali (de son vrai nom gabonais Alain BONGO, l’ami de Jimmy ONDO). C’est grâce à ce chiffre de 52.000 voix du Haut-Ogooué que René Aboghe Ella et Jean François NDONGOU avait falsifié la vérité. Lorsqu’on arrive au pouvoir dans de telles conditions, on doit au moins faire œuvre utile : être au service du pays au lieu de se servir du pays. En bientôt cinq longues années, Ali BONGO a tout simplement dilapidé les fondements qui ont fait le Gabon.
    Dans cette série d’articles, nous allons montrer, secteur par secteur, pourquoi cet homme-là, ne peut pas et ne doit pas être reconduit en 2016, dans le seul intérêt du Gabon et des Gabonais.

    Le père BONGO avait construit un royaume, un clan fort autour de sa famille. Il avait clairement choisi deux personnes : son frère Andjoua et sa fille Pascaline pour encadrer la famille : l’un étant l’autorité et l’autre gérant les affaires. Autour de ces deux pôles, tous les lampistes que l’on connaît, plus ou moins sérieux selon les cas. On connaît les enfants de BONGO qui sont effectivement des Gabonais. On connaît les enfants de BONGO qui connaissent notre pays, certains en sont même arrivés à l’aimer. Cinq ans à peine, après la mort du père, Ali BONGO, en dictateur né, a ruiné tous les acquis de cette famille. Tout le semblant d’unité et de fraternité qui était visible du vivant du père a volé en éclat. Ils se regardent tous en chiens de faïence. Ils se détestent et la haine les a tous envahis. La haine pour l’argent du père, l’héritage que seule Pascaline garde jalousement puisque c’est à elle que le père avait confié tous les secrets. La conséquence, c’est que cette dernière a dû quitter le pays précipitamment. C’était une nuit, grâce à quelques rares fidèles encore présent au Palais du bord de mer qui sont venus lui souffler qu’il fallait partir immédiatement car son gorille de frère avait décidé d’en finir avec elle et cela était prévu pour se faire le lendemain à l’aube : les journaux allaient annoncer le décès de Pascaline MFERRI BONGO à la suite d’un simple accident domestique. Un commando de barbouzes étrangers de la GR, comme il y en a tant (Congolais, Rwandais, Centrafricains, etc.) avaient déjà été désignés à cet effet. Depuis lors, Pascaline la mourante, puisqu’elle est gravement malade, a quitté le pays illico presto via Brazzaville. La haine aussi pour l’amour du père. Les vrais enfants d’Omar BONGO sont choqués par les errements de leur demi-frère de président. Ils ne comprennent pas comment quelqu’un qui a été à l’école du père, si longtemps, puisse être aussi minable : un amateur qui ne connaît même pas le pays qu’il prétend diriger. Il ne connaît ni les hommes, ni les femmes, ni les cultures et encore moins les valeurs qui ont fondé ce pays exceptionnel. Que faire face à ce roitelet du moyen âge, ce gorille des plaine sur qui rien ou presque ne va, ni les plus beaux costumes, ni les plus belles chemises du monde …. Rien n’y va : il est trop laid, grassouillet et franchement horrible. Cinq ans après la mort du père, c’est la jeune Yasmine, fille d’Omar BONGO et d’Edit qui est réduite à la prostitution. Tous les Gabonais ont vu le film de ses ébats de putain. Qui n’a pas reçu dans son internet ou dans son téléphone le film des ébats de cette pauvre gosse désoeuvrée ? Pourtant la fille d’un président et la sœur d’un président. Y a qu’au Gabon qu’on voit ce genre de chose.
    Ce qui devait arriver arriva donc et très vite. Puisqu’aucun fils BONGO n’a le courage d’affronter ouvertement leur diable de frère ou de demi-frère (l’un d’eux expliquait un jour qu’Ali est franchement diabolique et sanguinaire), ils ont recours à leur beau-frère, «celui que le père appelait « Maho », pour parler de Jean PING. Seuls les enfants nés hier ne savent pas que PING est le mari de Pascaline, le vrai mari. Le seul qu’elle a vraiment aimé. Ne parlons pas des figurants comme Paul NTOUNGUI qui n’était là que pour cirer les pompes du père et recevoir, en retour, les restes de ses assiettes garnies. PING, Pascaline l’a vraiment aimé ; elle a eu deux enfants de lui, ses seuls enfants. Les enfants de Pascaline sont théoriquement neveu et nièce d’Ali et ils devraient l’appeler « Tonton ». On connaît la suite. PING est donc aujourd’hui le champion des vrais BONGO, celui qui incarne les idéaux du père et celui qui peut sauver la famille BONGO. Lui au moins est sage et intelligent. Lui au moins a un vrai look de président même si, le seul défaut que lui ont opposé les clowns d’Ali, c’est de déclarer qu’il est étranger. Quelle découverte ! Entre PING et Ali, qui est vraiment étranger au Gabon ? PING est donc l’espoir d’Andjoua, de Pascaline, d’Anicet, de Landry, de Jeff … et de tous les autres. Comme par enchantement, le technocrate d’hier est aussi devenu le chouchou des Gabonais. PING est l’espoir de 2016 quand MBA OBAME et Pierre MAMBOUNDOU ont tous été réduits au silence. En cinq ans à peine, Ali BONGO a dilapidé l’héritage familial, le socle sur lequel il aurait pourtant dû s’appuyer.
    En conclusion à cette première partie, si ce présumé président (Alain BONGO) n’est même pas capable de rassembler les membres de sa famille et de poursuivre l’œuvre de son père, que peut-il pour la province du Haut-Ogooué qui était si fière d’être la terre natale du Président Omar BONGO. La réponse, on la connaît, c’est dans cette province que les Gabonais ont refusé de marcher pour lui malgré les 800.000 000 de CFA qu’on leurs avait proposés ; que peut-il faire pour le Gabon dont il a substitué les fils et filles par des des Maixcent ACCROMBESSI, des Liban SOULEYMANE, Lee WHITE et toute sa légion étrangère qui n’attend que le mauvais jour J pour quitter le Gabon avec des avions entiers remplis d’argent, l’argent du Gabon. Pour cette raison-là, Ali ne peut pas s’imposer en 2016 comme il l’a fait en 2009.

