Inscrite dans le pivot social du Plan d’accélération de la transformation (PAT), la signature, jeudi à Libreville, d’une convention d’accord-cadre entre l’Agence du médicament du Gabon et le Centre humanitaire des métiers de la pharmacie vise, entre autres, à «garantir la qualité des médicaments commercialisés au Gabon», selon le ministère de la Santé.

L’AMG et le CHMP ont signé une convention d’accord-cadre. © Twitter/Min. Santé

 

Un pas de plus vers l’amélioration de la protection des Gabonais. Au ministère de la Santé et des Affaires sociales a eu lieu, le 3 novembre, la cérémonie de signature d’une convention d’accord-cadre entre l’Agence du médicament du Gabon (AMG) et le Centre humanitaire des métiers de la pharmacie (CHMP) représenté par son PCA, Paul Saiz. Si le département dirigé par Dr Guy Patrick Obiang Ndong a accueilli avec beaucoup d’enthousiasme cette convention, c’est parce que, dit-il, «ce contrat de partenariat s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de l’offre de soins voulue par le président de la République telle que prescrite dans le Plan d’accélération de la transformation (PAT)».

Selon le gouvernement, l’ambition de cet accord est en effet «de garantir la qualité des médicaments commercialisés au Gabon» dans un premier temps. Mais celui-ci permettra, dans un second temps, de rendre possible la mise en place d’un Plan national de gestion des risques pharmaceutiques ainsi qu’un Plan national de post marketing surveillance.

Aussi, le CHMP s’est engagé à appuyer son nouveau partenaire en vue du développement du Laboratoire de contrôle de qualité des médicaments. Le Centre dont la base est à Clermont-Ferrand (France) devra également épauler l’AMG dans le contrôle qualité, «pour une libération externe de lots de produits pharmaceutiques», explique le ministère sur ses réseaux sociaux. 

 
GR
 

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