Le ministère du Commerce, des PME et PMI animera le 8 avril via Zoom, une conférence sur le franchising axé sur le thème : «la franchise, une alternative de croissance post-Covid-19».

La franchise, une alternative de croissance post-Covid-19. © D.R.

 

Hugues Mbadinga Madiya est à la recherche de bouées de sauvetage pour les PME et PMI, sérieusement étranglées par les effets induits du Covid-19. Le ministre du Commerce estime que la franchise constitue un secteur attractif et offre des opportunités à tous ceux qui souhaitent se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. Il animera le 8 avril via Zoom, une conférence sur le franchising avec pour thème : «la franchise, une alternative de croissance post-Covid-19».

Créer une entreprise avec un taux de défaillance moins élevé par rapport au commerce ou service indépendant, profiter de la notoriété d’une marque connue, les atouts de la franchise ne manquent pas. En effet, entreprendre en franchise permet d’être accompagné et conseillé pour créer et développer sereinement son activité.

Toutefois, après une année 2020 si particulière difficile, les entrepreneurs sont encore sous le choc et les entrepreneurs n’ont aucune visibilité sur l’horizon. L’objectif de cette conférence en ligne organisée en partenariat avec plusieurs géants du commerce est d’aider les entrepreneurs à créer et développer leurs entreprises en 2021, avec plus de repères et de sérénité, par le biais de la «franchise».

Concrètement, il s’agit de proposer aux freelances, créateurs et dirigeants de TPE des solutions innovantes pour créer, gérer et développer leurs activités. «La franchise est un levier rapide de création d’entreprises performantes et viables ; un outil puissant de développement économique et social ; une solution pour contourner la question de financement», assure le ministre.

En effet, la franchise est un système de commercialisation de produits, services ou technologies reposant sur une étroite collaboration entre deux entreprises juridiquement et financièrement indépendantes l’une de l’autre, le franchiseur et le franchisé. Moyennant une contribution financière, une entreprise (le franchisé) acquiert auprès d’une autre entreprise (le franchiseur) le droit d’utiliser son enseigne et/ou sa marque, son savoir-faire, le droit de commercialiser des produits ou services, conformément aux directives prévues dans le contrat, tout en bénéficiant d’une assistance commerciale ou technique.

Le franchiseur reste propriétaire de la marque et du savoir-faire. Il est rémunéré par le franchisé au moyen d’un droit d’entrée, de redevances, royalties ou marges sur les produits. Selon Hugues Mbadinga Madiya, ce type d’entreprise constitue une meilleure option pour les jeunes entrepreneurs.

 
GR
 

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