  9. Minvoul ossou dit :

    Les hommes du Président : la bétise humaine à son paroxysme

    Dans tous les pays, le Président est entouré de ses hommes, ses éminences grises. On connaît les hommes qui entourent Alassane OUATTARA, des personnalités de haut niveau. On n’est pas étonnant de voir les transformations de la Côte d’Ivoire en si peu de temps. OUATTARA a sorti son pays de l’abîme. Allez voir les routes, les infrastructures, la situation financière du pays et ses 8% de croissance, etc. On connaît les hommes de Paul BIYA, d’Idriss DEBY, de Macky SALL, etc. Ces présidents-là sont entourés de véritables compétences. Le résultat est visible. Au Gabon, c’est tout le contraire. Ali s’est entouré des plus minables et le qualificatif est faible. Voici quelques exemples :
    Numéro 1, Maixcent ACCROMBESSI. Qui connaît le pédigrée de Maixcent ACRROBRESSI ? Son niveau, ses compétences, son expérience ? Tout le monde sait qu’il s’agit d’un vigile que MBA OBAME avait ramené du Bénin dans les bagages de sa sœur, son épouse béninoise qui l’a quitté depuis lors. Mais pourtant cet ACCROMBESSI-là est le druide « Panoramix » du pouvoir d’Ali. C’est lui qui prépare chaque jour la potion magique pour aider Ali BONGO à écraser les Gabonais et à piller ce qu’il leur reste de ressources. Pourtant, si la légende disait vrai, Ali BONGO devrait être tombé dedans tout petit ! Allez savoir.
    Numéro 2, Yves Fernand MANFOUMBI alias « MANFOU 10 », le successeur désigné de « Ali9 », roi de Ndéndé et grand Boss de la « Ngounié forte », même si on se demande franchement ce que cela veut dire tant la Ngounié est restée elle-même depuis toujours. La seule chose qui a vraiment changé, ce sont les grands et luxueux hôtels que construit notre nouveau riche Yves MANFOUMBI, sans doute avec l’héritage de son père. Yves MANFOUMBI n’a réellement que le bac, c’est sûr. On sait qu’il a été faire du tourisme au Maroc où il a cacheté un DUES dans une école privée bidon. Nous étions tous au Maroc en ce temps-là et on peut tous en témoigner. De retour au Gabon, il a sollicité les services d’un ami pour acheter le diplôme de Maîtrise en sciences de gestion à l’institut des Sciences de Gestion en cours du soir. Il fallait faire semblant de suivre quelques cours en cours du soir. La suite, on la connaît. Mais ce que l’on connait moins, c’est comment le petit chargé d’études de Macaire LONGO au commissariat général au Plan a-t-il été parachuté Directeur Général-Adjoint puis Directeur Général du Budget en ayant soigneusement écrasé NDONG NTEME son supérieur hiérarchique, celui qui avait ses diplôme en bonne et due foi. On parle bien de la Direction Générale du BUDGET, nom de Dieu ! Dans un pays où on compte de brillants économistes, des experts en finances diplômés de l’IEF et des meilleures écoles de France et du monde, comment comprendre qu’Ali BONGO ait choisi un Yves MANFOUMBI ? Comment le comprendre ? La conséquence immédiate, c’est la banqueroute dans laquelle se trouve le pays. La situation est morose dans tous les ministères où plus rien ou presque ne se passe. Les gens croisent les doigts en attendant la prochaine PIP, une aberration créée par des amateurs qui n’arrivent plus à gérer ce boulet. Les gens se croisent les bras, lisent l’Union, etc. C’est comme si au Gabon, il n’y avait plus d’argent, pas même pour acheter du papier dans une direction. En fait, l’explication est celle-ci : Yves Fernand MANFOUMBI est le trésorier d’Ali BONGO et seulement le trésorier de celui-ci et sa femme. Si non pourquoi le pauvre TPG qui a remplacé OKOULATSOGO a-t-il menacé de démissionner à plusieurs reprises puisque tout se décide chez ACCROMBESSI. Au lieu de faire le travail du Directeur Général du Budget comme ses prédécesseurs, Yves MANFOUMBI se lance tous azimuts dans des aboiements politiques pour être le leader de la Ngounié forte, au grand dam du « cuspodien » de Fougamou ou de son cousin de Mandji-Ndolu, qui rêvaient tous d’être installés au fauteuil de « Doyen de la Province ». Faux ! C’est Yves