La Journée internationale des femmes, également appelée Journée internationale des droits des femmes, a été célébrée, ce 6 mars, au Lycée Paul Indjendjet Gondjout, à l’initiative de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, et en présence de nombreux invités parmi lesquels la fondatrice de cette fondation, Première dame du Gabon, Sylvia Bongo. Une action pour créer des impacts importants dans l’avènement d’un monde dans lequel règne l’égalité des sexes et la fin des violences faites aux femmes.

Echanges entre la Première dame, Sylvia Bongo Ondimba, les panélistes et les élèves dans le cadre de la Journée internationale de la femme 2020, au lycée Paul Indjendjet Gondjout. © Gabonreview

 

Instantanées du rendez-vous de la Journée internationale de la femme 2020 au Lycée d’Etat, Paul Indjendjet Gondjout. © Gabonreview

La Journée internationale mettant en avant la lutte pour les droits des femmes et notamment pour la réduction des inégalités par rapport aux hommes a été célébrée 48 heures en avance, à l’initiative de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, avec les élèves du Lycée d’État Paul Indjendjet Gondjout. Une occasion pour mener des actions de sensibilisation et de mobilisation dédiée à la lutte pour les droits des femmes, l’égalité et la justice.

Il était question pour la fondation de la première dame, en présence du ministre de la Promotion et de l’intégration de la femme au développement, en charge de la Lutte contre les violences faites aux femmes, Prisca Koho-Nlend, du ministre de l’Éducation nationale, Daouda Mouguiama,  de réfléchir, d’échanger, de se mobiliser pour l’égalité entre les femmes et les hommes, de faire le point sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire sur la place des femmes dans la société.

Avec plusieurs panélistes, dont la Coordinatrice du Comité de lutte contre le Sida du ministère de l’Éducation nationale (Colusimen), Laure Eliwa, de la directrice d’une agence de communication, Virginie Mounanga, du pasteur Gaspard Obiang, engagé auprès des jeunes contre le VIH et de l’animatrice vedette de la radio Urban Fm, Gina Nzengue ; la première dame a abordé la thématique de «l’éducation des jeunes au service de l’égalité homme-femme». Une question ayant permis d’échanger sur «le droit de l’enfant», «la lutte contre les grossesses précoces», «les relations intergénérationnelles», «les méfaits de la drogue» et la «cybercriminalité : les jeunes face aux réseaux sociaux», entre autres.

«L’égalité, c’est aussi un accès égal à l’éducation. L’éducation est la clé qui permet d’acquérir son indépendance et son autonomie financière. Et rien ne peut arrêter une femme indépendante qui connaît sa valeur», a déclaré Sylvia Bongo Ondimba. «Croyez en vous et ne sous-estimez pas votre capacité à faire bouger les lignes», a conseillé la Première dame.

Si face aux violences que subissent les femmes, beaucoup choisissent de se taire, le ministre de la Promotion et de l’intégration de la femme, Prisca Koho-Nlend appelle à libérer la parole : «Nous devons briser le silence. Nous devons dénoncer. Le mutisme ne peut pas nous rendre service. Il faut le briser».

Au cours de cette célébration, Manuela Bondo, la première pilote gabonaise, Géraldine Robert, basketteuse internationale et Coordinatrice générale du championnat scolaire et universitaire, la jeune joueuse de l’Athlético Akanda, Cyntiche Ntsame Ondo et le ministre Prisca Koho-Nlend, leaders dans leur domaine respectif, ont échangé sur le leadership féminin. Une occasion pour elles de démontrer qu’il y a des initiatives qui placent les femmes au cœur de la création ainsi que leur participation à la vie sociale, politique et économique. «L’égalité n’est pas un vain mot. C’est une manière de faire, une manière de vivre», a déclaré la pilote.

En clôturant cette rencontre ayant enregistré d’intenses échanges et enrichissant entre les élèves et les panélistes, Sylvia Bongo a déclaré à l’endroit de la jeune fille : «Je suis là aujourd’hui pour vous encourager à briser le plafond de verre et surtout à réaliser vos rêves». «Vous pourrez compter sur moi pour être à vos côtés tout au long du chemin».

Axée cette année autour du thème, «Je suis de la Génération Égalité : Pour les droits des femmes et un futur égalitaire», la Journée internationale de la femme se célèbrera pour la 43e fois consécutive, à l’initiative des Nations unies, depuis 1977, le 8 mars prochain. Ce sera un dimanche. D’où cette célébration avec les jeunes filles du Lycée d’État, Paul Indjendjet Gondjout.

