Le ministère de l’Enseignement supérieur lance une série de projets innovants pour révolutionner le secteur. En mettant l’accent sur l’expansion des infrastructures, l’innovation pédagogique et l’amélioration des conditions de vie étudiante, ces initiatives incarnent l’engagement du gouvernement de la Transition envers l’excellence académique et le développement socioéconomique. De la construction de logements étudiants à la numérisation de l’enseignement, en passant par l’extension des capacités d’accueil des institutions universitaires, le Gabon se prépare à ouvrir de nouveaux horizons pour l’enseignement supérieur, préparant ainsi les étudiants à relever les défis du monde moderne et à contribuer activement à l’essor du pays.

Expansion d’infrastructure. © D.R.

 

Le ministère de l’Enseignement supérieur, dans une démarche visionnaire, initie des projets audacieux visant à redorer l’image de l’enseignement supérieur au Gabon. Ces initiatives, inscrites dans la vision de l’université territoire, visent à étendre les activités académiques et scientifiques sur l’ensemble du pays, d’une part, et répondre par les enseignements et la science, aux besoins socio-économiques, d’autre part.

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Au cœur de cette transformation, le gouvernement de la Transition entreprend l’augmentation des capacités d’accueil de l’UOB, l’USTM, l’USS, les Grandes Écoles et le CENAREST. De manière novatrice, des projets concrets pour les Universités de Port-Gentil, Oyem, Mouila et Akanda sont également planifiés, soulignant une volonté d’ouvrir l’enseignement supérieur à tous les jeunes gabonais, où qu’ils se trouvent.

Conscient de l’importance du cadre de vie pour le succès académique, le ministère prévoit également la construction des logements étudiants. Cette approche, qui pourrait se déployer en dehors des espaces pédagogiques, vise à créer des environnements d’apprentissage et de vie propices à l’épanouissement.

L’USTM, institution emblématique, vient d’achever sa réhabilitation et marque une ambition nouvelle de son extension avec l’ouverture d’autres facultés. Tout ceci symbolise un engagement permanent en faveur de l’excellence académique.

Les travaux en cours à l’USS témoignent des investissements stratégiques dans le secteur de la santé. Cette initiative vise à créer un environnement d’apprentissage de pointe pour former les futurs acteurs de la santé.

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En parallèle, le ministère a entamé le recadrage du projet de numérisation de l’enseignement supérieur avec la montée en puissance et la matérialisation de l’Université numérique du Gabon. Ce sont près de six (6) Espaces numériques ouverts (ENO) qui seront opérationnels dans quelques mois avec le démarrage imminent des travaux de l’ENO de l’USS. Ces investissements dans la technologie éducative confirment la volonté de préparer les étudiants aux défis du monde moderne.

Ces projets audacieux, combinant expansion des infrastructures, innovations pédagogiques et amélioration des conditions de vie étudiante, reflètent l’ambition des autorités de la Transition de propulser l’enseignement supérieur gabonais vers de nouveaux horizons, en préparant les étudiants à mieux répondre au défi du développement du Gabon.

 

Auteur : Ministère de l’Enseignement supérieur

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Nathan Dzime dit :

    Question à Monsieur le Ministre

    Peut-on s’inscrire comme étudiant dans une faculté ou grande École gabonaise, lorsqu’on a 60 ans (plus généralementtoute sa vie durant)? Si oui dans quelle filière, de quelle École ou faculté ? Où alors, à ces âges-là, il vaut mieux diviser son âge (le sport favoris de beaucoup de gabonais) par 4 pour retourner à l’école?

    Patriotiquement Vôtre !

  2. messowomekewo dit :

    Au moins au ministère de l’enseignement supérieur, les choses bougent, cela, on peut le dire augure des lendemains meilleurs pour la formation des cadres du pays. Pendant ce temps, dans d’autres ministères aux mains d’anciens syndicalistes c’est du surplace, aucune réelle idée novatrice, le système est toujours aussi désarticulé; des cliniques(pour ne pas dire mouroirs)poussent comme des champignons, sans contrôle; chacun fait ce qu’il veut, comme il veut, au nez et à la barbe des pseudo décideurs, qui pourtant devraient avoir un regard plus rigoureux dans ce qui s’apparente à un capharnaüm…

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