MANFOUMBI qui a été décoré de la médaille de la panthère noire, même si on ne sait pas vraiment ce que ça veut dire. Et l’homme a de la ressource, il broie tout sur son passage. Pour preuve, il a orchestré la cabale contre le pauvre Léon NZOUBA, l’ami de l’autre et qui croyait être à l’abri de tout. Yves MANFOUMBI a eu raison de Léon NZOUBA, le dur de Mouila, celui qui avait en quelques mois réussi à construire un château de 10 milliards (allez-voir) pour accueillir son ami Ali en tournée républicaine dans la Ngounié, mais que Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU a réduit au silence lors des précédentes élections locales. Pourtant, nous les Gabonais on sait que Yves MANFOUMBI n’est qu’un petit parvenu, parvenu là où sait comme on le sait.
    Numéro 3, Alfred NZENGUI MADOUNGOU alias « Vé » le nouveau roi de Mimongo, après son frère NGOMA MADOUNGOU, un autre rigolo parmi les cancres les plus minables qu’ait connu ce pays. L’homme n’a jamais fait l’école ou plutôt seulement jusqu’au CP2. Incroyable ! Même si aujourd’hui, il est intégré à la Fonction Publique à la hiérarchie A1, bien sûr avec des faux diplômes qu’il a acheté où on sait, NZENGUI MADOUNGOU Alfred ne mérite pas d’être nommé conseiller du Président dans un pays sérieux. Cet homme des basses besognes de DIVOUNGUY alors Vice-président de la République, puisqu’il était son chargé de mission, n’aurait jamais été nommé conseiller du Président par Omar BONGO même vieillissant. Quel comble. Et pourtant le surdoué Ali l’a fait. Interrogeons-nous un instant sur ce monsieur Vé comme l’appellent les gens de Mimongo. Tous les conseillers, les vrais conseillers à la Présidence se demandent ce qu’il y fait. Quel est son vrai travail ? Tenez, l’homme a un parking de plusieurs dizaines de gros VX et autres 4X4 de luxe de toutes les marques connues et inimaginables, là où les vrais conseillers ont un seul véhicule immatriculé 111. NZENGUI MADOUNGOU Alfred, alias Vé est richissime en centaines de millions voire en milliards. Comment et pourquoi ? Il a travaillé où et quand pour mériter une telle richesse ? Les gens de Mimongo ont une explication à laquelle tout le monde croit fermement depuis les dernières révélations de Mouila (merci Moulénda). Là-bas, il y a eu et il y en a sans doute encore de nombreux corps retrouvés sans vie et délestés d’organes (sexe, langue, cœur, etc.). Les pauvres pygmées par exemple sont trucidés comme des lapins. Qui peut porter plainte. Ce qui se passe à Mimongo, la ville championne des crimes rituels sans qu’aucune enquête n’ait été menée, a été exporté à Mouila. Tout le monde regarde du côté du « Roi de Mimongo ». A ce qui semble, c’est lui qui livre ses gourous en pièces en détachées pour les séances d’offrande au vaudou. Qui s’assemblent se ressemblant, le nouveau ROI de Mimongo est très lié au Parrain de la « Ngounié forte » dont il est, dit-on, le Nganga Missoko.

    Numéro 4, Alain Claude BILIE BI NZE, le porte-parole de la Présidence. Hier l’homme à tout faire de MBA ABESSOLE, aujourd’hui éminence grise d’Ali, l’homme n’épate que ceux qui ne le connaissent pas. BILIE BI NZE est aussi un taulard, prisonnier de droit commun écroué il y a quelques années pour avoir voulu voler la voiture d’une dame. Lassée d’attendre le paiement promis par ce dernier, elle finit par saisir le procureur (Alaba Fall). La suite, on la connaît. Pourtant, dans le système d’Ali, c’est un ex-prisonnier qui porte l’image et la parole du Président. Il faut être au Gabon pour voir cela. BILIE BI NZE a un niveau bac + 1, puisqu’il n’avait même pas validé le DUEL à l’université Omar Bongo, exclu comme on sait en 1994 à la suite de la grève des étudiants dont il a été l’un des principaux instigateurs. La suite, on la connait aussi : il a déshabillé ONA ONDO alors Recteur de l’UOB. Le pauvre homme, à poils !. Au fait, comment se regardent-ils autour d’Ali, le Premier Ministre et son bourreau de 1994 ?

    Pour les autres, à suivre !!!!

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