 
GR
 

7 Commentaires

  1. SERGE MAKAYA dit :

    Quelle aille se faire FOUTRE cette MENTEUSE. Son mari est DCD. Son fils adoptif veut, comme son père adoptif, usurper le POUVOIR avec la sale complicité de la pourriture France et le roitelet du Maroc. NON et NON… Le Gabon aux Gabonais. Et Jean Ping est un VRAI GABONAIS. Un POINT c’est TOUT !!! VIVE JEAN PING, NOTRE VRAI PRÉSIDENT ÉLU DÉMOCRATIQUEMENT…

    NB: vous pouvez faire des enquêtes sur MOI et Mr Jean Ping. ON NE SE CONNAIT PAS DU TOUT. JEAN PING NE ME CONNAIT NULLEMENT. ET JE NE VOUS MENT PAS. MAIS JE LE SOUTIEN, PARCE QUE JE SAIS QUE C’EST BIEN LUI LE VRAI VAINQUEUR DE LA PRÉSIDENTIELLE DE 2016. ET IL N’Y AURA PAS D’ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES EN 2023 SANS AVOIR RÉGLÉ LE CONTENTIEUX DE 2016.

    JEAN PING EST LE PRÉSIDENT DU GABON… MÊME A 80 ANS… C’EST CELA LE VRAI DÉPART D’UN GABON VRAIMENT NOUVEAU. LE RESTE, C’EST DU CINÉMA A LA MACRON OU A LA OUATTARA (qui prétend partir et donner le pouvoir à la jeune génération. Un menteur au service de la pourriture FRANCE)…Cette même France qui a soutenue le dictateur du Togo réélu (quel grossier MENSONGE français ENCORE)… A NTARE NZAME!!!

    IL EST VRAIMENT VENU LE TEMPS DE LIBÉRER LE GABON. ET CA PASSE PAR LE PRÉSIDENT ÉLU DU GABON : MONSIEUR JEAN PING. UN POINT C’EST TOUT !!!

  2. SERGE MAKAYA dit :

    Moi qui ai travaillé pour Omar Bongo dans le services secrets, je sais que la France ne veut pas de notre Président élu Jean Ping. Parce que Jean Ping a osé leur dire toute la vérité sur leur SALE CONDUITE vis à vis de notre Continent. Ces CONS de français n’ont pas digéré cela. Mais nous devons TOUT FAIRE pour placer Mr Jean Ping comme Président du Gabon, même s’il a 80 ans ou 85 ans. Sinon vous aurez le même scénario de MASCARADE avec cette saleté de France. Jean Ping, Président du Gabon, c’est la seule issue pour LIBÉRER NOTRE PAYS TOTALEMENT. Le reste, c’est de NOUVEAU DE L’ESCLAVAGE PAR LA SALETÉ FRANCE… VIVE LE GABON LIBRE DES BONGO, DE LA FRANCE ET DU MAROC… https://www.youtube.com/watch?v=k43dOpBuGWE

  3. SERGE MAKAYA dit :

    Jean Ping ne veut pas forcément être Président du Gabon. Il veut, comme BEAUCOUP D’ENTRE-NOUS, la LIBÉRATION du Gabon des GRIFFES des Bongo, de la France et du Maroc. Le roitelet du Maroc est un VORACE de nos RICHESSES. Faisons très ATTENTION… A NTARE NZAME!!!

  4. SERGE MAKAYA dit :

    ON NE RECULERA DEVANT RIEN… NI LA CORRUPTION… ECOUTEZ BIEN LE DÉBUT DE CETTE VIDÉO YOU TUBE QUE VOUS CONNAISSEZ BIEN… https://youtu.be/mCHWjXP-ueg

    A NTARE NZAME, PEUPLE GABONAIS, QU’ATTENDS-TU POUR LIBÉRER TON PAYS… ?

    QUE TU SOIS AU PDG OU N’IMPORTE QUEL AUTRE PARTI POLITIQUE, LA PRIORITÉ EST DE LIBÉRER LE GABON DES GRIFFES DE SATAN (LES BONGO, LES FRANÇAIS ET MAROCAINS)…

  5. SERGE MAKAYA dit :

    La seule fois où j’ai eu un échange avec monsieur Jean Ping, c’est quand j’avais encore un compte FACEBOOK. Il m’avait répondu à la proposition que je faisais de faire de Laurence Ndong la Présidente du Gabon. Il m’avait donné son avis FAVORABLE. Comme quoi, il ne veut pas forcément être président du Gabon.

    VIVE LE GABON LIBRE DES BONGO, DE LA FRANCE ET DU MAROC…

  6. SERGE MAKAYA dit :

    C’est VRAIMENT mon DERNIER message, parce que je me sens espionné. Merci au PEUPLE GABONAIS de participer à la LIBÉRATION TOTALE du Gabon.

    SERGE MAKAYA, ancien du B2.

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